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Sociologie

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Mission pour l’interdisciplinarité - Défi Genre. Année de démarrage : 2012 Contexte :Ce Défi pourrait se définir « comment le genre transforme l’activité de recherche et l’interdisciplinarité ».

Mission pour l’interdisciplinarité - Défi Genre

Le Défi Genre a été initié en 2012 avec pour objectif de développer les recherches sur le genre et la différence des sexes de façon interdisciplinaire et spécifiquement dans les sciences non humaines. Le CNRS a été pionnier dans la recherche SHS interdisciplinaire sur le genre et ses apports dans le domaine ont été remarqués dans le tout récent rapport de la SNRI sur « Les orientations de la recherche sur le Genre » (p. 16). The Sociologist at the Strip Club. Americans have often had strange and serendipitous careers in Paris, from Thomas Evans, the Philadelphia dentist who cured Emperor Louis-Napoleon of a toothache and became an indispensable ornament of the Imperial court, to those African-American jazzmen, like the great soprano-sax player Sidney Bechet, whose careers were revived, and reputations nurtured, in France in ways they never could have been in America.

The Sociologist at the Strip Club

But few have known an odder trajectory than Howie—“Only my mother ever called me Howard”—Becker. Howard S. Becker, to give him his full, honorary-degree name—he has six—has been a major figure in American sociology for more than sixty years. Now a brisk eighty-six, he remains most famous for the studies collected in his book “Outsiders,” of 1963, which transformed sociologists’ ideas of what it means to be a “deviant.” Yet it is his position in France that is truly astonishing. “I always really wanted to be a piano player,” he begins. “What does sociology bring to the table? Jacques Le Goff et « l’histoire en tranches. Hôtesse d'accueil. La lutte contre les inégalités commence dans les crèches. 30 millions : à quatre ans, un enfant pauvre a entendu 30 millions de mots de moins qu’un enfant issu d’un milieu favorisé.

La lutte contre les inégalités commence dans les crèches

Avant même leur première année en CP, une forte proportion de nos enfants est déjà touchée par des difficultés que l’école peine souvent à résorber au cours des dix années suivantes. Rire, socialisation et distance de classe. 1« Dis moi si tu ris, comment tu ris, pourquoi tu ris, de qui et de quoi, avec qui et contre qui, et je te dirai qui tu es » (Le Goff, 1997, p. 449) : l’intérêt programmatique des jalons posés par Jacques Le Goff pour une sociohistoire du rire dans un article célèbre vaut bien au-delà de la seule période médiévale.

Rire, socialisation et distance de classe

Pourtant, le rire continue d’embarrasser la sociologie (Murray, 1995). Dans la grande tradition humaniste issue de Rabelais, il demeure envisagé comme signe universel et naturel : saturé par une littérature psychologique, philosophique et littéraire, le rire est le propre d’un homme abstraitement détaché de ses conditions matérielles d’existence et de coexistence. Sa soudaineté l’impose d’emblée comme secousse corporelle, convulsion mouvante et transitoire d’une expressivité faciale soumise aux inclinations fluctuantes de l’humeur. Avoir un point de vue, ça n'arrive (pas) qu'aux autres.

Il n'est pas rare que l'on reproche à un sociologue, un chercheur ou à toute autre personne prise dans un débat de ne pas être "neutre".

Avoir un point de vue, ça n'arrive (pas) qu'aux autres

C'est une façon aisée de disqualifier un point de vue. Particulièrement si on peut mettre en cause le point de vue ou les intérêts de la personne. Il faudrait, pour participer à un débat, mettre de côté ses intérêts particuliers pour ne s'intéresser qu'à l'intérêt général supérieur : c'est ce mythe qui sous-tend nos conceptions démocratiques modernes. Pourtant, parmi les choses que la sociologie m'a apprise - oui, c'est le nom d'une nouvelle série que je commence ici -, c'est qu'il est impossible d'être neutre. Je m'appuie ici essentiellement sur un fameux article d'Howard Becker "Whose side are we on ? "

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Les sept violences de l’école. Les sept violences que l’école inflige aux enfants et esquisse des réponses institutionnelles à ces violences. 1.

Les sept violences de l’école

La première violence que notre système éducatif inflige aux enfants réside dans l’exclusion du domestique du champ éducatif : dès l’école maternelle je découvre qu’il y a dans la société deux catégories d’adultes, ceux, celles plutôt … qui ont le droit de me punir quand j’ai commis une bêtise et que « je me suis fait prendre » et ceux, celles plutôt, qui n’en ont pas le droit. Celles, donc, qui organisent les activités, les travaux, l’initiation aux éléments fondamentaux de la culture, et celles qui passent la serpillière dans les couloirs, débarrassent les tables de la cantine et me torchent quand, accidentellement, j’ai fait caca dans ma culotte...

Il y a donc deux types généraux de tâches, les nobles et les ignobles. 2. 3. 4. 5. En effet, ces principes négatifs sont devenus (difficilement !) 6. 7. Pourquoi les pauvres ne votent pas en fonction de leur intérêt économique. Qu'on se le dise: les citoyens économiquement les plus modestes ne sont pas toujours fans des politiques de redistribution.

Pourquoi les pauvres ne votent pas en fonction de leur intérêt économique

Du moins si l'on en croit leur vote.