L'isolement forcé (coin) et l'exclusion d'un enfant sont violents (et inefficaces) Crédit illustration : freepik.com Isoler un enfant de force, faire asseoir un enfant sur une “chaise des punis”, le mettre au coin ou l’exclure ne règlent pas les problèmes à la racine et constituent une approche violente.
Il est hautement improbable qu’un enfant au coin arrive à se tenir un discours cohérent et logique du type “Ce temps d’isolement forcé m’aide à comprendre que je dois agir avec amour et douceur envers mes camarades. Si je me montre gentil, alors les autres se montreront gentils envers moi à leur tour et nous vivrons des relations gratifiantes”. Il y a plus de chances que l’enfant isolé nourrisse une profonde rancoeur envers l’adulte qui l’a puni et ses camarades (“c’est pas juste, je les déteste. La prochaine, je ne me ferai pas prendre. Parfois, les parents ont besoin d’éloigner un enfant d’un autre pour éviter l’escalade de violence mais cela doit toujours se faire avec empathie pour protéger (et non pas pour punir).
La fessée [C'est une autre histoire] Châtiment corporel. Modèle:A relire « Méchants garnements » : Caricature allemande de 1849 montrant un maître d'école faisant subir à ses élèves diverses formes de châtiments corporels.
Un châtiment corporel est une forme de punition dont l'objectif est d'infliger une douleur physique afin d'amener une personne reconnue coupable d'une faute ou d'un délit à un repentir et à éviter la récidive. Le châtiment corporel a été (et est encore) très largement répandu à travers le monde en tant que pratique éducative envers les enfants et les adolescents, dans le cadre familial et dans le cadre scolaire.
Dans ces contextes, le châtiment corporel est généralement défini de façon plus précise : 1) Définition de Murray A. 2) Définition du Comité des droits de l'enfant de l'ONU[6] : « les châtiments corporels sont tous châtiments impliquant l’usage de la force physique et visant à infliger un certain degré de douleur ou de désagrément, aussi léger soit-il. » Châtiment corporel : discipline ou torture ? Claque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Gifle » et « Baffe » redirigent ici.
Pour les autres significations, voir La Gifle et La Baffe. Une claque (ou une gifle) est un coup porté (souvent sur la joue) avec le plat de la main ou un gant. Description[modifier | modifier le code] Une petite fille donne une claque ; une autre petite fille la reçoit. Cette agression concentrée sur le visage a pour intentions plus ou moins confuses et mêlées de surprendre, de mettre en cause et d'ébranler psychologiquement la personne. Des claques sont aussi portées sur d'autres parties du corps comme le haut du dos ou les fesses dans le cadre d'une fessée plus ou moins insistante. Usages non agressifs[modifier | modifier le code] La claque est utilisée pour ramener une personne à la conscience, un peu brutalement s'il ne s'agit que d'interrompre un endormissement, mais de manière plus judicieuse s'il s'agit d'une perte de conscience.
Fessée. La fessée est l’administration de coups donnés sur les fesses[1],[2],[3], avec ou sans instruments, en guise de châtiment corporel.
Fessée punitive[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Les punitions corporelles ont été utilisés dans de nombreuses sociétés humaines pour punir et discipliner adultes et enfants. La punition corporelle de l'enfant était très répandue, dans la famille, dans les écoles et sur les lieux de travail. Elle est mentionnée dans de nombreux documents historiques, biographies, chants et comptines, poésies[6],[7],[8],[9]. Aristote ou Platon s'étaient prononcés pour un usage régulier de la fessée[réf. souhaitée]. Prises de position d'institutions de santé[modifier | modifier le code] Le Collège Royal britannique de Pédiatrie et de Santé Infantile estime qu' « il n'est pas possible de différencier rationnellement une fessée d'une agression physique puisque les deux sont des formes de violence.
Suède[modifier | modifier le code] Punition. Agressions physiques. Corporal Punishment. Dépendances sexuelles et affectives.