YouTube. Quelles prévisions pour le e-commerce en... Le zéro déchet, la tendance qui s'emballe. Livres, reportages, films, nouvelles enseignes, la thématique du zéro déchet s'est largement dynamisée depuis le début d'année 2016.
Dynvibe, spécialiste de la veille stratégique sur les médias sociaux, a analysé plus de 1000 conversations afin de décrypter cette nouvelle tendance. 1. Une démarche initiée par les mères de famille Le " zéro déchet " est une thématique en forte croissante ces derniers mois sur les réseaux sociaux. On trouve de plus de plus de photos Instagram, de posts Facebook ou de tweets, dans lesquels les internautes expliquent leurs motivations, partagent leurs actions au quotidien, ou échangent des conseils. L'analyse des profils des personnes qui s'expriment montre que cette démarche n'est plus seulement réservée à une catégorie de population initiée à l'écologie, mais concerne désormais une cible plus large. " En route pour une nouvelle vie! Le bio s’installe durablement - Enquêtes sur la consommation en France. Pourquoi l’engouement pour le bio est-il toujours aussi fort ?
Le bio répond aux attentes de naturalité, de santé, de qualité et de confiance des Français et séduit une clientèle de plus en plus large, bien au-delà des puristes. Le secteur est porté par une offre de plus en plus large tant en GMS qu’en magasins spécialisés. Avec la concurrence et la montée en puissance des MDD, les prix des produits bio tendent à se rapprocher du conventionnel, ce qui renforce naturellement son attractivité. Hausse du chômage, baisse du pouvoir d’achat, recul des marges des industriels, croissance flatte du PIB en France… Dans un contexte économique délicat, le marché du bio fait figure d’ovni. En effet, avec une croissance des ventes de 10% en 2014, à 5 Mrds €, ce segment a de quoi faire pâlir d’envie l’industrie conventionnelle. Cause ou conséquence, l’offre se multiplie en parallèle.
Pourtant, un frein se dessine : la production ne suit pas aussi vite que la demande. Bio : l'avis de L'expert. Kantar Worldpanel FR sur Twitter : "Les dépenses des foyers français en #personalcare ont baissé de 12€ en 4 ans mais ils achètent + de produits #beauty. Apple capte 93% des profits mondiaux dans le...
C’est la seule "part de marché"qui intéresse Tim Cook, le PDG d’Apple.
Celle qu’il réalise sur les profits mondiaux dans le smartphone. Car si la marque américaine ne pèse "que" 20% des ventes mondiales de téléphones, son poids dans les profits est lui gigantesque. Selon les analystes financiers de Canaccord Genuity, Apple a ainsi capté à lui seul 93% des profits mondiaux réalisés sur le smartphone au dernier trimestre. Cela veut dire que sur 100 dollars gagnés sur la vente d'un smartphone dans le monde, Apple en récupère 93... Avec 19,5 milliards de dollars de marges sur la période, la société dépasse Samsung qui se contente de 1,8 milliard, soit 9% des profits mondiaux. Samsung est lâché Et ce sont les deux seules sociétés qui ont gagné de l’argent dans cette industrie au dernier trimestre. Cette bataille de deux géants éclipse totalement les autres marques.
Profits des marques de smartphones entre 2103 Et 2014. Quel est le poids des entreprises françaises... Les entreprises françaises s’arrogent 56,5 % de parts de marché des PGC en valeur en 2014 dans l'Hexagone contre 17,9 % pour les entreprises issues de l’Europe de l’Ouest (Belgique, Allemagne, Autriche, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni) et 12,2 % pour les entreprises américaines, selon une étude Nielsen.
Cette part se réduit logiquement à 15,7 % si on raisonne à l’échelle de l’Europe de l’Ouest. Autre enseignement de cette étude, la répartition des équilibres entre les grands groupes et les PME. Les 6 hashtags de 2015 vus par INfluencia - Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub. #paradoxes Paradoxes.
C’est le premier thème que propose Isabelle Musnik (photo ci-contre) quand nous la rencontrons. « Nous sommes entrés dans une société de paradoxes, observe la directrice des contenus d’INfluencia. Chaque phénomène, chaque tendance, trouve son exact opposé. Nous sommes dans l’époque du "moi-je", et c’est pourtant aussi l’avènement du collaboratif. Les objets connectés se développent, et en même temps le mouvement des "makers", qui fait la promotion du fait-main, sort de la confidentialité. Autrement dit, en 2015, le consommateur restera difficile à appréhender ! #hyperpersonnalisation En 2014, 71% des Français se sont livrés à l’égo-surfing, selon une enquête Bing/Ipsos. Les marques s’adaptent en proposant la personnalisation de leurs produits, pour que les clients puissent en faire des pièces uniques, selon leur goût. Les clients aiment se mettre en scène ? Plus d’infos : Le journal du net #fastlane La « fastlane », c’est la voie rapide.
Influencia #transparence #robots.