L’impact de la crise du coronavirus sur l’économie mondiale. « Les perspectives de croissance mondiale sont mauvaises pour 2020, avec une récession au moins aussi dure que lors de la crise financière mondiale (de 2008-2009), voire pire », a déclaré la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, le 23 mars dernier, à l’issue d’une téléconférence des ministres des finances et des gouverneurs des banques centrales du G20.
Depuis le début de l’année 2020, l’épidémie de coronavirus, après avoir frappé la Chine, s’est propagée dans le reste du monde : les mesures pour endiguer cette crise sanitaire ont entraîné de lourdes conséquences pour le fonctionnement de nos économies. Petite histoire des plans de rigueur. Le plan d'économies de Manuel Valls, présenté ce mardi devant l'Assemblée nationale, est-il inédit ?
50 milliards d’euros d’économies, « ça n’a jamais été fait ! » avait lancé, bravache, François Hollande lors de sa conférence de presse du 16 janvier 2014. Depuis le plan Barre en 1976, au moins quatre grands programmes de rigueur – ou « d’économies », c'est selon – ont été menés. Historique d’un « appel à l’effort » récurrent. Septembre 1976 – Le plan Barre Les mesures.
Imposée par la première crise pétrolière, la « potion » de Raymond Barre est amère : entre 1975 et 1979, le taux de prélèvements obligatoires augmente de dix points, à 39,4%. « Ce plan utilise d’abord l’arme fiscale, note l’historien Jean Garrigues. **50 milliards d'économies, "ça n'a jamais été fait"** , expliquait donc François Hollande. Annuler la dette, est-ce pertinent ? A la fin de l’année, la dette publique devrait atteindre plus de 2 600 milliards d’euros, en augmentation de plus de 250 milliards par rapport à 2019.
Ces 250 milliards sont le coût du « quoi qu’il en coûte » : de la prise en charge par l’activité partielle des masses salariales et des revenus d’une grande partie de l’économie, le soutien apporté aux indépendants, à certains secteurs ou des dépenses supplémentaires. Mais également les pertes de recettes fiscales liées à la chute spectaculaire de l’activité de 9 % sur l’année, selon l’Insee. Les milliards risquent de défiler encore puisque ni l’épidémie, ni les mesures prophylactiques aux conséquences économiques assurées par l’Etat ne sont terminées. (110) Dessine-moi l'éco : Pourquoi la déflation peut-elle être dangereuse ? (110) Politique monétaire non conventionnelle. (110) Politique monétaire conventionnelle.
(110) Qu'est-ce que la politique monétaire ? (110) la politique monétaire. (110) La croissance fait-elle le bonheur ? - Décod'éco. Classement IDH 2020 : les 20 pays où la vie est la plus belle. [IDH] Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) dévoile chaque année les Etats où la population bénéficie de la meilleure qualité de vie.
Voici les résultats du dernier classement IDH. Non, le produit intérieur brut (PIB) ne suffit pas pour apprécier pleinement la conjoncture économique et sociale d'un pays à un instant T. Pour estimer le bien-être d'une population, il faut également compter avec la façon dont les richesses matérielles et immatérielles sont distribuées. Tableau de bord - dernière parution. EcoM21 : Cros. Révisez les notions et concepts vus dans la partie du cours "le fonctionnement de l'économie" et en lisant ce court document : intro_vocabulaire_croissance.pdf (0.4MB) Vous pouvez aussi écouter cette courte vidéo Docteur CAC: la croissance, comment ça marche ?
Ici Ne pas confondre croissance économique et développement. Vidéo la croissance dans le monde de 1961 à 2017Les 10 premiers pays **CLIQUEZ ICI** et auto-évaluez vous ! Un point d'actualité au 1er mai 2020 : Cliquez ici!! Les Sciences Économiques et Sociales dans l'Académie de Versailles - Générateur de Carrés Magiques de Kaldor. Les Sciences Économiques et Sociales dans l'Académie de Versailles - Générateur de Carrés Magiques de Kaldor.
(110) Politique Conjoncturelle vs Politique Structurelle. (110) Politique conjoncturelle ou politique structurelle. La régulation économique. Inflation et déflation - Vidéo Sciences économiques et sociales. Quelle est la différence entre l'inflation et la déflation, et quelles répercussions ces deux modes peuvent-ils avoir sur notre comportement économique ?
Depuis la crise économique et financière de 2008, les banques centrales tentent de faire remonter le taux d’inflation, jugé trop faible. Qu’est-ce que l’inflation ? C’est la hausse durable et générale des prix et des services. Mais pourquoi essaye-t-on de faire monter les prix ? Les consommateurs veulent plutôt les voir baisser, pour avoir plus de pouvoir d’achat. Celle-ci peut dégénérer en hyperinflation, comme par exemple en Allemagne dans l’entre-deux-guerres et récemment au Venezuela. Qu'est-ce que la déflation ? Mais il existe une situation aussi dangereuse : la déflation, qui désigne la baisse durable et générale des prix. Voilà pourquoi les banques centrales ont reçu pour mission de maintenir la stabilité des prix, grâce à un taux d’inflation ni trop fort ni trop faible, juste en dessous de 2 %.
Rapport 2019 : l’essentiel sur les inégalités de revenus. En moyenne, les Français les 10 % les plus aisés touchent 6,7 fois plus que les 10 % les plus pauvres (Insee, 2 016) après impôts et prestations sociales.
La France est, après la Suisse, le pays d’Europe où les riches sont les plus riches : le 1 % des plus aisés touchent au moins 7 000 euros contre 5 800 euros au Royaume-Uni par exemple (Eurostat, moyenne 2013-2016). Au total, le 1 % le plus riche récupère presque 6 % des revenus de l’ensemble des ménages. Tout en haut de l’échelle, les revenus proviennent essentiellement du patrimoine (immobilier, actions, obligations, etc.). En matière de salaires, les écarts vont d’un à trois entre le salaire maximum des 10 % des salariés les moins bien rémunérés et le salaire minimum des 10 % les mieux payés (Insee, 2015). Dessine-moi l'éco : la protection sociale.
Le cartel de la lessive condamné à 361 millions d'euros d'amende. Quelque 361 millions d'euros.
C'est la somme que devront payer trois des quatre principaux fabricants de lessives. Ils ont été condamnés, jeudi 8 décembre, par l'autorité de la concurrence française pour s'être entendus sur les prix de leurs produits pendant plus de six ans. (1) Pour l'Insee, l'économie française à la fois bridée et dopée. Après le choc du confinement, l’économie française vue à travers le prisme statistique de l’Insee se remet sûrement mais tout doucement.
Dans son dernier point de conjoncture rendu public ce mardi, l’organisme public fait état d’une poursuite du rebond de l’activité cet été mais à un rythme un peu moindre qu’à la fin du printemps. Au mois d’août, l’économie aurait ainsi fonctionné à 95% de son niveau d’avant-crise après un confinement qui a vu tourner l’économie française à un peu plus de la moitié de ses capacités. En juin, l’activité avait atteint 91% de son niveau de la fin 2019 et en juillet 93%. Le retour à la normale prendra du temps puisque l’Insee prévoit qu’au quatrième trimestre, ce niveau d’activité atteindra 96%. Ce que l’on appelle une reprise très poussive. (110) A quoi sert l'Etat dans une économie de marché ? (99) Qu'est-ce que la politique monétaire ? (99) La notion de politique économique. (99) A quoi sert l'Etat dans une économie de marché ? (99) SES cours de Tle : les limites de la croissance économique. (99) SES Tle : les origines de la croissance économique.