Le transfert horizontal de gènes traverse les règnes. Le chromosome Y prend un coup de vieux. L’homme qui ne descendait pas d’Adam. Un gène du cerveau trouvé chez l'Homme mais pas chez les singes. L'Homme et le chimpanzé partagent plus de 98,5 % de leur patrimoine génétique.
Parmi les petites divergences qui existent, il y aurait un fragment d'ADN à l'origine du microARN miR-941. Quel impact a-t-il eu sur l'évolution humaine ? La question reste entière... © Ynse, Wikipédia, cc by sa 2.0 Un gène du cerveau trouvé chez l'Homme mais pas chez les singes - 2 Photos Les microARN sont de courtes molécules d'ARN, produites par l'ADN, connues pour réguler l'expression des gènes en venant se fixer sur les séquences codantes, empêchant leur transcription et les réduisant au silence. Dans une étude, des scientifiques de l'université d'Édimbourg (Écosse) viennent de mettre en évidence un microARN, miR-941, qui ne serait présent que chez l'espèce humaine.
L'homme de la semaine : Avait Trouvé la Clé du Graal. Cambridge, le samedi 30 novembre 2013 – On se plaît à imaginer que les chercheurs ayant reçu un prix Nobel couronnant leurs travaux n’accordent plus tout à fait la même attention les années suivantes à l’annonce des lauréats de cette prestigieuse distinction.
Certains pourtant pourraient connaître une seconde fois l’immense surprise de voir leur nom annoncé par l’Académie Nobel. Ce fut le cas dans l’histoire de quatre scientifiques de génie : John Bardeen, prix Nobel de physique en 1956 et 1972, Marie Curie distinguée en 1903 en physique et en 1911 en chimie, Linus Pauling avec un doublé chimie/paix en 1954 et 1962 et Frederick Sanger dont les deux Prix Nobel de Chimie furent séparés de 22 ans d’écart. « Un type qui fait des bêtises » Frederick Sanger qui s’est éteint le 19 novembre à l’âge de 95 ans à Cambridge n’était cependant probablement pas de ceux qui scrutent les annonces de l’Académie Nobel, que ce soit une première fois et encore moins une seconde.
Précurseur de Francis Crick. Répartition géographique et origines ethniques des haplogroupes européens. Dernière mise à jour de la version française en septembre 2013 (A, C, G2a, I2, J2, L, Q, R1a, R1b, T + toutes les cartes) pour la section ADN-Y et février 2010 pour la section ADNmt.Ce site utilise la désignation neutre d'Ère commune (EC ou AEC) pour les dates.
Des études sur l'ADN ont permis de catégoriser tous les êtres humains sur Terre en une série de groupes généalogiques descendants d'un ancêtre commun à un moment de la préhistoire. On appele ces catégories des haplogroupes. Le nouveau plus gros virus aux particularités génétiques uniques qui tente de s’introduire dans l’arbre de la vie. Les scientifiques ont découvert une paire de virus qui défient toute classification.
Plus grand et plus complexe génétiquement que n’importe quel genre viral connu de la science, cette classe de créature mi-vivante, mi-morte, appelée “pandoravirus" (un portrait en image d’entête), pourrait relancer un vieux débat sur la classification de la vie elle-même. Il fut un temps où les scientifiques considéraient les virus comme minuscules et simples, puis vint le mimivirus. Lorsque le mastodonte viral a été découvert, il y a dix ans, il était de loin le virus le plus grand et le plus complexe génétiquement, que la plupart des scientifiques n’avaient jamais rencontrés. A 600 nanomètres de diamètre (taille comparable à certaines bactéries) et avec un génome contenant environ 1000 gènes, il ressemble, à bien des égards, plus à une bactérie parasite qu’à un virus.
C’est d’ailleurs là que ce situe le débat : oui ou non, les virus sont ils "vivant". 3 Questions à - La Libre.be (aperçu) Les pesticides transforment nos gènes - Médias. Agriculture et cancer.
Les mouvements des gènes observés in vivo. 07.10.2013 - Communiqué Génétique, génomique et bio-informatique Certaines régions de l’ADN sont très mobiles et participent ainsi au contrôle de l’expression génétique par leurs mouvements dynamiques.
Comment 2 mètres de notre ADN se compactent en un minuscule chromosome ? (Vidéos) Voici une étonnante image 3D (et la vidéo ci-dessous) qui montre comment les 2 mètres de l’ADN peuvent s’entasser/ compacter en un seul chromosome, un espace qui n’est que d’un centième de millimètre de diamètre.
Les chromosomes, ces paquets de matériel génétique trouvé dans nos cellules, ont été découverts dans les années 1800, mais les scientifiques ont eu du mal à déterminer de manière exacte comment s’y insèrent les molécules d’ADN sur trois dimensions. Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT) et de l’Université du Massachusetts a permis la création du premier modèle complet au monde de l’organisation 3D des chromosomes humains compactés. Leur modèle montre que l’ADN crée des boucles bien tassées qui commencent à partir d’un échafaudage flexible. Les chercheurs, une équipe dirigée par Leonid Mirny, précisent que c’est un moyen très efficace d’emballer l’ADN.