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Related: Plaisir • AU FOND DE L'ÊTRE CELA ! • Blogs féministes/-ninsMasturbation féminine : mode d'emploi Longtemps considérée comme honteuse et même comme source de surdité ou de stérilité, la masturbation, aussi appelée onanisme, a aujourd'hui retrouvé ses lettres de noblesse. Une étude américaine menée sur 5865 personnes a en effet révélé que près de 80 % des femmes âgées de 14 à 94 ans s’adonneraient régulièrement à cette activité sexuelle. Et si la masturbation - tout particulièrement chez les femmes - reste encore aujourd'hui un sujet tabou, il tend de plus en plus à se démocratiser. Zsa Zsa Gabor, la légende hollywoodienne, est morte L’actrice d’origine hongroise a succombé dimanche à une crise cardiaque dans sa maison de Los Angeles. Elle avait 99 ans. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jacques Mandelbaum Tantrisme : le Yab-Yum, une position pour être plus proche que jamais de son partenaire La vie de couple n’est pas de tout repos, et il arrive que l’on se laisse happer par le quotidien sans même s’en rendre compte. C’est pourquoi il est parfois nécessaire de prendre le temps de se "reconnecter" à son partenaire ! Week-end en amoureux, balade romantique, dîner en tête-à-tête… Bon nombre d’options s’offrent à vous pour y parvenir. Et si vous misiez plutôt sur une solution originale ?
Pratiquer la masturbation féminine pour une vie sexuelle plus épanouie Bien qu’encore relativement tabou, le plaisir solo féminin pourrait bien être LA solution pour atteindre le 7ème ciel, et ce à chaque partie de jambes en l’air. Explications. La masturbation augmente votre endurance Pour les femmes, la masturbation est un excellent moyen d'apprendre à appréhender la montée de leur excitation et l'arrivée de l'orgasme. Une fois le tout sous contrôle, c’est beaucoup plus simple à reproduire sous la couette avec son amant. La masturbation permet de faire le tri dans ses fantasmes
Synchroniser son corps et sa tête grâce au sexe Dans son ouvrage sur la décroissance personnelle qui relate les aventures de Pensouillard le Hamster, le Dr Serge Marquis dédie tout un chapitre au sexe qui - selon lui - peut permettre de “synchroniser” ses pensées et son corps. Une théorie partagée par ceux qui plébiscitent le slow sex. “Quand une personne s’envoie en l’air, son esprit peut enfin être en paix pendant une certaine période”, écrit l’expert. Les secrets de la sexualité féminine dévoilés Près de 3400 femmes ont répondu à un questionnaire détaillé sur Internet. Certains résultats sont étonnants. Une femme sur trois éprouve de la pudeur (gêne) dans l'intimité sexuelle!
Le féminisme de A à G L’heure du bilan a sonné. Alors que chaque année, nous avons droit à une élection par voie de sondage de la femme de l’année (Léa Salamé pour GQ, Cristina Cordula pour Télé 7 Jours, Florence Foresti pour Terra Femina, Taylor Swift pour Billboard…), 2014 voit poindre un podium des féministes de l’année. Dingue. Clitoris, plaisir, éducation sexuelle... des vingtenaires se confient dans un doc sans tabou - Madame Figaro Vous savez peut-être situer votre clitoris, à quoi il ressemble et à quoi il vous sert, sauf que ce n’est pas le cas de toutes, ni de tous (mais ça c’est un autre sujet). C’est par cette porte d’entrée que Daphné Leblond et Lisa Billuart-Monet scrutent à la loupe la sexualité féminine dans leur documentaire Mon nom est clitoris (Magritte du meilleur documentaire en 2019), en avant-première dans la salle de cinéma virtuelle de La Vingt-Cinquième Heure à partir du 17 juin (1). 88 minutes d’un «film de sexe sans nudité», résume Daphné Leblond, exclusivement nourri de confessions de vingtenaires sur leur parcours de sexualité. L'ambition ? Proposer un nouveau modèle d’éducation sexuelle «affranchi des codes du patriarcat», et «libérer la sexualité de tout le monde». À lire aussi » Parler de sexe à son ado : "Si on le fait quand il a 15 ans, c'est trop tard" En vidéo, la bande-annonce de "Mon nom est clitoris"
Quand le sport mène à l'orgasme Certaines femmes atteignent involontairement l'orgasme pendant des séances d'entraînement physique, révèle la première étude scientifique sur le sujet. C'est un article qui va faire le bonheur des gérants de salles de sport. Selon une étude américaine parue dans la très sérieuse revue Sexual and Relationship Therapy, certaines femmes éprouveraient du plaisir sexuel, pouvant aller jusqu'à l'orgasme, au cours d'efforts physiques intenses. Et ce, sans l'intervention d'un tiers ou de fantasmes. Debby Herbenick, codirectrice du Centre pour la promotion de la santé sexuelle à l'Université de l'Indiana, s'est intéressée à ce phénomène négligé par la recherche mais dont des récits circulaient depuis plusieurs années. Pour mener son étude à bien, elle a demandé à des femmes fréquentant des salles de sport de remplir un questionnaire très complet.
Roz, le magazine féminin afghan fait par et pour les femmes, tente de renaître sur le Net Porté par l'association Afghanistan Libre, le projet n'a pu survivre sous forme de magazine papier. Aujourd'hui, sa fondatrice veut en faire un site d'informations mais aussi un réseau sur lequel les Afghanes pourront compter. Elles étaient cinq. Cinq journalistes afghanes résistaient et signaient chaque mois les articles de Roz, l'un des rares magazines féminins publiés en Afghanistan. Mais en avril 2014, après plus de dix ans de publication, leur aventure a pris fin, faute d'argent. Mais elle pourrait repartir grâce à Internet. Simuler au lit : pourquoi les femmes se sentent-elles obligées ? L’un des grands problèmes de la simulation sexuelle : ce sont surtout les femmes qui la pratiquent. Par plaisir ? Oh non. La simulation sexuelle, c’est « faire semblant de prendre du plaisir sexuel », d’après Lisa Billuart-Monet et Daphné Leblond, réalisatrices du documentaire ‘Mon nom est clitoris’. Dans leur série de témoignages sur le plaisir féminin, c’est l’une des grandes thématiques abordées. Et pour cause, d'après une enquête réalisée par l'institut de sondages Ifop pour le site Online Seduction en février 2019, deux tiers des femmes ont déjà simulé au cours de leur vie (et plus précisément 67% des femmes de moins de 30 ans).
Emmanuelle Riva, sur l'autre rive Elle nous disait, il y a quatre ans, lors de la sortie d’Amour de Michael Haneke, qui lui avait valu d’être nommée aux oscars dans la liste des meilleures actrices : «Dans ma vie, j’ai surtout dit non. La liste de mes refus est aussi vaste que celles de mes consentements.» Et aussi : «Je n’ai pas aimé être un objet convoité pour sa rentabilité.» « Oui mais quand même, la religion, c’est mal » Relayer l’information de la énième agression d’une femme voilée, ou les propos haineux tenus sur l’islam par la représentante d’une organisation pseudo-féministe, revient immanquablement à emboucher l’appeau à trolls religiophobes. Que des femmes soient insultées et tabassées, que le féminisme serve de leurre pour répandre et banaliser le racisme le plus crasse, tout cela, le/la religiophobe s’en moque : dans un pays où médias et politiques, de façon plus ou moins insidieuse, désignent à longueur de temps les musulmans comme la cause de tous les maux de la société, son seul sujet d’anxiété est que son droit à « critiquer la religion » soit garanti. Pour l’exprimer, il usera de subtiles gradations dans la virulence, de la simple protestation à l’éructation scatologique probablement censée traduire la hauteur à laquelle il plane dans l’éther philosophique inaccessible aux benêts qui voient du racisme partout : « Moi, je chie sur toutes les religions. » Bon, d’accord. Parlons-en, alors.