Les 3 kifs de Thomas D'Ansembourg. Les Propulseurs font le tour des Barcamps. Quelques idées pour dynamiser et faire évoluer des Barcamps Lancés en 2005 en Californie, les Barcamps connaissent aujourd’hui un franc succès.
Chaque année, plusieurs centaines de Barcamps ont lieu aux États-Unis, en Europe en Afrique, en Asie. Le modèle de dilts pour se poser les bonnes questions. Un groupe, une entreprise, les systèmes en général travaillent plus efficacement lorsque chaque « équipe » qui le compose coopère et travaille vers l’atteinte d’un même objectif.
De même, un individu peut fonctionner de façon plus efficace si chacune de ses composantes coopèrent. Cet alignement peut être obtenu en étant vigilant à différents niveaux. Le modèle des niveaux logiques est un modèle de la PNL créé par Robert Dilts à partir du travail de Gregory Bateson. Ce modèle est un moyen puissant de changement car il le découpe en différentes catégories d’information. Il peut être utilisé pour clarifier ses pensées sur soi-même, son équipe, son projet, sa société…Le mieux est de commencer par soi-même.
Les règles pour changer les choses sont différentes à chaque étage de la pyramide. Changer à un niveau inférieur pourra avoir un effet à un niveau supérieur par contre changer à un niveau supérieur aura toujours un effet à un niveau inférieur. Environnement. Une entreprise libérée, c'est quoi ? Témoignage de Laurence Vanhee sur l'entreprise liberee. Le progrès, c'est nous ! Idriss ABERKANE. Gilles Verrier, ESCP Europe - Libérer l’entreprise avec des managers plus autonomes. Thèmes et idéesNos invitésNos analysesÉmissionsChaînes partenaires Les incontournables Philippe Gattet Comprendre la matrice McKinsey Jérôme Barthélemy Managers, la meilleure manière de vous perfectionner Michel Hervé Vers une sortie de la culture du chef A quoi servent vraiment les revues académiques ?
Olivier Charbonnier, Xerfi Canal Le travail et l'entreprise, demain. Huit questions sur l'entreprise libérée, Le Cercle. Intelligence collective. L'organisation matricielle, véritable révolution copernicienne du management permet enfin d'associer les talents dans nos entreprises.
L'enjeu ? Favoriser l'innovation, véritable levier de croissance et d'engagement. L’histoire explique l’actualité et est source d’inspiration pour l’avenir. Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique. Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles.
Quel que soit le domaine ou le secteur d’activité dans lequel elles évoluent, les entreprises libérées ont des points communs. LE BONHEUR AU TRAVAIL : DE LA PROPOSITION DE REVE AU RISQUE D’INJONCTION A ETRE. Dans la droite ligne de la mode de la libération des entreprise ou de la pleine conscience, on voit surgir une nouvelle proposition : Le bonheur au travail.
L’irruption, ou devrions nous dire l’éruption, de ces propositions sonne comme des promesses d’avenir radieux mais peuvent parfois être transformées en des injonctions cachées d’un système économique en réorganisation permanente et qui tente d’amener les individus à compenser individuellement les problèmes que ce même système génère.
La proposition du bonheur mérite d’être examinée car qui refuserait une telle proposition ? La référence à Spinoza tente de placer le débat dans le champ philosophique. Le bien-vivre au travail, premier défi de l’entreprise intelligente. L’information n’a pas obtenu toute l’attention qu’elle méritait.
Une étude publiée dans la revue médicale International Archives of Occupational and Environmental Health a établi que « le chômage tuerait entre 10 000 et 20 000 personnes par an en France ». Voilà de quoi remettre en cause de nombreuses idées reçues et nous inciter à changer de regard sur le monde du travail au XXIème siècle. Pourquoi les salariés n'aiment plus leur bureau.
Gros malaise entre l’open space, la machine à café et le photocopieur… les Français ne supportent plus l’aménagement de leurs espaces de travail.
Ils sont 43% à le dire, contre 31% dans le monde (sources : chaire immobilier et développement durable de l’ESSEC, UK Green Building Council, baromètre Actinéo sur la qualité de vie au bureau, édition 2013). Portes ouvertes ou fermées, lieux de réunions systématiquement sans fenêtres, escaliers glauques, fumeurs éjectés, néons sans âme, mobilier à roulettes, confort thermique et acoustique aléatoires, coupure avec le milieu naturel, cloisonnement anarchique (« Pourquoi lui a un bureau, et pas moi ? »)… En réalité, le problème ne se situe pas là. La question majeure tient dans le passage d’une conception fonctionnelle de la répartition des mètres carrés (économie de production) à une architecture organique de l’espace de travail (économie de l’information). Un impact direct sur la motivation. Trentenaires au bord du burn out. Un sujet sur la fatigue des femmes ?
Il s’est imposé après un constat simple. Depuis six mois, plus un entretien ne commence sans que l’interviewée ne souffle : « Je suis épuisée » – variante : « Vous dormez bien, vous ? » Celles qui parlent sont le plus souvent des femmes jeunes, dynamiques, avec enfants en bas âge. Pour cette enquête, celles qui ont accepté de témoigner – de façon anonyme évidemment – ont d’abord proposé de planifier la rencontre… après 19 h 30.
Ou le week-end – « pas une minute avant ». Sommeil fractionné, to do lists en boucle.