FemmesSansFrontières. FemmesSansFrontières. Défense de la démocratie en Pologne. Les archives d'une sage-femme. Leur liberté, notre combat ! Aux femmes de Pologne, Depuis toute l’Europe, nous voyons avec horreur votre parlement tenter de vous retirer vos droits fondamentaux.
Nous condamnons cette attaque envers votre liberté de choix. Nous soutenons vos actions pour arrêter cette terrible interdiction de l’avortement et nous sommes solidaires avec vous, à travers les frontières. Il y a un an et demi, les Polonaises ont obtenu gain de cause et ont gardé leur liberté de choisir. Mais aujourd’hui, leurs libertés et leurs droits sont de nouveau menacés. Mais les Polonaises ne laissent pas passer ces lois liberticides. Pologne. Les femmes se mettent en grève pour défendre l’IVG. Elles sont déjà des dizaines de milliers à avoir répondu en ligne à l’appel à la grève du lundi 3 octobre pour protester contre le projet de loi interdisant l’avortement, sur lequel se penche le Parlement de Varsovie.
Pour manifester leur opposition au projet de loi interdisant l’avortement, les Polonaises feront grève lundi prochain, annonce ce mercredi 28 septembre le grand journal d’opposition Gazeta Wyborcza. Selon ce projet, actuellement étudié par le Parlement polonais, dominé par le parti Droit et Justice (PiS), au pouvoir, toute femme qui avortera, et les personnes qui l’y aideront, sera passible d’une peine de cinq ans de prison.
Actuellement, l’accès à l’IVG est déjà très limité en Pologne. Selon la loi en vigueur, il n’est permis d’y avoir recours qu’en cas de risque pour la vie ou la santé de la mère, d’une grave pathologie irréversible chez l’embryon, et dans les cas de grossesses résultant d’un viol ou d’un inceste. Nous annonçons une grève préventive d’une journée. Manifestation contre l’interdiction de l’avortement devant le Parlement polonais. Vêtues de noir et prêtes à faire grève, des femmes défendent l’avortement en Pologne. Polish government signals U-turn on total abortion ban. A proposed total abortion ban in Poland will not be implemented, a member of the government has said, describing mass protests against the ban as a lesson in humility for the country’s leadership.
Jarosław Gowin, the minister of science and higher education, said on Wednesday that the protests by women had “caused us to think and taught us humility”. Pologne : manifestations dans tout le pays pour défendre le droit à l'IVG. Cintres et banderoles en main, quelque trois mille personnes sont venues manifester devant le Parlement polonais contre l’interdiction totale de l’avortement en Pologne proposée par des organisations pro-vie.
Si leur loi entre en vigueur, les femmes n’auront plus le choix et seront obligées d’accoucher également en cas de viol, d’inceste, ou malformation du fœtus. L’Eglise polonaise entre exigence et perte d’influence. Par Patrick Monod-Gayraud « Give me my money back », ce principe n’appartient pas qu’à la seule feu Mme Thatcher.
L’épiscopat polonais le pratique depuis toujours. Si le parti de Jaroslaw Kaczynski, Droit et Justice, dispose de la majorité absolue au Parlement, c’est en raison du soutien indéfectible de l’Eglise. En Pologne, un projet d'interdiction de l'avortement soulève l'indignation. Mobilisations en Pologne contre la proposition de loi anti-IVG. Détails sur les règles, photos de mucus, slogans choc... les opposant.e.s à la proposition de loi anti-IVG n'ont pas manqué d'inventivité dimanche 3 avril en Pologne.
Elles réclament le respect de leurs droits reproductifs. « Non à la torture des femmes ! » Des milliers de Polonais.e.s se sont réuni.e.s dimanche 3 avril pour protester contre la proposition de loi portée par les organisations pro-vie et les autorités religieuses - soutenue par la Première ministre du parti conservateur Droit et Justice (PiS) - de limiter encore davantage les droits à l’avortement. Actuellement dans le… La suite de cet article est accessible sur abonnement. Avortement : en Pologne, l’épiscopat veut une interdiction totale de l’IVG. Confortés par l’arrivée au pouvoir du parti ultraconservateur Droit et justice (PiS), l’Eglise polonaise et les organisations de « défense de la vie » mènent bataille pour durcir la législation encadrant l’avortement dans le pays, qui fait déjà partie des plus restrictives d’Europe.
A l’approche de la « journée de la sainteté de la vie », qui sera célébrée lundi 4 avril, l’épiscopat polonais a lancé un appel au gouvernement l’incitant à légiférer pour l’interdiction totale de l’interruption volontaire de grossesse. Elle est déjà strictement limitée et autorisée dans trois cas : quand il existe un risque pour la vie ou la santé de la mère, lors d’une grave pathologie de l’embryon ou quand la grossesse est le résultat d’un viol ou d’un inceste. « Concernant la question de défense de la vie, on ne peut pas se satisfaire du compromis datant de 1993, qui autorise l’avortement dans ces trois cas », explique l’épiscopat. Pologne: manifestations contre l’interdiction de l’avortement - Europe. Déjà très restrictive, la Pologne pourrait totalement interdire l'avortement.
C'est en tout cas ce que souhaitent des organisations pro-vie qui ont déposé un projet de loi au Parlement, soutenu par L'Eglise catholique. Ce dimanche après-midi, des manifestations contre ces mesures restrictives ont eu lieu dans plusieurs villes du pays. Demonstracja ODZYSKAĆ WYBÓR Warszawa. Cracovians to protest proposed abortion law with clothes hangers. A proposed bill which would impose a total ban on abortion in Poland has drawn ire across the country from women’s groups and others, who plan to protest it Sunday afternoon at 14:00 on Krakow’s Main Square.
Under current laws dating back to 1993, abortion is banned except when the mother’s life is endangered, the pregnancy is the result of a criminal act, or the fetus is seriously malformed. Polish women who travel abroad to get abortions, as well as those who get them illegally, cannot be prosecuted. Critics of the bill say that it will lead to public health crises, undignified and excessive criminal investigations (targeting even women who miscarry), and an increase in illegal abortions, which are often extremely risky. To symbolize this last point, attendees of tomorrow’s demonstration are encouraged to carry clothes hangers along with signs. Anti-choice attacks against women in Poland. Poland is once again facing a real threat to the reproductive rights of women and girls.
The currently ruling conservative party, Law and Justice, aims to redesign Polish democracy and to reestablish the “traditional” and “Catholic” values and also gain more independence from the European Union. The Catholic Church in Poland is very powerful and has many supporters within today’s Government. It does also of course oppose IVF, emergency contraception, sexuality education, abortion and sees its main enemy in the word “gender”.
The anti-choice community, with great support from the Catholic and conservative groups, is currently very strong as the current government consists mainly of politicians with conservative attitudes. This anti-choice initiative is currently waiting for the decision of the Marshall of the Sejm on whether it will be registered. Conseil des Droits de l'homme : le droit des femmes polonaises à l'avortement. La Pologne avance à reculons sur le droit à l'IVG. A Paris, le rendez-vous est DIMANCHE 10 AVRIL à 15h, devant l'ambassade de Pologne, 1 rue de Talleyrand (métro Invalides). Amenez un cintre, symbole des avortements clandestins, en signe de solidarité. Nous proposons à toutes les villes possibles d'organiser elles aussi un rassemblement le 9 ou le 10 avril.
Vous le savez sans doute, l'accès à l'avortement est déjà très limité, dans la loi et dans les faits, en Pologne. Actuellement, la loi prévoit d'autoriser l'IVG seulement en cas de grossesse suite à un viol ou s'il y a des risques de santé pour la femme enceinte. Signez la pétition : Pologne: nouvelle offensive des adversaires de l'avortement - La Parisienne. Portugal. Le droit à l'avortement fait un pas en arrière. Le Parlement portugais a adopté, le 21 juillet, un projet de loi restreignant le droit à l’avortement. Parmi les modifications notables, les frais de l’opération seront désormais à la charge du patient et non plus de l’Etat. Il y avait de l’animation au Parlement portugais le 22 juillet.
Des militants pour les droits des femmes ont interrompu la session en criant “Honte ! Honte !” Pour exprimer leur mécontentement face à la coalition gouvernementale de centre droit. Parmi les examens en question, l’obligation de subir un suivi psychologique et de se rendre au Planning familial avant l’interruption de grossesse. “En 2007, après en référendum, les femmes avaient obtenu le droit d’avorter aux frais de l’Etat jusqu’à la dixième semaine de la grossesse.
Nathan Lohéac. Des pilules abortives livrées par drone en Pologne. Pourquoi les drones ne serviraient-ils que des enjeux commerciaux ou militaires ? «Nous voulons utiliser tout ce qui peut permettre de faire avancer les droits des femmes, toutes les technologies. Nous cherchons de nouveaux moyens d’attirer l’attention sur les conséquences de l’avortement illégal», explique Rebecca Gomperts, médecin et fondatrice de l’ONG Women on Waves. D’où cet envoi, prévu samedi matin, de pilules abortives par drone au-dessus de la frontière germano-polonaise, entre Francfort-sur-l’Oder et Slubice. Des pilules abortives larguées par drone au-dessus de la Pologne. Pour promouvoir en Pologne le droit des femmes à l'avortement, le tout premier « drone pour avorter » partira samedi 27 juin de Francfort-sur-l'Oder, en Allemagne, passera au-dessus de la frontière germano-polonaise et se rendra jusqu'à la ville de Slubice.
Téléguidé par un pilote bénévole, l'engin délivrera quelques paquets contenant des pilules abortives, paquets qui seront recueillis par des militantes. L'objectif est avant tout symbolique et a pour but de sensibiliser la population à la nécessité d'un « accès à un avortement sécurisé pour les Polonaises », comme cela est le cas pour d'autres femmes en Europe, indique Women on Waves dans un communiqué. Abortion Drone; first flight to Poland — Women on Waves.
On Saturday June 27 th the Abortion drone flies for the first time packages of abortion pills from Frankfurt an der Oder in Germany to Słubice in Poland. The campaign is a collaboration between Women on Waves; Cocia Basia, a Berlin based abortion support group for Polish women; Feminteka Foundation from Warsaw, the 8 th of March women’s rights informal collective “Porozumienie kobiet 8 marca”, Berlin-Irish Pro Choice Solidarity, Codziennik Feministyczny and the Political group Twoj Ruch.
Pologne : un directeur d'hôpital licencié pour avoir refusé un avortement. La mairie de Varsovie a décidé de licencier le directeur d’un hôpital public, après que celui-ci refuse une interruption de grossesse justifiée par une malformation du foetus, a déclaré jeudi le porte-parole de la mairie. «La maire de Varsovie, Hanna Gronkiewicz Waltz, a pris la décision. Avortement et religion : les féministes lancent une pétition en Pologne.
En Pologne, les droits des femmes sont encore une fois pris d'assaut. Une initiative contre l'avortement lancée en mai dernier par Wanda Półtawska, médecin chef de file des anti-choix, a recueilli les signatures de 3000 médecins. Dans une véritable "Déclaration de foi" (“Declaration of Faith of Medical Doctors and Students on Human Sexuality and Fertility”), ces derniers affirment la supériorité de la loi de Dieu et justifient leur opposition à l'avortement au nom des principes de l'Eglise catholique. "No abortion, no contraception", m'avait murmuré Mère Teresa. A Varsovie ces derniers jours, plus de 3000 médecins et étudiants en médecine polonais se sont engagés à refuser la pratique de l’avortement, de l’insémination artificielle, et la prescription d’ordonnances médicales de contraceptifs.
Actuellement, nous avons à notre disposition tous les moyens pour éviter le fruit des amours illicites, ou les grossesses intempestives, et revendiquer le droit à l’enfant, quand la nature nous le refuse. Ces moyens, qui auraient dû faire l’objet d’études prudentes, ont été imposés au public, après avoir été soumis à l’approbation du gouvernement, en 67 pour la contraception, en 74 pour l’avortement, et en 2004 pour les PMA.
Pourtant ces mesures à l’époque n’étaient pas concevables. Les gynécologues étaient très réticents, car ils devenaient le bras armé de ces mesures qui étaient contraires à leur déontologie : ils ont été priés de respecter la loi. Pologne : un directeur d'hôpital licencié pour avoir refusé un avortement.