Les jeunes et l’information : une étude du ministère de la Culture vient éclairer les comportements des jeunes en matière d’accès à l’information. Dans un contexte de profondes transformations des modes de production, de diffusion et de consommation de l’information, la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) du ministère de la Culture a souhaité disposer d’un diagnostic approfondi sur les pratiques de consommation de l’information par les jeunes générations (15-34 ans).
Pour ce faire, elle a confié le soin à Médiamétrie de produire une analyse de ces pratiques. L’étude constate que les jeunes sont plus équipés en terminaux mobiles que la moyenne (les 15-34 ans sont 89,9 % à détenir un smartphone, contre 69,2 % des 15 ans et plus)[1] et davantage connectés (97 % des 15-34 ans ont accès à Internet, contre 93% de l’ensemble de la population).[2] Les jeunes sont d’importants consommateurs de contenus d’information en mobilité. Ils font en particulier un usage intense des réseaux sociaux : L’étude montre que, contrairement aux idées reçues, les jeunes s’intéressent beaucoup à l’actualité : LOI n° 2018-698 du 3 août 2018 relative à l'encadrement de l'utilisation du téléphone portable dans les établissements d'enseignement scolaire.
L'article L. 511-5 du code de l'éducation est ainsi rédigé : « Art. L. 511-5. A la troisième phrase de l'article L. 121-1 du code de l'éducation, après le mot : « civique », sont insérés les mots : «, y compris dans l'utilisation d'internet et des services de communication au public en ligne, ». I. A la première phrase du troisième alinéa de l'article L. 401-1 du code de l'éducation, après le mot : « interdisciplinarité, », sont insérés les mots : « l'utilisation des outils et ressources numériques, ». Fait à Paris, le 3 août 2018. Emmanuel Macron Par le Président de la République : Le Premier ministre, Edouard Philippe La ministre des solidarités et de la santé, Agnès Buzyn Le ministre de l'éducation nationale, Jean-Michel Blanquer Le ministre de l'agriculture et de l'alimentation, Stéphane Travert La ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, Frédérique Vidal La ministre des outre-mer, Annick Girardin Sophie Cluzel Mounir Mahjoubi Assemblée nationale : Sénat : Rapport de M.
Promeneurs Du Net | Une présence éducative sur Internet. Illectronisme: «Le nombre de personnes fragiles numériquement augmente chaque année» Alors que je viens d’envoyer un mail d’anniversaire à mon grand-père pour ses 97 ans (véridique !) , une étude sur l'« illectronisme », l’illettrisme numérique, rappelle que l’hyperconnexion ne menace pas la France entière. Cette enquête sur CSA parue ce mardi dévoile que 6 millions de Français ne savent pratiquement pas se servir d'Internet. 11 millions ne sont pas à l’aise avec l’outil informatique. Un Français sur quatre en fragilité numérique « C’est un problème sous-estimé, tranche Jean Deydier, fondateur et dirigeant de Emmaus Connect et Wetechcare, qui fournissent des outils pour se familiariser avec la Toile.
Et la question a de quoi inquiéter : alors qu’aujourd’hui demander son permis, déclarer ses impôts, acheter un billet de train prend environ 2 minutes sur Internet, un pan de la population se retrouve exclu de ces nouveaux usages. « En général, on prend conscience de son défaut de compétence une fois qu’on est mis à l’épreuve, ajoute le fondateur d’Emmaüs Connect. Que veut vraiment dire « éduquer aux médias » ? Quelle forme donner, concrètement, à l’éducation aux médias dans les classes ?
« Dans certains pays, l’éducation aux médias est une discipline autonome, obligatoire, inscrite au programme, explique Marlène Loicq. Dans d'autres pays, comme la France, l’approche est transversale, elle n'a donc pas de place identifiée comme telle». Si l’éducation aux médias est effectivement entrée dans les programmes, sous le nom « d’éducation aux médias et à l’information », son évocation en cours dépend des projets des professeurs, du temps qu’ils veulent ou peuvent y consacrer et surtout de leur formation. « Du jour au lendemain, on leur dit qu’il faut faire de l’éducation aux médias, alors qu’ils n’ont parfois pas abordé ça auparavant. Forcément les projets ne naissent pas. C’est une avancée que l’éducation aux médias soit dans les programmes, mais il faut maintenant expliquer ce que l’on en attend et donner les moyens de le faire ». Deseat. Se désinscrire facilement des services en ligne que vous n'utilisez plus.
Dernière mise à jour le 19 juin 2018 Deseat est un petit outil en ligne qui va s’occuper de vous aider à faire un grand ménage de printemps en supprimant les comptes sur le Web que vous n’utilisez plus. Avez-vous remarqué comment il est beaucoup plus facile de s’inscrire sur un site ou un service en ligne que l’inverse. Tout est fait pour vous amener à franchir le pas dans un sens alors qu’il faut parfois chercher longtemps dans les tréfonds des sites pour dénicher la façon de demander que votre nom et adresse soit effacés et…que l’on vous oublie. Deseat va vous faire gagner beaucoup de temps et vous permettre de mieux gérer votre présence et identité numérique. Il permet d’une part de prendre conscience de la quantité d’informations personnelles que nous laissons derrière nous au fil des navigations sur le net. D’autre part il va nous aider à faire le ménage en conscience et se faire oublier des services dont on n’a pas l’usage. L’utilisation de Deseat est simple.
Lien: Deseat. Les enfants, petites stars des chaînes familiales polémiques sur YouTube. « Ça va ? », s’inquiète Mickaël. Un jouet vient de sauter au visage de sa fille, Kalys, 7 ans, qui se frotte l’œil droit. « Non, non, non, non, pas du tout », s’agite-t-elle. Zoom de la caméra. Le père s’approche pour lui faire un câlin. Il continue à filmer ce moment intime, mis en avant dans le titre de la vidéo (« Jouet Disney Planes et un accident »). Publiée en juin 2015 sur la chaîne YouTube Studio Bubble Tea, elle a été supprimée un an après, à la suite de critiques de plusieurs youtubeurs. Créé en avril 2014, Studio Bubble Tea dit être la première chaîne familiale française à avoir percé sur YouTube. Des chaînes comme celle-ci, il en existe d’autres en France, comme Swan The Voice (plus de 2 millions d’abonnés), Démo Jouets, Ellie’s Magic World, ou encore Mademoiselle Sabina. Accusations de maltraitance Aux Etats-Unis, cela fait plusieurs mois que les chaînes YouTube familiales sont accusées d’être le théâtre de manipulations, voire d’actes de maltraitance. « Esclavage » Le Monde.
Le contrôle parental version 2018 s'appelle «majorité numérique» Temps de lecture: 13 min Un vendredi soir ordinaire, quand soudain retentit un brâme depuis la chambre de l’ado: «Mamaaaannn! Je peux plus me connecter à ma messagerie! On me demande ton adresse mail et ton numéro de carte bleue! Je mets quoi?» Hein? Une loi dans la jungle L’instant est quelque peu historique, car souvenez-vous, la dernière loi sur le traitement informatique des données remontait à… 1978. Mais certains points, comme le traitement des données personnelles des mineurs et mineures, restaient encore peu réglementés: l’inscription sur des réseaux sociaux tels que Facebook ou des messageries électroniques comme Gmail restait ainsi interdite aux moins de 13 ans en raison de la loi américaine, le Children's Online Privacy Protection Act, qui restreint fortement l’exploitation commerciale des informations collectées auprès d’enfants de moins de 13 ans.
Un nouveau rite de passage Défendre la cause des ados Soulager les cauchemars des parents Outiller plutôt que terroriser. WhatsApp relève son âge minimum d’utilisation à 16 ans dans l’Union européenne. Cette décision est liée à l’entrée en vigueur prochaine du règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD) dans l’Union européenne. L’application de messagerie instantanée WhatsApp a relevé à 16 ans son âge minimum d’utilisation dans l’Union européenne, contre 13 jusqu’à maintenant, a-t-elle annoncé sur son site mercredi 25 avril. L’âge minimum reste à 13 ans en dehors des pays de l’Union européenne, précise-t-elle.
Dans un billet de blog, WhatsApp relie cette décision à l’entrée en vigueur prochaine, le 25 mai, du règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD), qui s’applique pour tous les ressortissants européens. Ce règlement fixe à 16 ans l’âge auquel un mineur peut consentir seul au traitement de ses données à caractère personnel, et donc accéder à des services demandant des données personnelles comme WhatsApp. Lire aussi : La Commission européenne attaque sur tous les fronts les GAFA Encadrer le transfert de données personnelles. La surexposition des enfants de 0-6 ans aux écrans - Veille addictions. IVASSENKO ValérieLa surexposition des enfants de 0-6 ans aux écrans - Synthèse documentaireInstance régionale d’éducation et de promotion de la santé (IREPS) Auvergne-Rhône-Alpes, 2018, 44 p. Les quinze dernières années ont connu un développement rapide et une importante démocratisation des technologies numériques. La multiplication des supports (télévision, ordinateurs, tablettes, téléphones...) s'est accompagnée d'une grande diversification des usages (vidéos, films, jeux, réseaux sociaux...), venant modifier en profondeur les pratiques et activités quotidiennes, notamment des enfants.
Dans ce contexte marqué par des prises de position vives et parfois contradictoires, les acteurs de la promotion de la santé sont de plus en plus sollicités pour des interventions. L'intense déploiement du numérique suscite de nombreuses questions de la part des professionnels et des familles. Consulter le document sur le site de l'IREPS Auvergne-Rhône-Alpes.