Quelle voiture pour demain ? Des voitures moins gourmandes en énergie, moins polluantes, connectées et complètement autonomes.
C’est ce que nous promettent chercheurs et industriels pour demain. Petit aperçu des recherches en cours à l'occasion des Innovatives "Voiture du futur", un événement organisé le mardi 31 mars par le CNRS. Le défi de l'autonomie Quelle sera la conduite de demain ? Serons-nous toujours sollicités ou complètement débarrassés de la « corvée de conduite » dans les situations répétitives et ennuyeuses ? Batterie sodium-ion : l'avenir de la voiture électrique ? Industrie automobile : réduction de l’empreinte écologique. Une production plus verte Fabriquer un véhicule nécessite des quantités très importantes d’eau et d’énergie et génère un volume tout aussi significatif de déchets.
Pour les industriels du secteur automobile, réduire l’impact environnemental du processus de production est devenu une priorité absolue. Une priorité en termes d’image de marque mais également une nécessité pour garantir le bon fonctionnement des sites de production. Le constructeur américain Ford estime ainsi qu’environ un quart de ses installations sont déjà ou seront, à brève échéance, situées dans des régions en risque de pénurie d'eau. Du coup, développer le recyclage de l’eau, ainsi que le recours aux matières premières secondaires et aux énergies vertes sont devenus des enjeux majeurs pour l’industrie automobile ces dernières années. L’automobile du futur : quelle source d'énergie ? Impossible d’imaginer un futur énergétique soutenable sans une révolution de la motorisation des transports.
Entre le moteur à combustion interne avancé, moteur électrique hybride, à batterie ou à piles à combustible, les options sont nombreuses. Quelles pistes conduisent vers l’un ou l’autre ? Face à une concurrence croissante dans un contexte de forte incertitude associée à la globalisation et à des crises économiques fréquentes ainsi qu’aux pressions pour des solutions écologiques libérées des énergies fossiles, les industries manufacturières matures, au premier rang desquelles se place l’industrie automobile, cherchent des innovations de rupture qui pourraient contribuer à leur survie, et, le cas échéant, leur procurer des avantages concurrentiels durables. Dans quel sens ? Quelle place pour la voiture en ville ? Publié le : 30/11/2015 Niveau facile Niveau 1 : Facile Au moment de la COP21, on peut se demander à juste titre quelle sera la place de la voiture dans la ville du futur.
On voit en effet se multiplier les annonces sur la réduction de l'espace pour circuler, la suppression de places de parking, les péages urbains, l'interdiction des 4x4, etc. Pourquoi tant d'animosité envers ce merveilleux outil de liberté que chacun désire dès son plus jeune âge ? 6 mutations qui dessinent l’avenir du secteur automobile. Devant quels défis sont les constructeurs automobiles aujourd’hui ?
Vous aimez cet article ? Partagez le ! Par Valery Michau.Un article de The Conversation La révolution digitale se passe à l’intérieur des entreprises. Elle se passe également au niveau des secteurs… avec des effets encore plus redoutables. Pour relever ce défi, ils vont devoir appréhender au mieux les six grandes mutations disruptives que connaît actuellement l’automobile et que nous vous proposons de récapituler dans cet article. Les nuisances environnementales de l'automobile. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la France est progressivement entrée dans la civilisation de l'automobile.
Votre rapporteur souhaite illustrer ce phénomène en soulignant trois points. · Tout d'abord, la possession d'une automobile s'est quasiment généralisée au cours du dernier quart de siècle. En 1975, il y avait en France 16,7 millions d'automobiles particulières. En 1998, ce chiffre s'élevait à 25 millions. Ainsi, la proportion de ménages possédant au moins une automobile est passée, de 1975 à 2000, de 64,1 % à 80,3 % 1(*). Automobiles : la transition écologique au point mort. Mise à jour, le 26 mai 2020 : suite aux annonces faites par Emmanuel Macron concernant le plan de soutien à la filière automobile, notre réaction complète à consulter ici.
Après Air France, c’est au tour de l’entreprise Renault d’obtenir une aide publique : un prêt garanti par l’Etat français à hauteur de cinq milliards d’euros. Les alternatives à l'autosolisme. Parkings partagés « Il y a un vrai problème de la voiture à Paris, à laquelle le Parisien a encore trop facilement accès », estime Nicolas Louvet, directeur du bureau de recherche 6t.
D'après les chiffres de l'Enquête globale transport (EGT), il y a aujourd'hui 140.000 places de stationnement en voirie, dont 110.000 sont « ventousées » par le stationnement résidentiel : 80.000 véhicules ne bougent pas en dehors du week-end. Si le prix mensuel du parking résidentiel passait à 150 euros en moyenne dans Paris au lieu de 40, que feraient ces voitures ? Elles iraient dans des parkings payants ou leurs propriétaires y renonceraient. « Et avec cet argent, on pourrait aider ceux qui ne peuvent pas faire autrement », complète Nicolas Louvet. Un problème que certaines jeunes pousses ont compris, à l'instar de Parking Facile, entreprise bordelaise qui a lancé en 2014 un service de location de parkings privés non utilisés, dans huit villes de l'Hexagone. Transport fluvial.