Fake news / Infox. Comment fonctionne l’économie des fake news. EN PARTENARIAT AVEC Audencia SciencesCom - Parler d’une épidémie de fake news revient à considérer que les individus sont capables d’y croire.
Évidemment, les choses sont un peu plus complexes: nous proposons ici d’expliquer comment fonctionne cette économie, afin de voir comment la réguler. En partenariat avec Cet article est une fake news. Ou pas. Comment allez-vous discerner le vrai du faux dans ce texte? En premier lieu, il ne faut pas croire que les fake news ont infesté le web. La recherche de sens, celle qui anime le lecteur curieux, est bien le levier sur lequel vient appuyer toute l’économie des fake news. #NousSachant D’autre part, cette capacité à embrasser la complexité est devenue un privilège de classe. Cela étant, produire des fake news est un “vrai” métier, dans la mesure où l’activité est mise en processus, requiert des compétences et des ressources, allouées et gérées par des organisations aux objectifs très divers. L’annuaire des fausses informations du Décodex.
Pour permettre aux extensions Chrome et Firefox du Décodex de détecter les intox, nous avons recensé des centaines d’articles erronés et compilé toutes les vérifications associées dans notre base de données.
INFO ou INTOX 2020 : Réveillez le détective qui sommeille en vous ! La rédaction des Observateurs de France 24 vous propose neuf minutes de conseils en vidéo pour apprendre à décrypter les fausses images qui circulent sur internet.
Avec quelques exemples qui ont marqué l’année 2019 et le début d’année 2020, voici quelques pistes pour mener l’enquête sur internet. Comme tous les ans depuis 2015, la rédaction des Observateurs de France 24 propose un panorama des intox qu’elle a analysées depuis un an avec quatre grandes thématiques. Au sommaire de ce nouveau numéro 2020 (vidéo ci-dessous) : - 30 secondes pour trouver le vrai contexte : on vous explique comment retrouver l’origine d’une photo en moins de 30 secondes avec votre téléphone portable ! - Ouvrez bien vos yeux ! Un programme pour apprendre à vérifier les images à la maison Ce programme est initialement diffusé pour la Semaine de la Presse et les Médias dans l'Ecole (SPME) du 23 au 27 mars 2020 organisée par le Centre de Liaison de l'Enseignement et des Médias d'Information (CLEMI) en France.
La désinformation scientifique - CLEMI. L’information scientifique est l’une des principales victimes de ce que le sociologue Gérald Bronner nomme la dérégulation du marché de l’information : grâce aux réseaux et médias sociaux notamment, chacun peut exprimer son point de vue, y compris les plus radicaux et les plus marginaux.
De nombreuses théories fleurissent sur Internet, souvent sans fondement scientifique, jouant sur la peur et le manque de connaissances des internautes. Ces phénomènes, qui s’inscrivent dans un contexte d’infobésité, amplifiés par un web hypermnésique, s’opposent également à la temporalité et aux principes de la science, qui se construit sur la curiosité, le doute et l’incertitude, dans un temps souvent beaucoup plus long que celui de la sphère médiatique. > Voir la fiche ressources Santé et alimentation : une désinformation mondiale lucrative parue dans le dossier pédagogique de la Semaine de la presse et des médias dans l’école® 2020.
Fact-checking : qui doit vérifier l'information ? Depuis dix ans, la chasse aux « infox »1 est devenue une mission à part entière pour les grands médias.
Et pour cause : les fausses nouvelles virales pullulent sur les réseaux sociaux. Dans une étude publiée en février 2019, Alexandre Bovet, chercheur à l'Université catholique de Louvain, a ainsi démontré que, lors de la campagne présidentielle américaine de 2016, un quart des tweets contenant un lien vers un article en ligne dirigeait en fait vers des contenus de désinformation2. Face à l'ampleur du phénomène, les grands médias créent des services internes dédiés à la réfutation d'infox, tels que « Les Décodeurs » du Monde, « CheckNews » de Libération, « Les Observateurs » de France 24, « AFP Factuel » de l'Agence France Presse et « Fake off » de 20 Minutes. Loi anti-fake news : « C’est un pont en or pour ceux qui veulent en diffuser » A la tête de la chaîne YouTube Aude What the Fake, la journaliste Aude Favre s’évertue à lutter contre les infox (ou fake news), à travers ses vidéos montées à la manière d’un YouTubeur.
S’adressant à un public plutôt jeune, elle aborde avec humour et dérision les infox qui circulent régulièrement sur internet. Pour la série Médias dans l’arène, Aude Favre revient sur la nécessité d’accélérer l’éducation aux médias et sur la loi anti-fake news qu’elle juge superficielle. → BAROMÈTRE MÉDIAS. Pourquoi 4 Français sur 10 boudent l’information ► Les moments forts de l’interview : – « Le journaliste est souvent vu comme quelqu’un qui va donner sa science, une sorte d’élite.
. – « Oui, faire des erreurs [pour un journaliste], ça arrive. Tous FactCheckeurs : Remontez à la source de l'info (avec Rue89Mooc)