Le cartable des compétences psychosociales. Projet STRONG : soutenir les compétences psychosociales des adolescents - Archiclasse. La recherche européenne intitulée STRONG (Supportive Tools for Resilient, Opend-minded and Non-violent Grass root work in schools), et le GIRFAS Bretagne (Askoria, ex-IRTS de Bretagne), ont expérimenté un dispositif d’accompagnement et de sensibilisation sur la thématique du bien-être des élèves dans les établissements scolaires.
Trois collèges d’Ille-et-Vilaine (Cleunay et Villejean à Rennes, Cité scolaire Beaumont à Redon) ont suivi l’ensemble des activités de ce programme. La mise en oeuvre du projet prend appui sur une série d’entretiens réalisés durant 13 séances de travail auprès d’élèves de 6ème et des professeurs. Ces entretiens ont succédé à une dizaine d’interventions en classe qui sont décrites et détaillées dans les outils pédagogiques disponibles dans le dossier.Les activités avaient pour objectifs : réaliser une cartographie des espaces du collège, animer des groupes de parole et des animations autour du vivre ensemble. Objectifs. Pourquoi et comment apprendre aux élèves à gérer leurs émotions à l'école ? Qu'est-ce que l'intelligence émotionnelle ?
- La racine étymologique du mot « émotion » est « MOTERE », du verbe latin « bouger », avec le suffixe « E » qui signifie « de », suggérant que dans chaque émotion il y ait une action → l’émotion est un mouvement. Les émotions sont des réactions qui engagent à la fois le corps et l'esprit. C’est un état affectif multidimensionnel qui s’accompagne de manifestations physiologiques, cognitives, expressives et subjectives. - L'être humain exprime quotidiennement un grand nombre d'émotions. Les émotions sont perceptibles pour autrui à la fois par la parole mais aussi par l'expression du visage, la gestuelle et la posture. C'est pas sorcier - Peut-on améliorer sa mémoire ? - Partie 1/2.
C'est pas sorcier - Peut-on améliorer sa mémoire ? - Partie 2/2. C'est pas sorcier -CERVEAU 2 : J'AI LA MEMOIRE QUI FLANCHE. Comment notre cerveau apprend-il de nos erreurs ? Du chien de Pavlov à l'algorithme AlphaGo de Google, l'apprentissage par essai et erreur représente un sujet central dans des domaines de recherche variés tels que la psychologie, les neurosciences et l'intelligence artificielle.
Notre cerveau préfère-t-il les bonnes nouvelles aux mauvaises ? Il faut ainsi introduire les bases psychologiques et neuro-biologiques de ce processus et décrire comme certains biais cognitifs affectent notre capacité d'évaluer nos erreurs. Les résultats démontrent que les participants accordent aux "bonnes nouvelles", 50 % plus d’importance en moyenne qu’aux "mauvaises nouvelles".
Cette tendance générale de notre cerveau à apprendre de manière asymétrique, en privilégiant les informations positives et négligeant les négatives, serait à la base du biais d’optimisme. Apprendre par ses succès et ses erreurs. Une conférence enregistrée en mars 2018. Stefano Palminteri, chercheur au Laboratoire de Neurosciences Cognitives au départemet d'Etudes cognitives de l'ENS. Zoom sur... - Zoom sur... les intelligences multiples.
La théorie des Intelligences multiples d'Howard Gardner La notion d' « Intelligences multiples » a été proposée par un professeur de l'Université de Harvard, Howard Gardner, en 1983 dans son livre Frames of Minds : the Theory of Multiple Intelligence.
Il suggère que chaque individu dispose de plusieurs types d'intelligences, pour lesquelles il a naturellement une plus ou moins grande compétence. Sa théorie a été reprise par de nombreux chercheurs et on distingue aujourd'hui huit principales formes d'intelligences : L'intelligence corporelle / kinesthésique C'est la capacité à utiliser son corps d'une manière fine et élaborée, à s'exprimer à travers le mouvement, à être habile avec les objets. L'intelligence interpersonnelle C'est la capacité d'entrer en relation avec les autres. Plusieurs intelligences détectées dans le cerveau. Dans ce numéro L'auteur Olivier Houdé est professeur de psychologie à l'Université Sorbonne-Paris-Cité.
Pour en savoir plus O. Houdé, Apprendre à résister, Le Pommier, 2014. ITW d'Howard Gardner: Intelligences multiples. Test de personnalité gratuit, descriptions de types, conseils relationnels et de carrière. Congrès international - Les sciences cognitives dans la salle de classe. Les apports de la psychologie cognitive. Rentrée scolaire : la pédagogie à l’heure des neurosciences. Alors que plus de 12 millions d’élèves s’apprêtent à faire leur rentrée ce lundi, nous recevons le neuropsychiatre Boris Cyrulnik.
Il a dirigé l’ouvrage Préparer les petits à l’école maternelle, qui paraît le 11 septembre prochain aux éditions Odile Jacob. Ce travail est issu des "Assises de la maternelle" et insiste sur l’importance de l’école maternelle dans la trajectoire scolaire des élèves. Il propose de mobiliser les résultats des sciences cognitives pour faire de l'école un lieu d’épanouissement propice à l’apprentissage. Quelles contributions les neurosciences peuvent-elles apporter aux politiques éducatives ? Interview Pierre Marie Lledo : Neurosciences et apprentissage. Elena Pasquinelli. « Comprendre les troubles dys » ! - SOS Education. La confiance en soi : comment peut-on apprendre à la ressentir ? L'estime de soi en questions. L'estime de soi est une qualité de base pour tout individu.
Elle correspond à la valeur que chacun s'accorde, à partir de la conscience de ses ressources et de ses manques, de sa capacité à surmonter les obstacles, à rectifier ses erreurs et à trouver des solutions pour agir. C'est un sentiment personnel qui se construit et évolue tout au long de sa vie, à partir de ses expériences propres à travers le regard de l'autre. Pourquoi la question de l'estime de soi se pose à l'école ? L’estime de soi est fondamentale : parce qu'elle est nécessaire à la réussite scolaire ;parce qu’elle permet une autonomie de pensée, une prise de risque pour se lancer et progresser dans tout apprentissage. Réussite scolaire et estime de soi.
Comment développer, cultiver et même restaurer la confiance en soi, facteur-clé de la réussite scolaire ?
Il existe pour cela de nombreuses petites techniques pédagogiques ou relationnelles, peu coûteuses, dont l’efficacité est attestée par de nombreuses expériences en psychologie sociale. Peut-on voir dans les échecs scolaires le reflet d’une faible estime de soi ? Spontanément, la plupart des gens répondront par l’affirmative à cette question. Les recherches en éducation apportent néanmoins une réponse plus mitigée tant l’estime de soi apparaît comme une notion complexe. Certes, un élève ayant une très faible estime de lui-même risque fort de ne pas trouver l’énergie pour s’engager dans son travail scolaire. Confiance en soi, confiance dans les autres - Éducation prioritaire. Lors du deuxième regroupement académique, la rencontre avec l’équipe de recherche de Saint-Dié et les échanges avec les FAEP (formateurs académiques Éducation prioritaire) ont recentré notre attention sur quelques domaines, car il s’est avéré que la problématique retenue, « Confiance en soi, en l’autre », était un sujet très vaste qui englobait de nombreux axes de travail, de la maternelle au collège.
Chacun de nous a choisi un aspect à expérimenter et développer au sein de sa classe : - Célia, professeure de français : le théâtre ;- Catherine, professeure des écoles en petite section : la relaxation ;- Muriel, professeure des écoles en CP : le statut de l’erreur et l’autonomie ;- Véronique, coordonnatrice : la gestion du stress. Des vidéos ont été réalisées et ont servi de supports.
Leur analyse a marqué le deuxième tournant de l’évolution de notre travail. Au moment de leur visualisation, les mots « disponibilité », « empathie », « concentration », « investissement » sont ressortis.