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Bill Viola Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Viola. Bill Viola Bill Viola en 2011 Œuvres réputées The Passing (1991)The Greeting (1995)The Crossing (1996)Five Angels for the Millenium (2001)Observance (2002) Bill Viola est un artiste américain né à New York le 25 janvier 1951. Biographie[modifier | modifier le code] Bill Viola étudie les arts plastiques à l'université de Syracuse de New York mais, n'étant pas à l'aise dans les cours qu'il trouve trop traditionnels, il rejoint une section créée par le professeur Jack Nelson pour les élèves inadaptés aux autres sections, l'« experimental studio », où il entre en contact avec la vidéo. Il commence à mettre en place des installations vidéo en utilisant des moniteurs, puis des projections de ses vidéos sur de grandes surfaces dès 1973. Vers le milieu des années 1970, il voyage en Orient poussé par une quête spirituelle. Prix et distinctions[modifier | modifier le code] Relativité du grand et du petit L'espace-temps

Marc Séguin dans les ligues majeures à New York | Esther Bégin, collaboration spéciale | Arts visuels Avec Failures (Échecs), exposée à la galerie Mike Weiss, Séguin dispose maintenant d'une vitrine sur l'une des artères les plus importantes du milieu international de l'art contemporain. «Il y a un snobisme ici selon l'étage où vos toiles sont exposées. Notez que les miennes se trouvent au niveau de la rue (le plus prisé)», lance en riant Marc Séguin qui, malgré la dureté de son oeuvre, ne manque pas d'humour! Failures demeure fidèle à son style: des toiles aux images hautement symboliques réalisées avec des cendres et de l'huile. Dans la blanche et belle galerie Mike Weiss, le vernissage (jeudi dernier) a attiré pas moins de 1600 visiteurs, dont quelques-uns des plus grands collectionneurs privés en ville: Michael Hort, Eileen Kaminsky, Eyal Levy... «C'est très difficile de reproduire un style aussi photographique», explique Eyal Levy, devant une toile de Séguin présentant le corps d'une jeune fille tatoué du sceau de la marine américaine.

Impermanent Sand Paintings by Andres Amador San Francisco-area landscape artist Andreas Amador etches massive sand drawings onto beaches during full moons when his canvas reaches its largest potential. Using only a rake and often several helpers the geometric and organic shapes are slowly carved into the sand, often interacting with the physical topography like the stones in a zen garden. The works exist for only a few moments, just long enough to snap a few photographs before being completely engulfed by the encroaching tide. Amador has also collaborated on a number of killer marriage proposals, the question popped as part of his elaborate drawings viewable from an elevated distance. You can see much more on his website, and he also sells prints.

Y a-t-il des artistes qu’on n’a pas le droit de publier sur Facebook ? La « Ema » de Gerhard Richter revient en ligne La belle Ema de Richter a réapparu lundi dernier sur la page Facebook du Centre Pompidou. Le blog « Les notes de Véculture » avait sonné l’alarme sur la suppression par Facebook du célèbre nu dans les escaliers de Gerhard Richter, posté en ligne par le musée d’art moderne et contemporain à l’occasion de la rétrospective du peintre. Sur la page dédiée à l’artiste, la même reproduction de l’œuvre avait été postée depuis mai dernier et n’a pas disparu. Sur la page du Centre Pompidou, après 1300 « Like » et 200 partages, elle a disparu dans la nuit. Un pop-up conseillait samedi le Centre Pompidou de se reporter aux conditions d’utilisation de Facebook. Contacté via Twitter, pour plus d’explication sur la suppression du tableau online « un responsable de Facebook Europe a laconiquement répondu ‘bot as usual’ », a confié le chargé des projets numériques au Centre Pompidou Gonzague Gauthier. Lundi, l’agence de communication française de Facebook ont directement appelé Gonzague Gauthier.

«J’ai toujours été un inquiet» Exposé jusqu’à fin septembre à Beaubourg et au Louvre, le peintre Gerhard Richter clôt à Paris une rétrospective en trois actes qui l’a déjà mené à Londres et Berlin et qui traverse tous les âges et toutes les périodes de l’artiste allemand. Juin [Juni], 1983. On ne peut pas vraiment dire que Gerhard Richter soit sous-exposé en France. Le Centre Pompidou, en collaboration et après la Tate Modern de Londres (d’octobre 2011 à janvier 2012) et la Neue Nationalgalerie de Berlin (de février à mai 2012), a intitulé l’exposition «Panorama». Avec le recul et à travers une importante rétrospective comme celle-ci, quel regard portez-vous sur un peu plus de cinquante ans de carrière ? Une rétrospective est toujours une formidable occasion d’essayer de comprendre le fil conducteur de son propre travail, dans sa globalité et non pas par bribes, comme c’est le cas lorsqu’on a des expositions régulières qui, généralement, ponctuent une série juste terminée ou encore en cours. Oh… ! Cela oui. Non.

Gerhard Richter à échelle humaine Naître à Dresde en 1932 d’un père nazi. Devenir un artiste en Allemagne de l’Est. S’échapper du communisme en 1961. Monter dans un avion à destination de New York le matin même du 11 septembre 2001… La vie de Gerhard Richter, qui n’est pas terminée, est une suite d’événements historiques, assemblés sans autre logique que leur caractère extraordinaire. Son œuvre en est le reflet, dans une profusion souvent contradictoire de thèmes, techniques et supports. Aplats mouvants. Après la Seconde Guerre mondiale, Richter s’aventure dans la mémoire, la sienne et celle de l’Allemagne. L’histoire dicte sa loi, Gerhard Richter travaille d’après photos : Dresde anéantie, la bande à Baader, jusqu’aux tours du World Trade Center, qu’il aurait pu percuter en avion. Habité par un tableau de Duchamp, Nu descendant un escalier (1912), il arrive à la conclusion inverse. Explosion acidulée.

Edward Hopper Exposition présentée au Grand Palais du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 Les peintures d’Edward Hopper ont la simplicité trompeuse des mythes, l’évidence des images d’Epinal. Chacune d’elles est un condensé des savoirs hypothétiques, des rêves que nous inspire l’Amérique. Expression des sentiments les plus poignants, ou pures constructions mentales, ces peintures donnent lieu aux interprétations les plus contradictoires. Romantique, réaliste, symboliste, et même formaliste, Hopper a été enrôlé tour à tour sous toutes les bannières. C’est cette complexité, signe de la richesse de cette oeuvre que s’efforce d’éclairer cette exposition. Conçue chronologiquement, elle se compose de deux grandes parties : la première, consacrée aux années de formation, rapproche les œuvres de Hopper de celles de ses contemporains et de celles, découvertes à Paris, qui ont pu l’inspirer. Commissaire Didier Ottinger, directeur adjoint du MNAM – Centre Pompidou

Le style maniériste La maniéra italienne De 1515-1520 à 1575-1580 environ, la peinture italienne prend une forme très particulière, appelée par la suite Maniérisme. Le terme « maniera », d’où découle « maniérisme » (manierismo) en italien, semble généralement employé dans la littérature artistique du XVIe siècle. Dans la troisième partie des « Vies » de Vasari, des expressions comme « maniera moderna » désignent expressément l’art des artistes de la Renaissance, de Léonard de Vinci à Raphaël, et jusqu’à Michel-Ange qui « surpasse et domine tous ceux qui ont presque déjà triomphé de la nature, mais ceux-là mêmes, très célèbres artistes de l’Antiquité, qui la surmontèrent indubitablement si admirablement ». Cette exaltation de la « maniera moderna » supérieure aux modèles de l’Antiquité et à la nature elle-même, reflète une nouvelle conception de l’imitation artistique (imitation non plus des œuvres de la nature, mais de celles des maîtres). Florence, début du XVIe siècle La figure maniériste

La Cène de Léonard de Vinci La Cène par Léonard de Vinci La Cène de Léonard de Vinci est une fresque murale qui représente le dernier repas de Jésus de Christ avec ses douze apôtres le soir du jeudi saint, juste avant d’être arrêté par les Romains. Soir, qui n’est autre que la veille du jour de sa crucifixion. On retrouve de gauche à droite les douze apôtres entourant Jésus: Barthélemy, Jacques le Mineur, André, Judas, Pierre, Jean, Jésus, Thomas, Jacques le Majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée et Simon. Considérée par les Chrétiens comme un des piliers de la foi chrétienne, elle représente la commémoration d’institution de l’Eucharistie. La Cène, peinte par le génie et l’illustre Léonard de Vinci, fait une longueur de 8,80m sur 4,60m de hauteur. Quant à Léonard de Vinci, il s’est vu partager entre deux œuvres dont Il Cavalli et la Cène qui nous intéresse. Pour ce qui est de la technique de peinture utilisée par Léonard de Vinci pour La Cène, notre génie a opté pour la « tempera » (appelée également détrempe).

Vernon : Au coeur de l'impressionnisme C'est ici que le peintre Claude Monet, fondateur du mouvement impressionniste, a vécu pendant 43 ans. Les jardins de sa maison, le village et les alentours de Giverny ont été ses modèles et attirent encore, chaque année, un demi-million de visiteurs du monde entier, ainsi que les peintres séduits par la lumière si particulière du val de Seine. Mais les ressources de ce petit coin de Normandie ne s'arrêtent pas là. Riche d'une histoire qui remonte au paléolithique, la région regorge de sites archéologiques, de châteaux prestigieux, de moulins mystérieux, de jardins merveilleux et de riches musées. Elle se tourne aussi vers l'avenir : c'est à Vernon que sont fabriqués les moteurs du lanceur européen Ariane.

Claude MONET, biographie - L'Impressionnisme L'HERITIER DE BOUDIN et JONGKIND Alors qu'il était encore au lycée, il connut une certaine notoriété en peignant des caricatures qu'il exposa dans le magasin de fournitures de dessin avec lequel Eugène Boudin travaillait à l'époque. Finalement Boudin convainquit le jeune Monet, d'abord réticent, de peindre avec lui en plein air. Monet dira plus tard : "par le seul exemple de cet artiste épris de son art et d'indépendance, ma destinée de peintre s'était ouverte". Sa famille n'était pas opposée à ce qu'il devint peintre, mais ses idées indépendantes, sa critique de la peinture académique et son refus de suivre une bonne Ecole d'Art provoquèrent des disputes répétées au sein de sa famille. Son service militaire en Algérie (1860-1861) fut interrompu par une grave typhoïde qui le ramena en France, où il recommença à travailler l'été 1862 avec Boudin et le peintre-paysagiste hollandais Jongkind, au Havre. L'histoire de l'impressionnisme est indissociable de celle du Salon de Paris.

Kyle Thompson 01 Site officiel du musée du Louvre La Grande Guerre en dessins, des artistes pendant la premiere guerre mondiale 14-18

by pph Nov 9

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