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Related: A ClasserDémocrite « Aristoxène rapporte, dans les Commentaires historiques, que Platon avait eu l'intention de brûler tous les écrits de Démocrite qu'il avait pu rassembler, mais que les pythagoriciens Amyclas et Clinias l'en détournèrent en lui représentant qu'il n'y gagnerait rien, puisqu'ils étaient très répandus. Ce qui confirme ce récit, c'est que Platon, qui a parlé de presque tous les anciens philosophes, ne cite pas une fois Démocrite, pas même lorsqu'il serait en droit de le combattre, sans doute parce qu'il savait bien à quel redoutable adversaire il aurait affaire. » (Diogène Laërce, IX, Démocrite, paragraphe 5)[6],[7]. Le concept de Démocrite, écrit en grec ancien « ἡ ἂτομος ἰδέα »[réf. nécessaire], « E atomos idea », est composé de « idée » et de « insécable » ou « indivisible ». Mais « ἂτομος », adjectif accordé en genre et en nombre, peut être traduit par « non-coupé » ou « non-sécable »[8], plutôt que par « atome » en tant que substantif du genre neutre au sens moderne.
Dossier: la théorie des cordes (1/2), l’impossible réconciliation du micro et du macro Rating: 4.0/5 (1 vote cast) Cette semaine, il s’agit de poser le décor et d’expliquer dans quel contexte la théorie des cordes s’inscrit. La théorie elle-même sera abordée la semaine prochaine. Un peu d’histoire d’abord: Newton
Théorie des cordes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les niveaux de grossissements : monde macroscopique, monde moléculaire, monde atomique, monde subatomique, monde des cordes. La théorie des cordes est un domaine actif de recherche traitant de l'une des questions de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s’arrête pas à cette réconciliation, mais qu’elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout. La théorie des cordes a obtenu des premiers résultats théoriques partiels. Dans le cadre de la thermodynamique des trous noirs elle permet de reproduire la formule de Bekenstein et Hawking pour l’entropie des trous noirs.
L'énergie libre pour vous maintenant ! Les dispositifs à Énergies Libres disponibles depuis Mars 2014 ! 27 mars 2014 par Mike Doughty Il y a eu des histoires dans les médias alternatifs sur pas moins de trois différents dispositifs libres d'énergie au cours du mois de Mars 2014. Chacun de ces dispositifs fonctionne avec une technologie différente des énergies nouvelles et chacun d'eux est originaire d'une autre partie du globe. Parménide Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parménide d'Élée (Παρμενίδης) Philosophe grec Antiquité Parménide Biographie[modifier | modifier le code]
Voyage vers l'infiniment petit Les particules qui existent dans la nature sont de deux types : fermions ou bosons. Le spin des fermions ne prend que des valeurs demi-entières : 1/2, 3/2, 5/2, et ainsi de suite. Les leptons (électron, muon, tau, et les trois neutrinos associés) et les quarks (up, down, charm, strange, top, bottom) en font partie, avec un spin 1/2. Les fermions obéissent au principe d'exclusion de Pauli : deux fermions ne peuvent pas occuper le même état. C'est pourquoi dans l'atome les électrons se positionnent sur des couches successives au lieu de s'accumuler sur celle de plus basse énergie.
Zénon de Cition Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Zénon. Zénon de Cition Philosophe occidental Antiquité La supersymétrie Le Modèle standard de la physique des particules a été très efficace pour prédire les constituants fondamentaux de la matière que les expériences ont ensuite démontré, mais les physiciens s’accordent à penser que ce modèle est incomplet. La supersymétrie est un prolongement du Modèle standard qui vise à combler certaines de ses lacunes. Elle prédit une particule partenaire pour chacune des particules du Modèle standard. Spitzer mesure l’expansion de l’univers Chaque seconde, chaque volume d'Univers de trois millions d'années-lumière de côté gagne 74 kilomètres... C'est le résultat d'une mesure récente de la constante de Hubble réalisée avec le satellite infrarouge Spitzer et portant sur dix étoiles céphéides de notre galaxie et plus 80 autres du Grand Nuage de Magellan. La valeur mesurée - 74,3 km/s/Mpc (kilomètres par seconde et par mégaparsec, un parsec valant 3,26 années-lumière) - est proche de celle obtenue en 2011 dans le visible avec le télescope spatial Hubble par la même méthode : 73,8 km/s/Mpc. Chandelles standard Ce n'est pas un hasard si les céphéides ont été utilisées dans ces deux études. Elles sont de précieux étalons de distance.
Le multivers existe-t-il ? Depuis une dizaine d’années, une hypothèse extraordinaire passionne les cosmologistes : l’Univers que nous sommes en mesure d’observer ne serait pas unique, il en existerait des milliards d’autres. En d’autres termes, l’Univers ferait partie d’un « multivers » plus vaste. Certains scientifiques de renom ont parlé de révolution super-copernicienne. Les scientifiques ont-ils enfin réussi à dénicher de la matière noire ? Des physiciens affirment, en s’appuyant sur les premiers résultats obtenus par une expérience menée à bord de la Station spatiale internationale (ISS), qu’ils ont pu observer un excès d'antimatière dans le flux des rayons cosmiques. Après des années de recherches incessantes, les physiciens pourraient finalement réussir à mettre la main sur la mystérieuse matière noire invisible qui formerait près d'un quart de l'Univers (26,8% selon les données fournies par le satellite Planck). Grâce aux premiers résultats dévoilés mercredi et obtenus au cours d'une expérience de 18 mois menée à bord de la Station spatiale internationale (ISS), les chercheurs expliquent avoir observé l'existence d'un excès d'antimatière, d'origine inconnue, dans le flux des rayons cosmiques qui pourrait avoir résulté de l'annihilation de matière noire. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter
La Terre se situe dans un superamas baptisé Laniakea Tel un jeu de poupées russes cosmiques, l’Univers se compose de planètes qui tournent autour d’étoiles, d’étoiles rassemblées en galaxies, de galaxies en groupes ou en amas, et de groupes en superamas. Au final, la Terre se situe dans un superamas baptisé Laniakea. Alors qu’il était admis que l’Univers se compose de planètes qui tournent autour d’étoiles, d’étoiles rassemblées en galaxies, de galaxies en groupes ou en amas, et de groupes en superamas, il n’existait jusqu’à maintenant aucune définition préciser de ces dernières structures, les plus grandes de l’Univers.