Rédaction final. Rédaction. Étienne-François de Choiseul. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article ou cette section d'une biographie doit être recyclé. (indiquez la date de pose grâce au paramètre date) Une réorganisation et une clarification du contenu est nécessaire. Discutez des points à améliorer en page de discussion. Pour les articles homonymes, voir Choiseul. Armoiries de la Maison de Choiseul. Il était préoccupé par la modernisation de l'État et son renforcement face au pouvoir de l'Église, symbolisant l'alliance sociologique et politique entre une frange libérale de la noblesse européenne et la bourgeoisie progressiste d'affaires, tout comme William Pitt en Grande-Bretagne, Pombal au Portugal, Tanucci à Naples, Du Tillot à Parme, Kaunitz en Autriche.
Son ami le baron de Gleichen, diplomate danois, l'a décrit comme « d'une taille assez petite, plus robuste que svelte, et d'une laideur fort agréable; ses petits yeux brillaient d'esprit; son nez au vent lui donnait un air plaisant ». Dans les colonies américaines : « Alias » Femmes et salons littéraires. Les philosophes des lumières face à l'esclavage - Histoires de la Guadeloupe - LADOGRAVE. Le siècle des lumières est, en Europe une période de grands essorts scientifique et d'épanouissement de la raison critique.
Les philosophes français, énoncent des principes généreux sur le droit naturel, l'égalité entre les hommes, et disent la nécéssité d'améliorer la société, de libérer les opprimés, d'instruire les pauvres. Montesquieu est le seul écrivain à figurer à la fois dans le corpus des textes justifiant l'esclavage et dans celui le condamnant. Extrait de l'Esprit des lois : Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais : Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête; et ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindre. l'ABBE GREGOIRE. Etude de cas raynal. Les salons au XVIII<sup>e</sup> siècle.
Contexte historique Une sociabilité aristocratique et mondaine Commande de Joséphine Beauharnais, ce tableau du peintre Lemonnier a été exposé au Salon de 1814.
Le but de ce portrait de groupe est de fixer pour la postérité tous ceux qui ont compté sur la scène mondaine, philosophique et artistique parisienne au cours du siècle des Lumières, bien au-delà des membres qui ont effectivement formé la société de Mme Geoffrin. Significativement nommés « sociétés » au XVIIIe siècle, les salons sont en effet l’une des principales composantes d’une sociabilité mondaine dont le XIXe siècle cultive la nostalgie. Si le divertissement lettré et la recherche du bon mot sont au cœur de ces rencontres, la maîtrise de soi et du savoir-vivre sont essentiels à la qualité des rapports entre « salonniers ». Analyse des images. File:Salon de Madame Geoffrin.jpg. Les salons au XVIII<sup>e</sup> siècle. Marie-Thérèse Rodet Geoffrin. Pour les articles homonymes, voir Rodet.
Marie-Thérèse Rodet Geoffrin Marie-Thérèse Rodet Geoffrin, née à Paris le 26 juin 1699, et morte à Paris le 6 octobre 1777[1], est une salonnière française. Biographie[modifier | modifier le code] Elle forma son esprit en côtoyant les personnalités fréquentant le salon de Madame de Tencin où Fontenelle l’avait introduite, et dont elle recueillit les hôtes à la mort de cette dernière en 1749, alors qu’elle avait dépassé sa cinquantième année. A propos du tableau de Lemonnier : « Une soirée chez Madame Geoffrin » [Annexe par Madeleine Pinault]
Historique : Don de la belle-fille de l'artiste, Madame André-Hippolyte Lemonnier à l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Rouen, en 1871 ; mis en dépôt au Musée des Beaux-Arts de Rouen en 1942.
Rouen, Musée des Beaux-Arts, inventaire P. 942. 1.6. Bibliographie : Notices historiques sur trois tableaux de M. A. C. G. Musée du Louvre, Cabinet des dessins. Une soirée chez madame Geoffrin. Femmes et salons littéraires. Les salons littéraires sont une forme spécifiquement française de société qui réunit mondains et amateurs de beaux-arts et de bel esprit pour le plaisir de la conversation, des lectures publiques, des concerts et de la bonne chère.
Si l’historiographie française a retenu les salons tenus par les grandes dames de la capitale appelées salonnières qui ont su asseoir leur réputation dans le monde, les chroniques du temps montrent que ces espaces de rencontre et de divertissement sont également tenus par des hommes (le baron d’Holbach, La Pouplinière) ou par des couples (Anne-Catherine de Ligniville Helvétius et Claude-Adrien Helvétius) auprès de qui les auteurs trouvent une place de choix. Les dames des Roches tiennent salon à Poitiers dès le XVIe siècle, mais l’on tient aussi cercle à la cour de Catherine de Médicis ou chez les derniers Valois. Cercles, bureaux d’esprit, sociétés, clubs sous l’Ancien Régime[modifier | modifier le code] Salons français célèbres[modifier | modifier le code] Le siècle des Lumières - Le Salon de Madame Geoffrin.