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Trouble de la personnalité borderline

Trouble de la personnalité borderline
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trouble de la personnalité borderline Classification et ressources externes Le trouble de la personnalité limite (TPL) ou trouble de la personnalité borderline[1] (TPB) est un trouble de la personnalité caractérisé par une impulsivité majeure et une instabilité marquée des émotions, des relations interpersonnelles et de l'image de soi [2]. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV-TR) définit deux comportements principaux liés au trouble de la personnalité borderline : un comportement impulsif, et une instabilité émotionnelle ainsi que dans les relations sociales et sur l'image de soi, spécifiant neuf critères pour démontrer la présence de ces comportements[3]. Émotions[modifier | modifier le code] Les individus souffrant de TPB ressentent les émotions plus sensiblement, plus profondément et plus longtemps que la normale[5]. Comportement[modifier | modifier le code] Related:  psyché

Le trouble de la personnalité limite Le trouble de personnalité limite est de plus en plus fréquent dans la population en général et il est souvent mal identifié, ce qui a un impact important chez les gens qui en sont affectés. La détresse émotionnelle et les difficultés comportementales associées à ce trouble ont, de plus, des répercussions importantes sur les proches et les amènent à vivre une variété d’émotions souvent intenses : découragement, impuissance, colère, angoisse, peur, etc. Qu’est-ce que le trouble de personnalité limite? Une instabilité omniprésente dans les relations interpersonnelles, l’image de soi et les affects, ainsi qu’une impulsivité marquée qui apparaît au début de l’âge adulte dans divers contextes, tels qu’ils se présentent dans au moins cinq critères parmi les suivants : Le trouble de personnalité limite affecte 1 à 2 % de la population générale. 50 % de ces personnes feront des tentatives de suicide et jusqu’à 10 % de ce nombre se suicideront. Peur de l’abandon. Aller voir notre rubrique Articles

Trouble dysphorique prémenstruel Trouble dysphorique prémenstruel Mise en garde médicale Le trouble dysphorique prémenstruel (TDPM) est un syndrome caractérisé par des symptômes émotionnels, cognitifs et physiques qui provoquent une détresse ou une altération importante chez les personnes ayant des menstruations pendant la phase lutéale du cycle menstruel. Les symptômes surviennent pendant la phase lutéale (entre l'ovulation et les règles), s'améliorent quelques jours après le début des règles et sont minimes ou absents dans la semaine qui suit les règles[4]. Le TDPM a un impact profond sur la qualité de vie et augmente considérablement le risque d'idées suicidaires et même de tentatives de suicide[5]. 5 à 8 % des personnes menstruées souffrent de ce trouble entraînant une détresse importante ou une altération fonctionnelle[6]. Au sein de la population en âge de procréer, certaines femmes répondront aux critères du TDPM. La cause exacte du TDPM est actuellement inconnue. Symptômes[modifier | modifier le code] F.

Stress pendant la grossesse : une menace sur le développement cognitif du bébé Environ une femme enceinte sur quatre souffre de symptômes liés au stress. Les effets du stress maternel à long terme demeurent inconnus. Le développement cognitif du nourrisson comprend l’acquisition de facultés comme le toucher, l’odorat, l’apprentissage ou encore le langage. Le stress est mauvais pour la santé, et en particulier pour celle des femmes enceintes car il peut avoir un impact sur le développement de leur enfant. Dans JAMA Network Open, des chercheurs du Children's National Hospital, situé aux États-Unis, expliquent que les angoisses des mères nuisent au développement cognitif de leur progéniture. Des femmes suivis pendant et après la grossesse L’équipe de recherche a recruté 97 femmes enceintes. Une modification de la biochimie cérébrale Les auteurs constatent que l'anxiété des femmes enceintes affecte le développement cérébral de leurs bébés : leur santé mentale modifie la structure et la biochimie du cerveau fœtal en développement.

Le trouble borderline Le trouble borderline est un trouble de la personnalité très fréquent. Sur 100 personnes, il est estimé que 6 souffriront de ce trouble en population générale, et jusqu'à 20 si l'on se place dans un service de psychiatrie. Ce trouble est associé à une souffrance existentielle considérable. En outre, ces personnes ont un risque accru de souffrir de dépression, d'anxiété, d'addiction, ou de troubles du comportement alimentaire à un moment de leur vie. Qu’est-ce que le trouble borderline ? On rapporte 4 grandes dimensions à ce trouble : La dysrégulation émotionnelle, c'est-à-dire la difficulté à réguler ses émotions. Comment votre médecin va-t-il poser un diagnostic de trouble borderline ? De fait, au sein de ces 4 grandes dimensions, on retrouve 9 critères qui constituent le trouble borderline : Ce ne sont pas les seuls critères, mais ce sont ceux qui sont utilisés par les médecins pour poser le diagnostic. Comment prendre en charge le trouble borderline ?

Syndrome prémenstruel Le syndrome prémenstruel Le syndrome dysphorique prémenstruel est une forme plus sévère du syndrome prémenstruel. Historique[modifier | modifier le code] Robert Frank publie en 1931 un article qui traite de la « premenstrual tension »[1]. Dans les années 50, le médecin britannique Katharina Dalton note d'après son expérience et celle de plusieurs patientes la survenue de symptômes associés de manière récurrente à certaines périodes du cycle menstruel, comme des migraines ou des crises d'asthme. Épidémiologie[modifier | modifier le code] La prévalence précise du syndrome prémenstruel est inconnue[4]. Le syndrome prémenstruel concernerait entre 70 et 90 % des femmes en âge de procréer. Une étude réalisée en France en 2004 et 2005 sur 3 027 femmes en âge de procréer, et qui n'ont pas eu de grossesse ou allaité durant cette période indique que 12,2 % de ces femmes remplissent les critères d'un authentique syndrome prémenstruel. Recherches[modifier | modifier le code] (en) Paula K.

Phobie d'impulsion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une phobie d'impulsion ou pensée intrusive est un symptôme médical caractérisé par la crainte obsédante de commettre un acte délictueux, transgressif, ou dangereux pour soi-même ou pour autrui. Elle peut être l'un des symptômes d'un trouble obsessionnel compulsif (TOC). Lorsque la phobie d’impulsion devient pathologique, elle peut se traiter avec un ISRS et/ou une thérapie cognitive et comportementale[1]. Description clinique[modifier | modifier le code] La phobie d'impulsion est une obsession (c'est-à-dire une idée qui s'impose à la conscience du sujet qui la ressent comme contraignante et absurde, fait des efforts pour la chasser, mais n'y parvient pas) et non pas une phobie. L'idée obsédante est la source de ruminations douloureuses et très angoissantes qui peuvent envahir complètement la pensée. Il en résulte une lutte anxieuse pénible contre cette idée qui peut conduire à des rituels conjuratoires (compulsions).

Maintenir l’adhésion thérapeutique des patients souffrant d’addictions et trouble de personnalité limite Les études montrent que le trouble de l’usage de substances (TUS) et le trouble de personnalité limite (TPL) sont très souvent comorbides : 57% des TPL ont un TUS2, et 5 à 32% des TUS ont un TPL3 4. Or, on sait que le TPL engendre un fort taux d’abandon de thérapie, notamment à 3 mois (67%), comparé aux autres troubles de personnalité (38%) ou à la schizophrénie (14%)5. Quand le TPL est comorbide à un TUS, le taux d’abandon est encore plus important. I- Techniques d’engagement Défini en 1983 par Prochaska et DiClemente, l’engagement représente la motivation au changement du patient. 1) Evaluation pour & contre : consiste à demander à son patient les avantages et les inconvénients d’un comportement. 2) Avocat du diable : consiste à prendre une position extrême, afin que le patient endosse la position opposée. 3) Porte dans le nez et pied dans la porte : Ces deux techniques proviennent de la psychologie sociale. II- Alliance thérapeutique III- Cibler l’intolérance à la détresse Conclusion

Cyclothymie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme est anciennement identifié en 1863 par le psychiatre allemand Karl Ludwig Kahlbaum. En 1898, Ewald Hecker (en), son disciple, qualifie la cyclothymie de « maladie circulaire de la sensibilité émotive » (Gemütserkrankung) et Pierre Kahn, médecin à l' hôpital de la Pitié-Salpêtrière en 1909, évoque « une sorte de maladie très atténuée, un travers : la frontière qui précède immédiatement le domaine pathologique ». Symptômes[modifier | modifier le code] La cyclothymie se caractérise par un état mental où se succèdent des périodes euphoriques et des périodes de baisse d'humeur sans qu'il s'agisse de véritables épisodes maniaques ou dépressifs. Certains psychiatres ou psychologues comme Kay Redfield Jamison[1], Elie Hantouche et Régis Blain[2]. ou au début du siècle dernier, Pierre Kahn[3], ont évoqué un lien entre la cyclothymie et la créativité. Diagnostic[modifier | modifier le code] La Cyclothymie.

Bonjour,

Pensez-vous que certains cas de trouble de la personnalité borderline trouvent leur origine dans l'abandon du père dès la naissance. Je trouve beaucoup d'écris sur l'absence de la mère, ou sur son comportement "inapproprié" mais pas sur l'absence du père. ( on entre tout de suite dans le thème de la psychose.

Qu'en pensez vous ?

Bien Cordialement.
Marie. by mariepsycho Mar 29

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