Quand la scolarisation à 2 ans n’a pas les effets attendus : des évaluations sur données françaises. Télécharger la note de synthèse Quand la scolarisation à 2 ans n'a pas les effets attendus : leçons des méthodes d'évaluation Télécharger le document de travail quand la scolarisation à 2 ans n'a pas les effets attendus : des évaluations sur données françaises La politique d’accueil des enfants de moins de 3 ans en école maternelle fait partie des outils souvent mis en avant pour prévenir les difficultés scolaires et les inégalités de réussite liées aux origines sociales.
Après une décennie de recul, la scolarisation à 2 ans a été encouragée lors du quinquennat précédent ; mais la part d’élèves de moins de 3 ans préscolarisés n’a augmenté que d’un point entre 2012 et 2016, passant de 11 % à 12 %, avec de fortes disparités entre territoires. Loin d’atteindre les niveaux de la fin des années 1990, où plus d’un enfant sur trois était scolarisé avant ses 3 ans, cette augmentation a principalement concerné les enfants issus de territoires défavorisés (avec un taux de 21 % en 2016). 15 évaluations en résumé. PISA : La France toujours championne des inégalités sociales à l'école. Écrire et rédiger : un bilan scientifique et 10 recommandations phares. Prendre des notes, résumer, reformuler les textes lus, y ajouter des croquis, des schémas, etc., sont des activités qui développent les capacités des élèves à construire leur pensée.
Le brouillon, en tant qu’écrit provisoire, a toute sa place dans la classe, pour préparer les écrits et pour les retravailler. Diversifier les manières de préparer les productions écrites des élèves peut permettre de développer leur créativité et leur réflexion sur la structure de leurs textes. Des exemples de préparation à l’activité d’écriture Prise de notes Travail sur le lexique à mobiliser Réalisation de schémas Mise en place de cartes mentales À ce premier stade de la production d’un écrit, l’enseignant se positionne, avant tout, comme lecteur du travail de préparation de l’élève et l’entraîne à l’enrichir en le questionnant sur le contenu de sa production (et non sur la forme). « Lire, ce n’est pas dire des mots à voix haute » Il va falloir s’habituer : à cette période de l’année, alors même que les forces enseignantes sont déjà bien entamées par les miasmes, la fatigue, la surcharge de travail (évaluations, livrets), une étude internationale sur l’école vient systématiquement nous mettre un grand coup derrière la tête.
L’année dernière, TIMMS 2015 nous avait mis le moral dans les chaussettes en révélant que les élèves français étaient parmi les moins bons en maths. Cette année c’est donc PIRLS 2016 qui prend la forme d’un bon coup d’enclume dans le buffet : les petits français sont également derrière les autres en lecture. Mazette. Alors, on s’interroge vraiment ou on fait semblant ? PIRLS m’a tuer On savait que le niveau des élèves français en langue et en lecture n’était pas idyllique, mais plusieurs études, nationales et internationales, avaient établi ces derniers temps que le niveau dans ce domaine n’avait globalement pas baissé durant la dernière décennie. Où le bât blesse-t-il, exactement ? L'état de l'École 2017. Coûts, activités, résultats. Rédactrice en chef : Sophie Saint-Philippe Présentation Les tendances décrites dans les numéros précédents se confirment.
L’effort de la nation est important. Il s’est traduit par une amélioration du niveau de qualification, sans toutefois parvenir à diminuer les inégalités, en particulier celles liées à l’origine sociale, ni à réduire les écarts des élèves en grande difficulté scolaire. Les indicateurs sont répartis selon trois thèmes principaux : les indicateurs de coûts, d’activités et de résultats. Coûts 1. Multipliée par 1,9 depuis 1980, la dépense intérieure d’éducation atteint 149,9 milliards d’euros en 2016, ce qui représente 6,7 % du PIB.Télécharger les données, tableaux et graphiques de « La dépense pour l’éducation » [xls] 2. En 2016, près de 30 % de la dépense intérieure d’éducation, soit 43,3 milliards d’euros, ont été consacrés à l’enseignement du premier degré. 3. 4. Pour l’enseignement supérieur, la collectivité nationale a dépensé 30,3 milliards d’euros en 2016. 5. 6. 7. Décrochage scolaire. Les politiques de lutte contre le décrochage scolaire, menées dans la continuité depuis plusieurs années, ont permis un net recul du décrochage en France.
Cette baisse se traduit dans toutes les académies, certaines ayant réussi, en plus, à faire reculer ce phénomène dans les territoires les plus difficiles. Pour autant, un nombre important de jeunes sortent encore du système scolaire sans diplôme. Des moyens extraordinaires et coûteux doivent alors être déployés pour les identifier et leur proposer une « seconde chance ». Pour limiter au maximum ces actions de « raccrochage », il est nécessaire d’agir en amont, à la fois dans la prévention pour tous les élèves et dans des actions ciblées sur les élèves présentant le plus de risques.
Cette vidéo a été produite par Canopé Grand-Est.