Trouble dysphorique prémenstruel
Trouble dysphorique prémenstruel Mise en garde médicale Le trouble dysphorique prémenstruel (TDPM) est un syndrome caractérisé par des symptômes émotionnels, cognitifs et physiques qui provoquent une détresse ou une altération importante chez les personnes ayant des menstruations pendant la phase lutéale du cycle menstruel. Les symptômes surviennent pendant la phase lutéale (entre l'ovulation et les règles), s'améliorent quelques jours après le début des règles et sont minimes ou absents dans la semaine qui suit les règles[4]. Le TDPM a un impact profond sur la qualité de vie et augmente considérablement le risque d'idées suicidaires et même de tentatives de suicide[5]. 5 à 8 % des personnes menstruées souffrent de ce trouble entraînant une détresse importante ou une altération fonctionnelle[6]. Au sein de la population en âge de procréer, certaines femmes répondront aux critères du TDPM. La cause exacte du TDPM est actuellement inconnue. Symptômes[modifier | modifier le code] F.
Stress pendant la grossesse : une menace sur le développement cognitif du bébé
Environ une femme enceinte sur quatre souffre de symptômes liés au stress. Les effets du stress maternel à long terme demeurent inconnus. Le développement cognitif du nourrisson comprend l’acquisition de facultés comme le toucher, l’odorat, l’apprentissage ou encore le langage. Le stress est mauvais pour la santé, et en particulier pour celle des femmes enceintes car il peut avoir un impact sur le développement de leur enfant. Dans JAMA Network Open, des chercheurs du Children's National Hospital, situé aux États-Unis, expliquent que les angoisses des mères nuisent au développement cognitif de leur progéniture. Des femmes suivis pendant et après la grossesse L’équipe de recherche a recruté 97 femmes enceintes. Une modification de la biochimie cérébrale Les auteurs constatent que l'anxiété des femmes enceintes affecte le développement cérébral de leurs bébés : leur santé mentale modifie la structure et la biochimie du cerveau fœtal en développement.
Syndrome prémenstruel
Le syndrome prémenstruel Le syndrome dysphorique prémenstruel est une forme plus sévère du syndrome prémenstruel. Historique[modifier | modifier le code] Robert Frank publie en 1931 un article qui traite de la « premenstrual tension »[1]. Dans les années 50, le médecin britannique Katharina Dalton note d'après son expérience et celle de plusieurs patientes la survenue de symptômes associés de manière récurrente à certaines périodes du cycle menstruel, comme des migraines ou des crises d'asthme. Épidémiologie[modifier | modifier le code] La prévalence précise du syndrome prémenstruel est inconnue[4]. Le syndrome prémenstruel concernerait entre 70 et 90 % des femmes en âge de procréer. Une étude réalisée en France en 2004 et 2005 sur 3 027 femmes en âge de procréer, et qui n'ont pas eu de grossesse ou allaité durant cette période indique que 12,2 % de ces femmes remplissent les critères d'un authentique syndrome prémenstruel. Recherches[modifier | modifier le code] (en) Paula K.
Phobie d'impulsion
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une phobie d'impulsion ou pensée intrusive est un symptôme médical caractérisé par la crainte obsédante de commettre un acte délictueux, transgressif, ou dangereux pour soi-même ou pour autrui. Elle peut être l'un des symptômes d'un trouble obsessionnel compulsif (TOC). Lorsque la phobie d’impulsion devient pathologique, elle peut se traiter avec un ISRS et/ou une thérapie cognitive et comportementale[1]. Description clinique[modifier | modifier le code] La phobie d'impulsion est une obsession (c'est-à-dire une idée qui s'impose à la conscience du sujet qui la ressent comme contraignante et absurde, fait des efforts pour la chasser, mais n'y parvient pas) et non pas une phobie. L'idée obsédante est la source de ruminations douloureuses et très angoissantes qui peuvent envahir complètement la pensée. Il en résulte une lutte anxieuse pénible contre cette idée qui peut conduire à des rituels conjuratoires (compulsions).
Cyclothymie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme est anciennement identifié en 1863 par le psychiatre allemand Karl Ludwig Kahlbaum. En 1898, Ewald Hecker (en), son disciple, qualifie la cyclothymie de « maladie circulaire de la sensibilité émotive » (Gemütserkrankung) et Pierre Kahn, médecin à l' hôpital de la Pitié-Salpêtrière en 1909, évoque « une sorte de maladie très atténuée, un travers : la frontière qui précède immédiatement le domaine pathologique ». Symptômes[modifier | modifier le code] La cyclothymie se caractérise par un état mental où se succèdent des périodes euphoriques et des périodes de baisse d'humeur sans qu'il s'agisse de véritables épisodes maniaques ou dépressifs. Certains psychiatres ou psychologues comme Kay Redfield Jamison[1], Elie Hantouche et Régis Blain[2]. ou au début du siècle dernier, Pierre Kahn[3], ont évoqué un lien entre la cyclothymie et la créativité. Diagnostic[modifier | modifier le code] La Cyclothymie.
Automatisme mental
automatisme mental , défini dans les années 1920 par le psychiatre français Gaëtan Gatian de Clérambault (1872-1934)[1] qui en a fait le titre d'un de ses ouvrages, se caractérise par un ensemble d'hallucinations dans lesquelles une personne est persuadée que quelqu'un ou quelque chose s'est emparé de sa conscience ou guide ses actes. Dans le contexte de la psychiatrie de l'époque, la notion d'automatisme est très présente mais Clérambault le raffine en distinguant deux formes principales d'automatisme mental : les automatismes mineurs (qui correspondent à ce qu'on appelle aujourd'hui les pensées intrusives) et les automatismes majeurs (les hallucinations proprement dites, accompagnées de délires, telles qu'on les retrouve dans la psychose hallucinatoire chronique). Cette forme pathologique aiguë est génératrice d'importantes angoisses à type de périls imminents et/ou d'irrépressibles injonctions, pouvant mener à des passages à l'acte auto-agressifs et dans de rares cas hétéro-agressifs.
Hypomanie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’hypomanie (littéralement, « sous-manie ») est un état psychiatrique caractérisé par un trouble de l'humeur, laquelle peut être irritable, excitée, persistante et omniprésente, ainsi que par des pensées et des comportements concomitants. Un individu atteint d'hypomanie, appelé hypomaniaque, possède en général un besoin moins important de dormir ou de se reposer, est très extraverti, très compétitif, et manifeste une énergie débordante. Un nombre important d'individus possédant une créativité élevée ont rapporté avoir des symptômes de bipolarité ; on s’aperçoit néanmoins de plus en plus que ce sont des hyperactifs (TDAH), et qu’ils affirment en être tributaires[Quoi ?]. Définitions[modifier | modifier le code] Occurrence[modifier | modifier le code] L'hypomanie peut également survenir en tant qu'effet secondaire dû à la prise de substances médicamenteuses prescrites pour des troubles autres que psychologiques. Artistes
Hallucination
Une hallucination est définie, en psychiatrie, comme une perception sensorielle sans présence d'un stimulus détectable : par exemple voir des objets physiquement absents, ou bien entendre des voix sans que personne ne parle. Les hallucinations psychiques concernent uniquement la pensée : idées, sentiments, représentations… s'imposant à l'esprit. Le classement des hallucinations varie selon les auteurs, et différents types d'hallucinations peuvent se recouper. En français le terme « hallucination » apparaît en 1660. L'utilisation médicale du mot halluciner est attestée en 1674 dans le sens de « divaguer, errer ». C'est Esquirol (1772-1840) qui en donne une première définition moderne en 1838 : « Un homme qui a la conviction intime d'une sensation actuellement perçue, alors que nul objet extérieur propre à exciter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état hallucinatoire : c'est un visionnaire. » Selon Georges Lanteri-Laura[2] :
Bonjour,
Pensez-vous que certains cas de trouble de la personnalité borderline trouvent leur origine dans l'abandon du père dès la naissance. Je trouve beaucoup d'écris sur l'absence de la mère, ou sur son comportement "inapproprié" mais pas sur l'absence du père. ( on entre tout de suite dans le thème de la psychose.
Qu'en pensez vous ?
Bien Cordialement.
Marie. by mariepsycho Mar 29