Cyberaction N° 1274: Pour un moratoire sur le forçage génétique. Dans une lettre ouverte envoyée ce jour, 78 associations européennes demandent à la Commission européenne d’interdire en Europe et dans le monde la dissémination de tout organisme génétiquement modifié issu du forçage génétique. [ 743 participations ] Cyberaction mise en ligne le 03 juillet 2020 Proposée par Cyberacteurs Elle sera envoyée à Virginijus Sinkevi?
Forçage génétique : nous demandons un moratoire. Virginijus Sinkevičius (Commissaire européen à l'environnement, aux affaires maritimes et à la pêche), Stella Kyriakides (Commissaire européenne à la Santé), Commission européenne et Conseil européen Pétition Nous vous demandons d’empêcher la dissémination d'organismes modifiés par forçage génétique dans l'environnement et à œuvrer en faveur d'un moratoire international sur la dissémination d'organismes modifiés par forçage génétique lors de la Conférence des parties (COP) de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (CBD).
Imaginez des moustiques créés par forçage génétique, conçus pour hériter leur caractéristiques génétiques à un rythme très rapide. Bioéthique : qu’est-ce qui se cache derrière. Au début de la vie, les cellules qui constituent l’embryon sont totipotentes, c’est-à-dire qu’elles peuvent, potentiellement, donner tout type de cellules (neurone, muscle…).
On les appelle cellules souches et on dit aussi qu’elles sont pluripotentes car elles peuvent se différencier pour constituer une pluralité de types de cellules. Qu’est-ce qu’une cellule iPS ? Est-ce que des cellules différenciées d’un organe quelconque pourraient « revenir en arrière » (se dédifférencier) et redonner des cellules pluripotentes comme les cellules souches ? Quelles en seraient les applications hormis celle, évidente, de régénérer un organe perdu ? Développées à partir de 2006, les cellules souches pluripotentes induites (iPS pour induced Pluripotent Stem cells) étaient de simples cellules somatiques, donc différenciées (cellules de la peau, d’un nerf, d’un muscle, etc.) génétiquement modifiées par l’insertion de séquences génétiques afin de les rendre pluripotentes.
Des bactéries ou des levures génétiquement modifiées, déjà dans nos assiettes ? L’Académie vétérinaire veut déréguler les nouveaux OGM animaux. Pour l’Académie vétérinaire de France, les nouveaux OGM animaux sont la solution miracle contre, entre autres, les maladies en élevage.
Des micro-organismes OGM utilisés comme engrais ? Des micro-organismes génétiquement modifiés sont utilisés pour produire des molécules d’intérêt.
Les entreprises qui les produisent veulent transformer les déchets de cette production en engrais agricole. Mais ces micro-organismes GM sont soumis à la législation européenne OGM. Alors qu’un règlement européen sur les engrais se discutait, fin 2018, la Finlande suggérait un traitement spécial de ces micro-organismes GM sous couvert d’une valorisation « écologique ». Si le règlement adopté n’a pas repris cette demande, la Finlande semble avoir trouvé un argument de plus pour réviser la directive 2001/18 consacrée aux OGM disséminés dans l’environnement. Dans l’Union européenne, l’utilisation des micro-organismes génétiquement modifiés (MGM) en milieu confiné est régie par une directive spécifique, la directive 2009/41 [1]. Genetically Engineered Farm Animals: Regulators Rush to Keep Consumers in the Dark. Des hybrides homme-mouton ont été créés pour la première fois en laboratoire.
Des scientifiques sont parvenus à créer en laboratoire des être hybrides bien particuliers : des chimères à la fois Homme et mouton.
Même si la proportion de cellules humaines dans ces organismes demeure pour l’instant très faible, les chercheurs espèrent un jour franchir le cap qui leur permettra d’en prélever les organes pour les greffer à des patients en attente de transplantation. Une perspective prometteuse qui n’est pourtant pas sans soulever des questions éthiques quant au statut de ces êtres vivants hors du commun.
Certains chercheurs ne se contentent pas de suivre le troupeau. Zhong Zhong et Hua Hua, les deux premiers singes clonés avec une méthode inédite chez les primates. Des scientifiques chinois viennent de donner naissance, en laboratoire, à deux macaques grâce à une technique qui s’était jusqu’à présent révélée infructueuse chez les primates.
À l’instar de la brebis Dolly, les deux petits singes baptisés Zhong Zhong et Hua Hua sont issus d’une manipulation particulièrement complexe : le clonage somatique. Une réussite qui n’est pas sans amener des questions éthiques et qui soulève surtout des craintes de dérives vers un clonage humain.
La loi Biodiversité de juillet 2016: un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture? Résumé: Le 2 août, suite à mon communiqué sur les tomates de Syngenta/Chingenta chez Réseau Biocoop, je fus alerté par un courrier de lecteur et ami de Kokopelli qui évoquait les mouches : tout autant les vers de mouches que l’on peut éliminer avec la Tulsi – le basilic sacré que j’ai présenté dans un article récent – que les mouches transgéniques/chimériques d’Oxitec, une société très intime avec Syngenta.
Lorsque, le 4 août, le Conseil Constitutionnel a modifié la loi dite de Biodiversité, il m’est apparu très clairement que l’interdiction, à terme, des néonicotinoïdes, qu’elle inclut, n’est vraisemblablement qu’un gigantesque coup fourré pour faire avaler et avaliser les mouches chimériques par les consommateurs – trop contents de s’être débarrassés d’insecticides mortels épandus sur leurs fruits et légumes. Cette loi “pour la reconquête de la biodiversité” semble être une farce pitoyable à la mesure du très oublié Grenelle de l’Environnement.
Xochi, le 8 août 2016. NIH budget cuts force professor to euthanize his genetically modified rabbits. Health and science research funding has gone under the knife lately, and “a dark age for science in America” is on its way, according to the Huffington Post (OMINOUS).
The National Institutes of Health has to trim $1.7 billion from its budget this year alone. A surprising victim? Genetically modified rabbits. Ophthalmology professor Robert E. Marc of the University of Utah’s medical school was working with fancy blind bunnies … but then he had to kill them to cut costs, because of the sequestration and all. Marc wrote to HuffPo: I have … euthanized many beautiful, rare and expensive transgenic rabbits that were new, exciting models for testing new therapies for human retinal degenerations.
Guess Congress is the one with vision problems, eh, Dr. Etats-Unis - Des papillons OGM pour sauver choux et colzas ? Oxitec, une entreprise britannique liée à Syngenta, a développé une technologie brevetée, qui entraîne chez les insectes génétiquement modifiés, une descendance incapables de se reproduire.
Il s’agit de la technologie du lâcher d’insectes porteur d’une létalité dominante (RIDL, Release of Insects carrying a Dominant Lethal). Autrement dit, les insectes adultes transmettent un gène de létalité à leur descendance qui ne peut donc pas se développer. Mais, Oxitec a mis au point plusieurs technologies RIDL. La première est déjà connue de nos lecteurs : elle a été autorisée au Brésil dans la lutte contre la dengue, avec des millions de moustiques mâles transgéniques disséminés dans l’état de Bahia [1]. Concernant ce papillon, qui pourrait être lâché prochainement dans l’état de New York, la technologie est sensiblement différente : le transgène introduit chez les mâles engendre une létalité uniquement pour les larves femelles.
Un mouton génétiquement modifié s'est retrouvé dans la chaîne alimentaire. Les nouvelles techniques de modification du vivant s’appliquent aussi aux. Someone accidentally ate a GMO lamb with jellyfish DNA — and nothing happened. It sounds like a setup to a horror movie: A lamb genetically modified with jellyfish DNA — to glow in the dark! (well, kinda) — was accidentally sold to a slaughterhouse, where it eventually made its way to someone’s plate in France. But the horror stopped there, as far as we know — no fluorescent French diners, no stung tongues, no human consequences of any kind. But it’s still pretty gross.
From The Verge: A lamb that was genetically modified with jellyfish DNA was sold for consumption in France, according to a report today from French newspaper Le Parisien.