« Infinite Skulls » : l'expo qui fait dialoguer art et intelligence artificielle. Du 7 au 11 février, une exposition présentée à l’Avant Galerie Vossen, à Paris, décline des images de crânes à l’infini en mêlant deep learning et peinture.
Née de la rencontre entre le peintre Ronan Barrot et l’artiste-chercheur en IA Robbie Barrat, elle interroge la créativité des machines et le futur de l’art. Il suffit d’une centaine d’images de crânes, retournés dans tous les sens, parfois déformés, voire monstrueux, pour nous donner le vertige de l’infini. Data Art : la donnée comme matériau d’origine. A l’occasion de l’appel à projets vidéo The Open Window, lancé par vente-privee, dix artistes verront leur œuvre exposée sur la façade artistique du Vérone, le bâtiment icône du site, visible par plus de 7 millions de personnes par mois.
Cette exposition urbaine et digitale d’un genre nouveau est à découvrir à partir du 17 avril, aux portes de Paris, et nous invite à continuer notre exploration des nouvelles formes d’écritures nées des arts numériques. Aux confins de l’art et des technologies de l’information, des artistes hackers s’essayent aujourd’hui au Data Art, et inventent des manières novatrices de représenter les données qui envahissent notre quotidien. Focus sur mouvement qui place le Big Data au centre de la création contemporaine. L’art de la Fake news à la Fondation Groupe EDF.
Grâce ou à cause de Donald Trump, le terme « fake news » est rentré dans le langage courant.
Il a même été élu mot de l’année par le Collins Dictionnary en 2017. Désormais, les fausses informations essaiment partout sur Internet et surtout les réseaux sociaux. Qu’à cela ne tienne, la Fondation Groupe EDF a décide d’en faire la thématique de sa prochaine exposition qui devrait se tenir du 4 mai au 30 janvier 2022. Fake News : Art, Fiction, Mensonge va donc réunir différentes œuvres d’artistes français et internationaux qui s’interrogent sur la notion de fausse information tout en essayant de bousculer notre esprit critique. Au sein d’un parcours pédagogique, on retrouvera des dessins de presse, peintures, sculptures, installations, photos et vidéos dont le but est d’interpeller les visiteurs, surtout les plus jeunes quant à la notion de fausse information.
L'exposition "Fake News" du musée de Haïfa ou la création de réalités factices. Sur trois étages de galeries, « Fake News », la nouvelle exposition du musée d’Art de Haïfa, explore la définition des mots information, vérité et réalisme à l’ère du président américain Donald Trump. « Donald Trump est notre tête d’affiche, il est l’exemple ultime de la fausse vérité, des faits alternatifs », a indiqué Svetlana Reingold, curatrice en chef du musée.
Le président américain a utilisé de façon répétée le terme « fake news » (infox, en français) pour décrire les informations diffusées par certains médias en particulier et les médias eux-mêmes. Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l’info Inscription gratuite ! « Nous vivons quelque chose qui aurait pu se produire avant », estime Svetlana Reingold. « Toute cette époque de fake news, de réseaux sociaux et de leurs effets ont modifié le concept d’information. C’est un état d’esprit qui n’existait pas auparavant ». "America ! America !" : quand l'art explore l'info et les fake news. Cet article date de plus de trois ans.
Le musée Frieder Burda de Baden-Baden, en Allemagne, propose jusqu'au 21 mai "America ! America ! How real is real". Soixante-dix artistes américains posent la question de la réalité et son interprétation, allant jusqu'aux fausses infos, les fameuses "fake news". Quand l'art inspire les fake news - Vidéo Education aux médias et à l'information. Fake news et canulars dans le monde de l'art. Dans la septième salle de notre exposition, toutes les œuvres sont fausses... ou au moins ne disent-elles pas toute la vérité sur leur origine, sur leurs références.
Dans le monde de l'art, les fausses informations et les canulars ne sont pas un phénomène nouveau. Qui dit vrai, qui dit faux ? Quand les fake news contaminent l’art contemporain. D'Orson Welles aux Yes Men, une galerie parisienne recense les œuvres les plus emblématique d'artistes qui prêchent le faux pour dévoiler le vrai. « Bien que tous nos renseignements soient faux, nous ne les garantissons pas ».
Erik Satie avait du nez. Son fameux génie loufoque entre aujourd'hui en résonance avec la malveillance ambiante qui contamine une partie du Web, symbolisée par l’apparition incontrôlable des fake news. Ces ragots et autres fausses nouvelles balancées par une bande aguerrie de surfeurs à pseudos, usant de la viralité comme de la désinformation. Expositions virtuelles. Avec le projet Mundaneum, Paul Otlet et Henri La Fontaine avaient pour objectifs de collecter et partager l'ensemble des connaissances du monde.
A l'heure d'Internet et du web 2.0, le Mundaneum poursuit l'idéal de ses fondateurs et vous propose de découvrir ces expositions virtuelles thématiques ! Les origines de l'Internet en Europe Le centième anniversaire d'un Prix Nobel de la Paix. L’artiste Ctrl Shift Face, roi des « deepfakes » « Ne croyez pas tout ce que vous voyez sur Internet, OK ?
» Venant de Ctrl Shift Face, la formule, plus qu’une mise en garde, sonne comme un pied de nez. Un sarcasme face à l’effroi provoqué par les fake news, tandis que lui trafique des vidéos pour le simple plaisir de divertir les internautes. Et si Jim Carrey jouait dans Shining ? Et si Elon Musk apparaissait dans 2001, rebaptisé « l’Odyssée de SpaceX » ? Et si Donald Trump interprétait l’avocat véreux de Better Call Saul ? Spot, le chien robot de Boston Dynamics, armé au nom de l'art. Des individus lui rattachent un pistolet de paintball contrôlable à distance pour laisser entrevoir les dangers de l'automatisation. En juin, l’entreprise a amorcé la commercialisation de son robot quadrupède Spot, qui est capable de monter des escaliers ou de traverser un terrain accidenté.
Le robot, qui fait étrangement penser à ceux de la série La guerre des mondes sur Canal+, était accessible depuis 2019 via un programme de leasing qui a permis d’écouler 150 exemplaires. La nouveauté, c’est qu’il est désormais ouvert à la vente aux États-Unis pour la coquette somme de 74 500 dollars. À ce prix-là, les entreprises pourront disposer du kit de développement Spot Explorer, du robot, de deux batteries, du chargeur de la batterie, d’une tablette pour contrôler le robot, d’un boîtier d'alimentation et des packages client Python pour les API Spot. Boston Dynamics vendra également des charges utiles Spot et les clients recevront des mises à jour logicielles « lorsqu'elles seront disponibles ».
Un artiste berlinois trompe Google Maps avec une charrette remplie de smartphones et crée un faux embouteillage. Un artiste berlinois affole Google Maps avec 99 smartphones en mode Bouchon. Simon Weckert est un petit malin… Cet artiste berlinois a eu comme idée de tromper l'outil de cartographie Googe Maps en trainant derrière lui, dans les rues de sa ville, une petite charrette chargée de… 99 smartphones dont le mode de géolocalisation était activé. L'outil de Google tenant compte du nombre de téléphones émettant un signal dans une zone géographique donnée pour évaluer un potentiel trafic chargé (ou pas), il a cru que près d'une centaine de personnes se trouvaient en même temps dans cette rue et qu'un embouteillage avait lieu à l'endroit où Simon se promenait tranquillement… dans une artère quasiment déserte !
Google a alors immédiatement affiché le bouchon sur Maps et indiqué un itinéraire secondaire aux automobilistes utilisant l'outil pour naviguer. Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire si vous voulez éviter les bouchons du matin ou du soir dans votre ville. Et on peut imaginer l'histoire que pourrait tirer un bon scénariste sur la base de cette expérimentation… 😉