Scoop.it, un outil de veille vraiment pratique Outil modèle de veille digitale, Scoop.it permet de faire de la curation, c'est à dire sélectionner et classer les fluxs d'information selon une thématique avant de les mettre en valeur pour les diffuser et les partager sur le net et les réseaux sociaux. Retour sur cet outil du web 2.0, social et collaboratif. Ouvrant l'accès à une grande diversité de sujets et d'informations spécifiques, l'outil de veille et curation, Scoop.it fonctionne comme un portail vertical de contenus web triés et gérés par ses utilisateurs. La première étape est de s'inscrire sur la page d’accueil et de cliquer sur « Sign up for free », si vous souhaitez choisir la formule gratuite. A la manière d'un blog, l'utilisateur du service commence par créer une « Scoop.it Page » ou Topic sur un sujet précis. Le bouton « Install the bookmarklet », est une option très pratique pour ajouter le contenu qui vous intéresse par simple glisser-déposer dans le Topic de votre magazine. Notes
La boite à outils du veilleur 2.0 tutoriel Scoop it by victor sabourin on Prezi Scoop.it, un outil de curation A nouveaux usages, nouveau vocabulaire. A la fin de l’année 2010 le terme "curation" a fait son apparition dans le domaine de l’information-documentation directement influencé par les nouvelles utilisations du web 2.0 et la nécessité de filtrer, canaliser, exploiter, partager le flux pléthorique des informations. Ce néologisme, issu du terme curator anglo-saxon dénommant à l’origine le commissaire d’expositions d’art, désigne une activité que les documentalistes connaissent depuis longtemps : regrouper les informations, les sélectionner, les classer selon une thématique précise. La curation va cependant plus loin puisqu’il s’agit aujourd’hui de mettre en valeur ces données, de les éditorialiser et de les partager, valeur ajoutée rendue possible grâce à l’évolution des outils du web. Vous avez dit « Curation » ? La curation avec Scoop.it Présentation du service en janvier 2011 sur Le blog du modérateur « Curation » ou webinage ? Les outils de curation Scoop.it Procédure Lancez-vous ! 1. 4.
Les 5 piliers de l’E-réputation Le 22 Août 2009, dans l’un des premiers billets de ce blog, Amine avait rédigé le billet: l’E-réputation: Mode d’emploi où il expliquait à qui s’adressait l’e-réputation avec un schéma qui spécifie les processus de surveillance et de management qui en découlent. Aujourd’hui, je représente dans le schéma ci-dessous ma vision de l’e-réputation, qui à mon sens, s’appuie sur 5 piliers issus des processus de surveillance et de management. 1. Faire un bilan de mon image et de celle de mes concurrents 2. 3. 4. 5. Cette représentation de l’e-réputation s’applique, à mon avis, autant aux individus qu’aux entreprises. Et vous lecteurs fidèles de ce blog, blogueurs et professionnels dans le domaine, qu’est ce que vous en dites ? Like this: J'aime chargement…
L’é-reputation : les études se multiplient « CitizenTrend 20 avril 2010 par citizentrend A noter, la parution cette semaine de deux études sur l’e-reputation et les médias online en général. La première, réalisée par le GFII (Groupement Français de l’Industrie de l’Information) propose une large analyse autour du thème « e-réputation et identité numérique des organisations – Typologie des menaces et identification des modes de traitement applicables ». Cette étude de 67 pages propose des outils concrets pour analyser les menaces en termes d’image de marque sur Internet, comme une « fiche de relevé d’incident ». Srce : Digimind Le 19 avril, KPMG révélait son second baromètre « Media and Entertainment ». scre : KPMG Malgré cette croissance régulière, l’étude du cabinet de conseil fait part d’une méfiance persistante de la part des individus envers les contenus online. Encore une fois, cette étude démontre la faiblesse du "Tout en un", soit le seul développement des médias traditionnels ou, à l’inverse, des médias online. Like this: J'aime chargement…
Dossier veille et e-réputation La veille, l’e-réputation en concepts, outils et applications : LE dossier de rentrée sur Marketing-Professionnel.fr ! Il sent bon les fournitures neuves, les bonnes résolutions… et nous « remet dans le bain » avec de belles contributions ! A déguster avec notre dossier suivant : Personal Branding Dossier veille et e-réputation sur Marketing Professionnel Veille et e-réputation en concepts La veille et l’e-réputation : posons les concepts, une entrée en matière par Mickaël Réault, Fondateur de SindupDe la revue de presse à la veille multicanal (idem, dans un 2e article), par Pascal Jappy, Marketing Manager, AugureDe la réputation à l’e-réputation : ce qui a changé. Outils, applications de veille et d’e-réputation Veille et e-réputation : quelle stratégie efficace pour l’enseignement supérieur ? Lire le dossier e-réputation (2009) et notre dossier planning stratégique Marketing Professionnel : une veille marketing régulière Précédent dossier : Social Commerce Dossier suivant : Personal Branding
Une e-réputation, ça ne se nettoie pas, ça se construit. J »intervenais ce matin au colloque « e-réputation et identité numérique des organisations« , au GFII. Le rapport du groupe de travail du GFII est très intéressant (PDF disponible ici) , représente une belle somme de travail, et serait à mettre entre beaucoup de mains, pour ceux qui veulent comprendre les risques de la réputation des entreprises (ou institutions) en ligne. Au-delà de quelques cas, j »ai insisté, lors de mon intervention, sur deux points. Ils me semblent importants, sur ce sujet qui l »est autant, et surexposé actuellement. 1. Nettoyeur de e-réputation ? De nombreux sujets de media couvrent ce nouveau métier, promis à un grand succès… médiatique : nettoyeur de e-réputation. Mais une réputation, ça ne se nettoie pas. Non, une réputation, ça se construit. Comment la construire, alors ? Chers responsables de la communication, chers journalistes, ne croyez pas ces rigolos. 2. Dans le document du GFII, on ne liste que des menaces. Mais enfin, ce n »est pas tout.
La e-réputation en 10 points clés Nous le constatons tous les jours : la question de la e-réputation monte en puissance. Pas seulement sur le web, où tout le monde en parle, mais aussi et surtout dans les comités de direction. Pour beaucoup, c’est un réflexe de protection face aux attaques potentielles sur Internet. Dans un monde connecté et en conversation, c’est une préoccupation légitime. Toutefois, entre gestion de crise sur le web et gestion de la réputation, il y a un océan. 1 – La e-réputation n’existe pas en soi. 2 – Travailler sur la e-réputation, c’est comprendre les ressorts de la réputation. 3 - La réputation, avec son sous ensemble de e-réputation, se gère comme un actif stratégique. 4 – Le diagnostic de e-réputation est un moment fondateur. 5 – La e-réputation se conçoit comme une démarche de progrès, au service de la stratégie d’entreprise. 6 – La e-réputation présente deux versants : risques/opportunités. 7 – Les collaborateurs, comme les dirigeants, sont vecteurs de réputation sur le web.
Mention – L’application idéale pour faire de la veille sur des mots clés Si vous devez faire un peu de veille sur certains mots clés, plutôt que de perdre votre temps le nez dans les emails avec Google Alert, je vous invite fortement à tester l'application Mention. Ce service (français) est une application disponible sous Linux, Mac, Windows, iOS et Android et qui à partir de mots clés, vous remonte toutes les mentions de ces mots à travers la galaxie des interwebs. Twitter, Facebook, les forums, les blogs...etc., etc. Pratique pour surveiller ce qui se dit sur le net sans passer son temps à écumer Google. Ca fait quelques semaines que je l'utilise et je rage car je ne lui ai pas encore trouvé de défaut, à part peut être un petit problème de lenteur dans le scrolling de certains pages qui doit être dû à la techno Adobe Air employée. Mis à part cela, c'est gratuit en dessous de 500 mentions par mois. Je vous invite à la tester d'urgence surtout si ça fait partie de votre boulot de faire de la veille ou si vous êtes Community Manager. PS : et y'a même une API !
Papa, maman, c’est quoi un chargé de veille ? Nous avons tous connu cela. Au cours d’une discussion sur l’activité professionnelle de chacun, quelqu’un se tourne vers vous et vous demande: »Et toi, tu fais quoi ? » Avec le métier de chargé de veille, la difficulté débute dès qu’il s’agit de le définir. D’ailleurs, certains doivent encore croire que vous travaillez pour une société de surveillance. Et ce n’est pas totalement faux. Selon l’APEC, le chargé de veille « conçoit, met en oeuvre et fait évoluer les dispositifs de veille ». En entendant parler de "veille", de nombreux dirigeants d’entreprise pensent spontanément à la veille technologique. Parfois, c’est la Veille commerciale qui est mise en avant : surveillance de l’état et évolution du marché, et l’analyse des marchés. Voilà où le bât blesse : du fait de son champ d’application étendu, la veille dans toute sa diversité apparaît comme une activité chronophage et peu rentable. Et si le métier de chargé de veille n’existait pas ? Like this: J'aime chargement…