Le tourisme est au cœur de l'enjeu de l'ouverture dominicale à Paris.. » Des festivals et événements enracinés dans leur communauté. Un phénomène qui interpelle les organisateurs Les festivals et événements semblent de plus en plus concernés par leur responsabilité sociale, que ce soit afin de maintenir la motivation et l’engagement de leurs employés et bénévoles, de devenir des acteurs incontournables du développement socioéconomique de leur communauté ou de répondre aux exigences des consommateurs et des partenaires d’affaires.
Générant plus de 9 500 emplois directs et comptant sur quelque 50 000 bénévoles au Québec selon la Société des Attractions Touristiques du Québec (SATQ) et Festivals et Événements Québec (FEQ), ce secteur a aussi pour avantages de divertir et d’animer un territoire, de créer des liens sociaux et de mettre en valeur l’essence même d’une communauté. Mais comment mesurer concrètement la performance de ce pilier du développement durable? Le modèle d’évaluation des pratiques sociales Disponible gratuitement en ligne, cet outil permet aux organisations de: Un festival engagé envers sa communauté. » Libre cours à l’inventivité urbaine. Plus de la moitié de la population mondiale habite en milieu urbain.
En 2050, cette proportion devrait grimper à 70%; en Amérique du Nord, elle sera de 90%! Ces citadins sont déjà exposés à d’innombrables possibilités de loisirs, de divertissement, de socialisation et d’expériences de toutes sortes. Se baigner dans le port, visiter la ville de toit en toit ou encore faire du camping dans un hôtel chic, voilà quelques exemples éloquents de la créativité urbaine. Les touristes, vivant souvent eux-mêmes dans un milieu urbain, cherchent à découvrir la ville du point de vue de ses résidents, à fréquenter leurs lieux, à percer leurs secrets bien gardés. Cette analyse propose, en rafale, des initiatives hors Québec qui contribuent à façonner la personnalité d’une ville et à augmenter son dynamisme auprès des résidents comme des touristes. Se baigner dans le port Source: R&R Associates Vivre des expériences vertigineuses Une montagne russe à parcourir… à pied! Source: Inhabitat Sources: Sites Web:
Action Logement fête ses 60 ans - Logement. © DR Action Logement L’organisme de gestion paritaire de la Participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC) a 60 ans cette année.
Lors d’un cocktail organisé le 27 novembre, ses dirigeants ainsi que la ministre du Logement ont pu échanger leurs visions de cet outil incontournable de la politique du logement. « Vous pouvez compter sur nous pour participer à l’effort de construction dans les bassins d’emploi », a affirmé Jean-Pierre Guillon, président de l’UESL-Action Logement à l’adresse de la ministre du Logement, Cécile Duflot, en préalable au cocktail fêtant les 60 ans de la Participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC). Et de poursuivre : « Les CIL sont en ordre de marche. Pour peu que l’Etat délivre les agréments pour construire 150 000 logements sociaux annuels, nous amènerons comme convenu un équivalent subvention de 950 millions d’euros ». Cécile Duflot a identifié quatre défis à travailler maintenant en priorité.
» La culture comme axe de développement touristique des villes. Depuis le tournant du millénaire, les dirigeants et les têtes influentes de Montréal ont maintes fois souligné que l’avenir économique et touristique de la métropole québécoise passait par la culture.
Mais Montréal n’est pas la seule ville à privilégier la culture. Toronto a décidé d’investir massivement dans ses infrastructures culturelles, tandis que New York a choisi de soutenir les activités de création dans le but de consolider sa position de cité culturelle par excellence. Plus que jamais, la culture est au coeur de la ville. Les vertus économiques de la culture Dans un contexte de mondialisation, où les villes, plus que les États, deviennent les véritables acteurs de la concurrence économique mondiale, la culture est désormais largement reconnue comme vecteur de développement économique et urbain.
Ce n’est donc pas un hasard si l’on associe naturellement le tourisme urbain et le tourisme culturel. Le développement par le bâti Le réaménagement urbain. Animations - Ville de Pau. Le Boulevard en Promenade est une animation gratuite proposée tous les premiers dimanches de chaque mois par la Ville de Pau sur le Boulevard des Pyrénées de 14 h à 18 h.
Cette animation mensuelle permet d'offrir, aux promeneurs, rollers, cyclistes, 4 heures durant, un lieu sans véhicules , réservé à la balade et aux animations, mais également d'accueillir des bouquinistes, artisans créateurs, des peintres et des sculpteurs de qualité, et ce, afin de favoriser la créativité et valoriser les créations des personnes exerçant une activité artisanale ou artistique. 8 bénévoles dynamiques du réseau des Dis'pau interdisent l'accès du Boulevard à 2 endroits stratégiques : Rue Adoue – carrefour Adoue / Henri IV Pont Oscar – carrefour Georges de Nerval / Boulevard des Pyrénées et conseillent les riverains, touristes ou autres automobilistes sur les lieux de stationnement les plus proches qui sont : les parkings souterrains Beaumont et Clemenceau, dont la 1ère heure est gratuite.
a3 ae 2013.show. Site officiel de l'Office de Tourisme de Fleurance dans le gers en Gascogne, au coeur de la lomagne en gascogne. L'accompagnement, enjeu de l'animation. Mis en ligne le mercredi 7 février 2007.
En novembre 2005, la DDJS de la Nièvre a initié [1] une journée départementale sur le thème "accompagner les jeunes". A cette occasion, Alain Blandin, conseiller jeunesse à la DDJS est intervenu sur le thème "l’accompagnement, enjeu de l’animation". Ressources jeunesse propose ici le texte de son intervention. Lille. L'impact de l'animation rurale en matière de développement socioéconomique des campagnes - Bobo KEITA. L'animation rurale est une méthodologie , une démarche de développement.
Son objet est socio-économique. Elle est repérée à cause du caractère intégré de sa démarche à la dynamique sociale.. Ainsi l'animation rurale n'est pas l'animation socio culturelle cette dernière vise à promouvoir les valeurs culturelles. La vulgarisation peut-être qualifiée d'animation,Lorsqu'elle est participative et intégrée. Au Mali, l'animation rurale se présente avec des spécificités propres. 598091_18906389_460x306. Toulouse, une ville en mutation - 13/01/2014. L’air de rien, Toulouse a vraiment muté.
Les Toulousains et les touristes le constatent depuis cet été, avec leurs pieds, en arpentant la nouvelle place du Capitole piétonne ou la rue d’Alsace-Lorraine réaménagée (selon les plans de l’architecte Bruno Fortier). Mais les effets de la cure de jouvence lancée dans le reste du centre-ville par l’urbaniste catalan Joan Busquets commencent aussi à se faire sentir. Parcourir les quais de la rive droite entre pont Saint-Pierre et Pont-Neuf permet ainsi de découvrir le nouveau visage de ce secteur très prisé. À Saint-Pierre, les gradins destinés à relier la Ville rose à son fleuve sont presque achevés. Cet amphithéâtre moderne était initialement imaginé par l’urbaniste sur le port de la Daurade.
Ces gradins intriguent parfois, inquiètent aussi (on connaît la réputation festive de la place et certains craignent des incidents sur ces marches descendant vers le fleuve). Pargaminières : des façades vétustes rénovées dès 2014. Malakoff, l'art dans la ville. Sylvie: "Dubaï est une merveille d'architecture urbaine" Les villes créatives comme alternative à la crise ? Coup de projecteur sur les villes créatives Lorsque l’on évoque la crise, on pense généralement aux licenciements, aux usines fermées, aux banques, aux manifestants en colère, aux maisons abandonnées par des emprunteurs étranglés par les taux d’intérêt.
Mais on pense beaucoup plus rarement aux nouveaux modes de gouvernance et modèles économiques qu’elle génère comme les Villes Créatives. Utopie ou alternative à la morosité ? Le concept continue en tout cas à faire des émules en Europe. Les musées, un outil efficace de régénération urbaine ? Les exemples de Mons (Belgique), Essen (Allemagne) et Manchester (Royaume-Uni) 1En 2007, l’ICOM (Conseil International des Musées) définit le musée comme « une institution permanente sans but lucratif, au service de la société et de son développement, ouverte au public qui acquiert, conserve, étudie, expose et transmet le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité et de son environnement à des fins d’études, d’éducation et de délectation ».
Après une longue période de déclin, les musées connaissent entre la fin des années 1960 et le début des années 1970 de profondes mutations (nouvelle muséographie, développement de la médiation, introduction d’activités commerciales,…) qui entraînent, entre autres, un vaste mouvement de rénovation et de construction muséale (Balle, 2004). 2A partir des années 1980, la problématique du rôle de la culture dans le développement économique a profondément évolué. La culture, originellement considérée comme un luxe subordonné à une croissance urbaine forte, est devenue un outil de développement territorial.
Source : B. Source : Refaire la cité - L'avenir des banlieues - Idées. Aujourd'hui il sera question de la vie dans les "banlieues" et dans la "cité" dans "La suite dans les idées", avec deux sociologues universitaires qui ont l'abitude d'enquêter dans ces quartiers populaires. Nous recevons Michel Kokoreff, professeur de sociologie à l'Université Paris 8 Saint-Denis et Didier Lapeyronnie, Professeur de sociologie à l'Université Paris-Sorbonne, co-auteurs d'un essai qui va paraître le 10 janvier prochain aux Editions du Seuil dans la collection "La république des idées" : - Refaire la cité : diversité et politique des quartiers populaires Sur le même thème signalons aussi le livre écrit sous la direction de Régis Cortéséro, avec une conclusion de Didier Lapeyronnie : La banlieue change : inégalité, justice sociale et action publique dans les quartiers populaires (Editions le bord de l'eau, Gironde, octobre 2012)
La ville créative : quelle place pour la culture ? « mythe-imaginaire-société ET SI LES VILLES DEVENAIENT PLUS CREATIVES. Après mon post sur « l’esthétisation du monde » (voir « Et si le capitalisme était devenu artiste ? « ), j’ai décidé de consacrer ce #JourDuPenseur dominical à un petit livre datant de 2009, mais qui n’a rien perdu de son actualité, intitulé « Qu’est ce que la ville créative ? », écrit par l’urbaniste Elsa Vivant. La réflexion sur la ville créative d’Elsa Vivant s’inscrit dans le prolongement des travaux de l’américain Richard Florida (auteur de « The Rise of the Creative Class »), mettant en évidence l’importance pour le dynamisme et le développement d’une ville d’attirer les « classes créatives » (artistes, professionnels de la culture, minorités culturelles et cadres supérieurs).