Cuisine et alimentation de nos jours. Cuisine et alimentation en 1914. Si nous vivions en 1913: Grasset - Radio France - Antoine Prost. Nous mangerions surtout du pain. La vie domestique –La nourriture - 1914 Familles de Quintenas. La nourriture était issue des produits de la ferme.
Ils élevaient des cochons, des volailles, des lapins, et confectionnaient des fromages et du beurre à partir du lait de vache ou de chèvre. Les deux éléments clés du repas sont le pain, (on privilégie le pain mi-blanc ou le pain noir, qui sont moins chers que le blanc) et la soupe dont on fait parfois un repas complet. Celle-ci est un potage de légumes longtemps mijotés ou un bouillon de viande (de bas morceaux de bœuf, le plus souvent) que l’on a fait cuire pendant environ quatre heures. Les pommes de terre et les légumes secs avaient une grande importance dans l’alimentation. On pouvait acheter des pâtes et quelques conserves comme les sardines.
Pour faire les «tommes», on mettait cailler le lait avec de la présure. A l’automne ou à l’entrée de l’hiver arrivaient les châtaignes pour des «rôtillées», les citrouilles (potirons) et tous les fruits de saison, pommes, poires, coings. Quelques exemples La conservation des aliments. Menu du 14 mai 1914. Vie quotidienne en 1900. La journée La famille très nombreuse (en moyenne 9 à 10 personnes) ne pouvait pas comme aujourd'hui restée confinée dans une si petite demeure et le travail était dur.
Dès le chant du coq, tout le monde se levait, souvent la mère la première pour préparer le petit-déjeuner et surtout rallumer le feu. Le petit-déjeuner se composait d'une soupe de légumes mélangée avec du lait et de grandes tranches de pain très rarement beurrées. La soupe était faite avec les pommes de terre auxquelles on ajoutait des légumes du moment : chou, haricots, pois et même parfois jeunes pousses d'orties. (Le jour de Noël : petit-déjeuner chocolat, lait ou café, le café était torréfié à l'épicerie, on l'achetait au détail).
Le pain était pétri dans le pétrin familial et cuit chez le boulanger (ceci en général pour une semaine). Après ce repas, l'homme partait soit travailler dans les champs, soit à la Mine. Les boissons : eau, vin, café, lait, parfois gnôle et absinthe. Un siècle de nutrition -Les dossiers magazine de FRANCE-AGRINET.COM. Un siècle de nutrition Evolution des consommations et répercussions nutritionnelles Un siècle de progrès nutritionnels ?
Pas si sûr ! D'une alimentation très végétale au début du siècle, les pays Occidentaux se sont orientés progressivement vers un mode alimentaire différent : davantage de viande et de produits laitiers, moins de féculents et de végétaux frais. Cette évolution, parallèle au développement de l'industrialisation et de l'urbanisation, et à l'augmentation du pouvoir d'achat, n'est pas sans répercussions nutritionnelles. Bilan nutritionnel du siècle Que mangions-nous en 1900 ? Progressivement ces aliments basiques, très riches en glucides complexes et en protéines végétales, mais dépourvus de matières grasses, ont été détrônés par d'autres catégories. Le grand gagnant du siècle reste sans conteste le sucre : de 16 kg / personne / an en 1900, il passe à ... 39 kg en 1974 ! À votre santé ! Ce qui ne doit cependant pas faire oublier les progrès acquis au cours du XXe siècle. Les Français toujours plus concernés par leur alimentation.
La relation que les Français entretiennent avec l’alimentation est forte.
Élément-clé de la culture nationale, la cuisine constitue un sujet de plaisir et de préoccupation de la population. Et cet intérêt des Français pour ce qu’ils mangent n’a de cesse de grandir. Aujourd’hui, 69% des consommateurs s’intéressent ainsi à l’impact de leur alimentation sur leur santé et 61% à son impact sur l’environnement.
Cette attention croissante avec les années a d’ailleurs modifié leurs habitudes d’achats. Le bio en pleine croissance Les produits issus de l’agriculture biologique font partie de ceux qui ont le vent en poupe. Des acheteurs de plus en plus impliqués dans les questions sociales Les Français s'intéressent également à des modes d'achats plus respectueux des petits producteurs comme le partage des richesses ou les produits issus du commerce équitable (+2,8% entre 2015 et 2016). Lsa-conso. Le Télégramme - France - Alimentation. Les habitudes des Français passées au crible. Dis-moi ce que tu manges… C’est, en quelque sorte, le pitch de la dernière étude Ipsos pour Interbev, l’interprofession de la viande.
Confrontée à une baisse de 4,9 % des produits carnés, la profession a décidé de prendre le taureau par les cornes en lançant une campagne au ton décalé sur le thème « Aimez la viande, mangez-en mieux ». Alors que s’ouvre le Salon de l’agriculture, l’étude de l’Institut Ipsos détaille par le menu les attitudes et les tendances alimentaires des Français. Omnivores éclairés. Premier enseignement, les Français mangent de tout. Ils sont 96 % à se déclarer omnivores en intégrant viande et poisson à leur menu. Qualité et santé. La place du repas. . « Flexitariens » sans le savoir ? Manger Bouger.