Les amours suivants de Stéphane Bouquet. Une poésie de la modernité, dite, assumée.
Par la forme du recueil, découpé en chapitres qui arriment des textes qui oscillent entre prose et poésie. Prose dans le chevauchement des phrases et la mise en page, faisant fi de la rime, du paragraphe consensuel et du métrage protocolaire. Les titres des différentes parties enchaînent des abréviations qui font référence aux us communicationnels contemporains, tel « Pdt qlqs mns de soliel » ou bien convoquent l’abrogation des frontières lorsque Stéphane Bouquet intitule respectivement les cinquième et sixième parties « Translating Paul Blackburn » et « East side story ». Instantanéité et atténuation des distances qui séparent les êtres, métaphorisées par le chapelet du système tutélaire qui énonce ce que le monde moderne propose : immédiateté du contact et abrogation des espaces, car le poète convoque également Facebook et Youtube, mais hymne à sa vacuité magistralement portée par tous les interstices du recueil.
Jacques Derrida : Déconstruction et différance. Suivez-nous Derrida Les théories du signe de Jacques Derrida s'inscrivent dans le courant poststructuraliste, opposé au structuralisme saussurien (provenant des théories du linguiste Saussure), où le signifiant (la forme d'un signe) renvoie directement au signifié (le contenu d'un signe), et qui véhiculait toute une pensée logocentrique (centrée sur la parole), celle existant depuis Platon.
À l'aide de l'écriture (du signe), Derrida se propose de faire échec à l'histoire métaphysique fonctionnant sous le mode d'oppositions. Il élabore une théorie de la déconstruction (du discours, donc, suivant sa conception du monde), qui remet en cause le fixisme de la structure pour proposer une absence de structure, de centre, de sens univoque. La relation directe entre signifiant et signifié ne tient plus et s'opèrent alors des glissements de sens infinis d'un signifiant à un autre. Derrida (1967 : 409) s'oppose au centre inhérent à « la structuralité de la structure ». Prenons l'exemple de l'eau : Anthropogénie. Cosmogonies contemporaines. La distinction entre cosmologie et cosmogonie est un peu forcée, mais elle est commode pour l’Anthropogénie.
Les cosmologies désignent alors les études scientifiques des formations du monde en général, celles de l’Univers et celles du Vivant, tandis que les cosmogonies désignent les productions artistiques qui font écho, avec les moyens et les fins de l’art, aux connaissances cosmologiques à un moment. Micheline Lo. Kelly Hafner: Foto. Centre Pompidou. Wie naar het Louvre gaat (de oude klassiekers tot de minder oude klassiekers), vervolgens het d’Orsay (de klassiekers tot ongeveer de impressionisten en post-impressionisten) bezoekt, dan moet die de tijdlijn eigenlijk afmaken bij het Pomidou naar het nu.
Pompidou begint rond de eeuwwisseling en gaat door tot het heden. Dat gebeurt vooral in de kunst van na de tweede wereldoorlog niet chronologisch maar wordt ingedeeld op geschiedkundige/geografische of stillistische overeenkomsten. Dat is gezien de complexiteit ervan natuurlijk geen enkel bezwaar in een museum als dit. Pompidou Overzicht Pompidou heeft een topcollectie binnen het bereik waar ze zich toe richt. Hier een beeldverslag van wat er zoal te zien is, natuurlijk enkele bekende klassiekers en ook weer wat onbekendere meesters.
Joan Miro – Blauw I & II Constatin Brancusi – Princesse X. Hannah villiger - Google Search. Pierre Radisic. Le développement de l’image numérique et ses applications. Le développement de l’image numérique et ses applications Le Moulin de l'Image : "Les polystructures et l'architecture rebelle", "A la conquête des espaces de la communication collective", "L'Atelier Ville", "Stop la Violence".
Jean Baudoin (Architecte plasticien, FP), Olivier Bedu (Architecte), Lionel "Fox"-Magal (Nova Production), Claude Genzling (Architecte Polytechnicien), Nicolas Hespert (Stop la Violence), Denis Joxe (Directeur d'Étude), Karim Kechid (informaticien), Sarah Letouzey (artiste, ENSAD), Mauricio Perez (Nova Production), Patrick Saint-Jean (ENSC, ACI), et les autres… Avec la participation de François Barré (Fondation Pinault, Euroméditerranée) et Mœbius (Dessinateur BD). Le Moulin de l'Image, Fondation Polytopia. Anthropogénie. Cosmogonies contemporaines. Léonard de Vinci et François Ier s'entretiennent d'une Genèse photographique.
Ceci n'est pas une fiction de Borges. C'est en vérité qu'il y eut des photos de Denis Baudier dispersées sur une table de verre à proximité d'une fenêtre, et aussi que l'auteur, qui souvent passait par là, finit par entendre ces trois entretiens, qu'il transcrit avec fidélité. Ils semblent dater de 1518. Léonard était alors à un an de son décès. Quant au lieu, ce fut assurément ce tunnel qui reliait le château d'Amboise à la dépendance attribuée à Léonard, le Clos Lucé, et où le jeune roi se plaisait à rencontrer le vieux sage à la nuit tombée, loin des regards et des oreilles. Baudier Le premier soir François Ier – Je suis passé vous voir hier tandis que vous n'y étiez pas, et j'ai farfouillé dans vos dessins. Leonardo – Chez moi vous êtes partout chez vous, Sire. Xavier Bernier : Traverser l’espace. Xavier Bernier « L’effort créé l’obstacle. » Maine de Biran Photo 1 : Le tramway de La Nouvelle-Orléans (Louisiane/États-Unis)Traversée de quartier sur l’avenue St Charles.
Anthropogénie. Cosmogonies contemporaines. Cette presque coproduction de textes rend plausible que ses premières créations aient été littéraires.
Après quelques poèmes, ce fut une sorte d'écriture automatique, mais dans un sens beaucoup plus radical que celui des surréalistes des années 1930. Faite non seulement de sauts d'idées, mais quasiment de sauts neuroniques. Cela se jouait la nuit dans un bureau cuisine cave, à Bruxelles. Et en Provence dans une borie de guet de chasseur, sous le Grand Luberon.