14 mai 2021 Mitterrand, la trahison, mais… À déguster, à savourer, à tomber.
Une vraie gâterie cette semaine, les dessins de Barbe. Dessins animés et des seins animés… Barbe portait la barbe. C’était sans doute le premier sujet de conversation avec lui. Et après c’était les femmes qu’il dessinait. Né en 1936, il avait d’abord voulu faire pilote de chasse. 10 mai 2021 - 1981, la révolution suspendue - Conférence sur la victoire de François Mitterrand. 15 avril 2021 Pendant la crise, les ultra-riches se gavent. Alors que les plus modestes sont durement frappés par la double crise sanitaire et économique, les plus riches en profitent pour s'enrichir.
C'est le sujet fil rouge du dernier numéro de l'émission d'actualité d'Intérêt public présentée par Elsa Margueritat. Coup de théâtre au Média : Théophile Kouamouo nous révèle en exclusivité les résultats de ses recherches pour le prix Nobel de l’économie... En ce moment l’éco c’est l’avenir : les riches se sont enrichis et les pauvres se sont appauvris. Et même sur la santé des Français il y a un profit à se faire. Il faut savoir tout oser, un peu comme Gérald Darmanin, Manuel Valls ou encore Julien Odoul. 27 nov. 2020 Didier Porte est resté coincé à une réunion de jeunes socialistes. Chaque semaine, au fin fond de sa ferme, une mamie de 90 ans s’invite dans les marges du magazine Paris MATCH.
Avec, pour seule arme, son stylo Bic, elle écrit partout, dans les marges, sur les réclames, sur les photos, elle répond coup pour coup à la vie rêvée qu’on lui vend toutes les semaines : elle refait le Match ! À partir de centaines de pages griffonnées, sa petite-fille a recréé un superbe magazine complet, mais attention, ce n’est pas pour tout le monde, la mamie a bien précisé : « à ne pas mettre entre les mains des riches ». Rentrée scolaire : je lance l'alerte ! 30 août 2020. Au printemps de quoi rêvais-tu ? En 1963, la Radiodiffusion-télévision française interdisait Nuit et Brouillard, de Jean FERRAT.
Cette année, 55 ans plus tard, lors de l’hommage à Simone VEIL au Panthéon, un chœur chantait Nuit et Brouillard avec les gestes de la langue des signes : « Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux. » Mais comment se relever ? FERRAT donne du cœur pour trouver la réponse. Il a replié sa moustache, il y a juste neuf ans, un 13 mars. Un jour idéal pour le (ré)écouter toute la journée. Inégalités : comment expliquer l’hypocrisie de la gauche ? Le débat sur les inégalités en France est marqué par une profonde hypocrisie.
Les grandes envolées lyriques, souvent à gauche de l’échiquier politique, cachent mal une indifférence au sort des catégories populaires [1]. Il ne suffit pas de dénoncer ce grand écart entre les discours et les actes, il faut aussi essayer d’en comprendre les raisons. « Voulons-nous vraiment l’égalité ? » s’interrogeait en 2015 le philosophe – et président de l’Observatoire des inégalités – Patrick Savidan [2]. Qui est ce « nous » ? Pour défendre leurs privilèges, ces bourgeois culturels jouent sur plusieurs registres, qui peuvent être différents en fonction de leur position, plus ou moins à gauche.
Serge Halimi : quand la gauche essayait. [EXTRAIT] Serge Halimi : quand la gauche essayait Télécharger le MP3 - Écouter dans une nouvelle fenêtre Tantôt la gauche, tantôt la droite : on croit vivre une alternance, mais en réalité, la gauche n’a pas été au pouvoir au total plus de dix ans au cours du 20ème siècle en France.
Quatre fois en cent ans (1924, 1936, 1944, 1981), la gauche est arrivée au pouvoir et quatre fois, au bout de deux ans, elle a dû renoncer ou elle s’est enlisée. Pourquoi a-t-elle gouverné si peu, pourquoi a-t-elle déçu si vite ? C’est la question qui se pose à ceux qui refusent de collaborer avec l’ordre capitaliste dominant. À l’heure où, de Bernie Sanders à Podemos, des Insoumis à Jeremy Corbyn, un vent radical nouveau s’est levé, ce bouquin, Quand la gauche essayait.
Un entretien de Daniel Mermet avec Serge Halimi, directeur de la publication du Monde diplomatique, auteur du livre Quand la gauche essayait. En 2000, Daniel Mermet recevait (déjà !) Pour l’honneur de Gérard Filoche. Didier Super - Manipulez-nous mieux. Revue de presse inter. Insoumis lève toi !
Hahaa ! Macron et les Cotisations Sociales 7e circonscription des Français établis hors de France 7e circonscription des Français établis hors de France 1 Elle est inépuisable la vague qui nous porte ! FI is coming.
Encore le piège du vote utile ? Quand le PS est-il passé à droite ? - Veni Vidi Sensi #6. La décennie - le cauchemar des années 80 (7) : 1989... et (...) « La greffe n’a pas pris (...)
Cette hystérie libérale pourrait provoquer un mouvement social qui ne pourrait pas avoir lieu ailleurs... » (François Cusset, 2007) Une émission préparée par Renaud Lambert Ce devait pourtant être la fin. La fin des idéologies. La fin de l’Histoire. La fin des conflits politiques. Ce devait pourtant être la grande réconciliation. La décennie - le cauchemar des années 80 (VI) : Privatisation (...) « Dans les années 1930, même la grande cité de Métropolis ne fut pas épargnée par les ravages de la crise économique mondiale.
En ces temps de peur et de confusion, le travail d’information du public était pris en charge par le Daily Planet, un grand journal de Métropolis dont la réputation de clarté et de franc-parler était devenue un symbole d’espoir pour la grande cité de Métropolis. » (Ouverture du film Superman, 1978) La France des années 1980, ressemble de plus en plus à la Métropolis de Superman. Bien sûr, c’est la crise. Mais grâce au travail des médias - qui savent se faire pédagogues -, l’espoir est possible.
La décennie - le cauchemar des années 80 (5) : 1986-1988. "En France, le centre a toujours été à droite" (François Mitterrand... avant) Emission préparée par Renaud Lambert Le marché commun vient au monde.
Pourtant, même au pays de la mondialisation bien heureuse et malgré la promesse de la réconciliation « des extrêmes » grâce au « centrisme » politique, la violence ressurgit. De toutes parts. Violence physique tout d’abord. Celle des « pelotons voltigeurs » de Charles Pasqua, qui tabasseront le jeune Malek Oussekine, décédé de ses blessures le 6 décembre 1986.
Violence symbolique aussi. La décennie - le cauchemar des années 80 (4) : 1985-1986. La décennie - le cauchemar des années 80 (3) : 1984-1985. Une émission préparée par Renaud Lambert La « rigueur » ? Une phase de transition. L’austérité ? Une parenthèse. La décennie - le cauchemar des années 80 (2) : 1981-1983. Une émission préparée par Renaud Lambert La mèche au vent, les manches retroussées, le jeune "French Doctor" Kouchner se fait marin pour un nouveau combat : celui du "bien" contre le "mal". Grâce à lui - et à tous ceux qui lui ressemblent -, le monde devient plus simple... "parce que les choses sont plus complexes que ça" nous dit-on. Plus complexes que ne se l’imaginaient les "étudiants" de Mai 68 (les ouvriers soixante-huitards", eux, n’ont jamais existé.)
Comme Daniel Balavoine qui s’adressait au candidat Mitterrand en 1980 comme à une "grande personne", les jeunes sont devenus "adultes". On leur explique que lutte et conscience de classe n’existent pas. La décennie - le cauchemar des années 80 (1) : 1979-1981. Une émission préparée par Renaud Lambert Les années 80 nous ont-elles quittés ? Pas si sûr ... Chez les « humbles militants pénétrés d’idéal » qu’évoque François Mitterrand le jour de son élection - et dont le 10 mai 1981 est aussi la victoire -, certains y croient, à la « rupture avec le capitalisme ».
Mais, déjà, Outre-Atlantique - mais aussi, tout près, de l’autre côté de la Manche -, un vent nouveau souffle. Un vent porteur de mots « modernes » : « innovation », « créativité », « entreprise », « diversité », « jeunesse », « droits de l’homme ». En quelques années, au son des synthétiseurs et à la lumière des boules à facettes, ces nouveaux mots s’imposent dans les discours politiques en France.