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Paul Watzlawick

Paul Watzlawick
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Watzlawick, né le à Villach (Autriche) et mort le à Palo Alto (Californie) est un théoricien dans la théorie de la communication et le constructivisme radical, membre fondateur de l'École de Palo Alto. Il fut à la fois psychologue, psychothérapeute, psychanalyste jungien et sociologue. Ses travaux ont porté sur la thérapie familiale et la psychothérapie générale. Biographie[modifier | modifier le code] Watzlawick termine ses études secondaires en 1939 dans sa ville natale de Villach. Il obtient un poste pour les Nations unies en Italie. En 1960, il se rend à Philadelphie pour étudier l'approche thérapeutique de John Rosen à l'Institute for Direct Analysis. Ce groupe de chercheurs avec entre autres Gregory Bateson, Jay Haley, et Don Jackson, Paul Watzlawick va faire de cette École de Palo Alto une référence dans les domaines des théories de la communication, de la psychothérapie et de la thérapie familiale. 1. 2. 3. 4. 5. En collaboration Related:  CybernétiqueMEMOIRE

Autorégulation L’autorégulation est le nom donné à la régulation d'un système par lui-même. C'est le cœur de ce qui constitue l’autonomie du système[1] : ce qui fait qu'il se maintient une forme donnée selon des règles de fonctionnement interne. L’autorégulation est parfois liée à la complexité : les systèmes dont l'autorégulation est le plus inattendue sont les complexe. On l'étudie également dans les questions d'auto-organisation et d’émergence, qui désignent la façon dont un système construit de lui-même des caractéristiques que ne laissaient pas nécessairement prévoir ses composants ni leurs interactions, en général simples. L’autorégulation se fonde sur une ou plusieurs boucles de rétroaction (feedback), action d'un facteur sur lui-même par le biais d'un ou plusieurs autres facteurs. La cybernétique étudiée par Norbert Wiener et W. Trois exemples typiques[modifier | modifier le code] Neige[modifier | modifier le code] Solutions tamponnées en chimie[modifier | modifier le code] Voir[8]. Voir[9]. soit :

Apprentissage formel, informel, non-formel, des notions difficiles à utiliser... pourquoi? Formel, non-formel et informel sont des notions en usage pour penser l’éducation, la formation et l’apprentissage tout au long de la vie et nous devons à la Commission européenne et au CEDEFOP de leur avoir donné une posture universelle au tournant des années 2000, si bien qu’aujourd’hui on y réfère soit pour y adhérer, tout ou partie, ou pour s’en distancer. Rappelons les définitions. L’apprentissage formel est celui qui est dispensé dans un contexte organisé et structuré (par exemple dans un établissement d’enseignement ou de formation, ou sur le lieu de travail), et qui est explicitement désigné comme apprentissage (en termes d’objectifs, de temps ou de ressources). L’apprentissage formel est intentionnel de la part de l’apprenant; il débouche généralement sur la validation et la certification. L’apprentissage informel découle des activités de la vie quotidienne liées au travail, à la famille ou aux loisirs. Pourquoi en est-il ainsi? La mise à mort du triptyque En conclusion

École de Palo Alto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'école de Palo Alto est un courant de pensée et de recherche ayant pris le nom de la ville de Palo Alto en Californie, à partir du début des années 1950. On le cite en psychologie et psycho-sociologie ainsi qu’en sciences de l'information et de la communication en rapport avec les concepts de la cybernétique. Ce courant est notamment à l'origine de la thérapie familiale et de la thérapie brève. L'école a été fondée par Gregory Bateson avec le concours de Donald D. Historique[modifier | modifier le code] Le Projet Bateson[modifier | modifier le code] En 1952 l'anthropologue Gregory Bateson obtient le financement de la fondation Rockefeller pour une étude du « paradoxe de l'abstraction dans la communication ». Bateson est fortement influencé par le courant cybernétique, né des conférences Macy auxquelles il participe de 1942 à 1953. Le MRI[modifier | modifier le code] Bateson quant à lui quitte Palo Alto en 1963.

Goffman, Durkheim et les rites de la vie quotidienne 1Erving Goffman (1922-1982), professeur de sociologie aux universités de Chicago, Berkeley puis Pennsylvanie [1][1]Cf. Ditton 1980 ; Winkin 1988 ; Drew et Wotton 1988 ; Burns…, est un maillon essentiel de la tradition sociologique américaine du xxe siècle : il fait le lien entre l’École de Chicago et l’ethnométhodologie, entre Robert Park et Harold Garfinkel [2][2]Cf. Chapoulie 2001 ; Grafmeyer et Joseph 2004 ; Garfinkel 2007.. Mais il s’inscrit également dans la tradition sociologique d’Émile Durkheim, notamment par un petit livre, Les rites d’interaction (paru aux États-Unis en 1967 et traduit en français dans la collection « Le sens commun » chez Minuit en 1974), où il fait explicitement référence aux Formes élémentaires de la vie religieuse (1912). Comment cette incursion de Durkheim dans l’École de Chicago modifie-t-elle la tradition sociologique américaine [3][3]Une relecture de Durkheim à la lumière de Goffman a été… ? 36Et vous ? Et c’est bien là une chose extraordinaire.

Cybernétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cybernétique (en anglais cybernetics) est un terme, formé à partir du grec κῠβερνήτης (kubernêtês) « pilote, gouverneur », proposé en 1947 par le mathématicien américain Norbert Wiener pour promouvoir une vision unifiée des domaines naissants de l'automatique, de l'électronique et de la théorie mathématique de l'information, en tant que « théorie entière de la commande et de la communication, aussi bien chez l'animal que dans la machine »[1]. Des scientifiques d'horizons très divers et parmi les plus brillants de l'époque participèrent, autour des « conférences Macy » organisées de 1946 à 1953, à ce projet interdisciplinaire : mathématiciens, logiciens, ingénieurs, physiologistes, anthropologues, psychologues… Les contours parfois flous de cet ensemble de recherches s'articulent toutefois autour du concept clé de rétroaction (en anglais feedback) ou mécanisme téléologique. Histoire du mouvement cybernétique[modifier | modifier le code]

mark k smith | Mark K Smith I teach at the YMCA George Williams College, London (which is linked to Coventry University) and edit infed.org. Much of my time is concerned with developing programmes, learning resources and virtual learning environments (with the College and developinglearning.com). Previously, I was the Rank Research Fellow and Tutor at the College and a visiting professor in community education at the University of Strathclyde. For some time I have been a Fellow of the Royal Society of Arts. Among my books are Creators not Consumers (1980, 1982), Organise! Educated at the Cavendish School, Hemel Hempstead and the University of Lancaster, I went on to do a doctorate at the University of London. Click for more on my publications etc. and other areas of work. Mark K Smith Cybernétique À propos de la cybernétique, il y a au moins une chose sur laquelle tout le monde s’accorde: Ce mot dérive d’un mot grec, kubernêtikê, que Platon utilisait pour désigner le pilotage d’un navire. Il s’est souvent servi de cette métaphore pour présenter l’art véritable de gouverner, celui qui repose sur la sagesse, sur la connaissance du Bien. «La cybernétique est l’art de rendre l’action efficace.» Jules César a possédé au suprême degré l'art de rendre l'action efficace. On attribue spontanément un tel exploit à une prodigieuse présence d’esprit... et des sens. À l’époque, personne n’aurait songé à créer une science ayant pour fin d’étudier la façon dont l’information avait circulé, s’était organisée dans l’âme et dans le corps de César. Cette assimilation de la vie à la machine évoque le matérialisme, mais c’est plutôt le formalisme qui caractérise la cybernétique. La cybernétique mérite-t-elle le nom de discipline, est-elle un art, une science ?

La didactique en alternance ou comment enseigner dans l'alternance? difficulté dont la résolution nécessite la maîtrise de la notion qu'on veut enseigner (Meirieu, 1988). Cette didactique constructiviste répond bien à la nécessité du questionnement préalable à toute leçon (Dewey), mais elle laisse intacte la question du sens pour l'apprenant, car la situation-problème est toujours conçue par l'enseignant et le problème posé a d'abord du sens pour lui. On est donc toujours dans « une épistémologie de la résolution de problème» (Fabre, 1993 et 1999), c'est-à-dire dans une recherche de solution et non dans une problématisation (Gérard, 1997, 1999), comme si les problèmes étaient tout donnés ou se posaient tout seuls. La complexité du travail réel et la notion de compétence Dans l'alternance qualifiante, l'activité complexe c'est d'abord la pratique professionnelle de l'alternant. La prise en compte de cette expérience du travail est fondamentalement le problème de la didactique de l'alternance. faire face aux imprévus du travail et de l'action. Selon Y.

Norbert Wiener Norbert Wiener : père de la cybernétique, science des systèmes, du contrôle et des communications. « Ce grand savant, déclare Gérard Blanc, demeure un des piliers fondateurs de ce qui anime notre société : l’information et la communication » [1]. Vie d'un génie 1894 : Naissance de Norbert dans l’état du Missouri. Il est le fils aîné de Leo Wiener, enseignant polyglotte et auteur d’ouvrages savants et de Bertha Khan. 1896 : Le jeune Norbert sait lire et, de ce fait, est éduqué à la maison jusqu’à l’age de 7 ans. 1903 : Il entre pour une courte période à l’école avant de retourner étudier à la maison. 1906 : Il obtient son diplôme d’études secondaires et entre à l’université des Tufts pour étudier la biologie. 1909 : Il reçoit son diplôme et entre à Harvard pour étudier la zoologie. 1910 : Il quitte Harvard pour l’université Cornelle, pour retrouver les mathématiques. 1911 : Retour à Harvard pour commencer une thèse. 1913-1915 : Il suit des enseignements en Europe et rencontre Russel.

Les théories de l’apprentissage : enseigner / apprendre (Pascal Ourghanlian) Enseigner, transmettre, construire Les théories de l’apprentissage : enseigner / apprendre Un texte de Pascal Ourghanlian Quatre modèles(1) de l’apprentissage sont habituellement proposés par les didacticiens, à la fois selon une entrée diachronique (ces modèles recouvrent une évolution historique) et une entrée synchronique (chacun de ces modèles reste d’actualité et fournit une grille d’analyse possible de telle ou telle séquence de classe) : les modèles de l’« outre à remplir », du « stimulus-réponse », de « l’architecte » et de « la boîte noire ». Des modèles soumis à rectification(2) Historiquement, c’est le modèle transmissif qui vient en premier. C’est à Skinner que l’on doit une première inflexion de ce modèle. Le courant de la pédagogie de la maîtrise, couramment pratiquée aujourd’hui, a repris à Skinner la structuration de l’apprentissage en fonction d’objectifs très fins, organisés de manière spiralaire (pré-test, enseignement, test d’étape, remédiation, test terminal). Notes

Autopoïèse Varela - Jean-Paul Gaillard Sites de recherche et réflexion systémique à consulter régulièrement : L’Institut Systémique 3ième Génération s’est donné pour tâche de former les thérapeutes du 21ième siècle, capables d’aborder les changements radicaux d’ores et déjà visibles dans les fonctionnements familiaux, institutionnels et individuels, liés à la mutation sociétale en cours. L’IS3G offre une formation longue à qui souhaite acquérir une formation complète de thérapeute systémicien. Il est basé à Strasbourg, mais intervient dans toutes les villes rassemblant un groupe de postulants de dix personnes au moins. les journées d'étude et les formations, sur : www.frieh-bungert.fr Le réseau « Intelligence de la Complexité » est soutenu et organisé par deux associations-sœurs : l’Association Européenne pour la Modélisation de la Complexité (MCX) et l’Association pour la Pensée Complexe (APC), toutes deux présidées par deux complices de toujours : le Pr. Jean-Louis LE MOIGNE pour la première et le Pr. www.prospective.fr

Alternances et professionnalisation 1Des concepts et des notions comme ceux de compétences, de professionnalisation, d’apprentissage expérientiel, de savoirs d’action, d’autoformation ou de formation tout au long de la vie, mais aussi des dispositifs et des philosophies de formation comme l’organisation apprenante, le knowledge management, la formation située, la validation des acquis de l’expérience, l’autoformation professionnelle ou l’apprenance ont très certainement contribué à renouveler l’intérêt porté à la relation formation et travail et plus spécifiquement aux pédagogies de l’alternance. Depuis quelques années, de nombreuses disciplines tentent de les définir, de leur donner forme et corps : l’histoire, la sociologie, la psychologie du travail, l’ergonomie, les sciences de gestion, de l’éducation ou la didactique professionnelle. Chacune tente d’apporter des éclairages sur leurs spécificités et caractéristiques, sur la nature des partenariats entre monde du travail et monde de la formation. Tableau 1.

Goffman et l’ordre de l’interaction : un exemple de sociologie compréhensive 1 Pour une bibliographie de Goffman, cf. la présentation de Y. Winkin, « Erving Goffman : portrait d (...) 2 Cf. R.E. 1Erving Goffman, sociologue américain d’origine canadienne (1922-1982), étudia dans le prestigieux département de sociologie de l’Université de Chicago avant d’enseigner à Berkeley1. 2Le sujet et la structure, loin d’être des entités antagonistes, sont intrinsèquement liés au cœur de l’unité qu’est la relation. 3 Cf. notamment S. 3Dans le cadre de cet article, nous voudrions montrer comment l’épistémologie employée par Goffman est indissociable de son objet d’étude et de sa compréhension du social : la méthode compréhensive mise en place, critiquée par nombre de commentateurs3 pour son absence apparente de rigueur, est directement commandée et justifiée par l’ordre de l’interaction et le sens commun qui le sous-tend. 4 Cf. 5 E. 7 La mise en scène de la vie quotidienne, tome 1 : La présentation de soi, Paris, Minuit, 1973, trad (...) 8 E. 14 E. 15 E. 17 Cf. 18 E. 19 E.

Définitions de la didactique Quelques définitions apportées par différents auteurs du 20 ème siècle et qui donnent un premier aperçu du concept. Ainsi, pourrait-on dire que la didactique est la science qui s'intéresse aux méthodes et aux contenus des enseignements en étudiant comment les contenus d'une discipline sont transmis et comment les élèves se les approprient. Si la didactique s'intéresse au contenu d'une discipline, elle consiste à en repérer les principaux concepts qui s'y rattachent, à les explorer en s'intéressant à leur histoire, à leurs évolutions respectives et à la façon dont ils ont trouvé leur place dans l'enseignement. La didactique étudie donc le fonctionnement de ces concepts et les pratiques sociales auxquelles ils renvoient ainsi que les pratiques pédagogiques qu'ils sous-tendent. " Enseigner " et " Apprendre " " De l'extérieur, on tire l'élève hors de son état d'enfant, on le dirige, on le modèle, on l'équipe. Poursuivons la lecture de cet l'extrait : reste toutefois un point à éclaircir.

J'ai mis une vidéo de Paul Walzlawick dans palo alto by stanislasdano Dec 27

C'est plutôt facile et ludique on se prend rapidement au jeu. by stanislasdano Dec 27

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