Papillomavirus (HPV) : la vaccination proposée aux garçons désormais remboursée / Pourquoi docteur ?, février 2021. La vaccination contre les infections à papillomavirus humains est ouverte depuis le premier janvier aux garçons de 11 à 14 ans, avec un rattrapage possible de 15 à 19 ans.
Le papillomavirus peut être responsable de cancers du pénis ou de l'anus "La vaccination anti-HPV proposée aux garçons est désormais remboursée", se félicite la Société Française de Colposcopie et de Pathologie Cervico-Vaginale (SFCPCV). Après l’avis favorable de la Haute Autorité de Santé (HAS), la vaccination contre les infections à papillomavirus humains est ouverte depuis le premier janvier aux garçons de 11 à 14 ans, avec un rattrapage possible de 15 à 19 ans.
Seules 27,9% des jeunes filles de 16 ans sont vaccinées en France En 2019, seules 27,9% des jeunes filles de 16 ans étaient vaccinées. Le vaccin anti-HPV est très efficace L’efficacité du vaccin anti-HPV est aujourd’hui démontrée. Questionnement sur la vaccination : une perte de confiance dans la santé publique ? / La recherche mobilisée covid, février 2021. Pourquoi ne pouvons-nous pas développer des vaccins contre tous les microbes qui nous rendent malades ? / The conversation, janvier 2021.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la vaccination prévient à elle seule chaque année environ 3 millions de décès dans le monde.
C’est, avec l’accès à l’eau potable, la mesure de santé publique qui a le plus grand impact en termes de réduction de la mortalité. En quelques mois, ils ont pu être testés chez l’animal et validés par des essais cliniques chez l’être humain, ce qui constitue un record absolu dans l’histoire de la vaccination moderne.
Auparavant, on considérait qu’il fallait en moyenne 8 ans pour disposer d’un vaccin efficace et sûr. Comment s’explique ce succès ? Annonce-t-il une nouvelle révolution vaccinale, qui permettrait de développer des vaccins contre n’importe quel agent pathogène ? Des "cellules régionales de pilotage de la vaccination" vont être mises en place / Localtis.info, janvier 2021. Leurs courriers de novembre et de décembre étaient restés sans réponse.
Ils avaient une nouvelle fois formulé des propositions la semaine dernière (voir notre article). C'est finalement ce 13 janvier qu'un "premier pas" a été "enfin" franchi : les présidents de région, qui présentaient leurs vœux à la presse, ont fait savoir qu'un entretien téléphonique avait eu lieu le matin même entre le ministre de la Santé et Jean Rottner, président du Grand Est et porte-parole de ses homologues sur le dossier.
Celui de la vaccination. Un échange "franc et direct", selon les termes de Jean Rottner, au cours duquel Olivier Véran a accédé à deux des neuf demandes des élus régionaux. Podcast « Les mots de la science » : P comme politique vaccinale / The conversation, janvier 2021. Génétique, anthropocène, intersectionnalité, décroissance… Ce jargon vous dit quelque chose, bien sûr !
Mais parfois, nous utilisons ces mots sans bien savoir ce qu’ils veulent dire. Dans les Mots de la science, on revient donc sur l’histoire et le sens de ces mots clés avec des chercheuses et chercheurs capables de nous éclairer. L’épisode du jour est dédié à la politique vaccinale. L'expression a envahi le débat public, Covid-19 oblige, mais sans les éléments suffisants à sa compréhension : en quoi consiste une politique vaccinale ? Pour nous éclairer, nous recevons avec Lionel Cavicchioli, chef de la rubrique Santé, Judith Mueller, médecin épidémiologiste affiliée à l’Institut Pasteur et enseignante chercheure à l'École des hautes études en santé publique. Bonne écoute !
Vaccination Covid-19 : pour faire le point à mi-décembre / PromoSanté IdF, décembre 2020. Stratégie et campagnes vaccinales.
Des chercheurs font le point sur l’utilisation d’un type de vaccin innovant contre plusieurs maladies animales et humaines / Anses, septembre 2020. L'actualité a été ajouté à votre bibliothèque Actualité du 15/09/2020 Un vaccin qui s’avale et protège aussi bien contre des maladies causées par des parasites, des bactéries ou des champignons.
Dans une publication qui vient de paraitre, des scientifiques de l’unité mixte de recherche Bipar[1] (Anses, INRAE, EnvA) du laboratoire de santé animale de Maisons-Alfort, ont fait le point sur les recherches menées sur un type de vaccin encore peu développé mais qui pourrait modifier les stratégies de vaccination contre plusieurs maladies animales et humaines. Comme pour tout vaccin, celui étudié repose sur la reconnaissance par le système immunitaire d’un agent infectieux auquel il a déjà été confronté. Couvertures vaccinales contre l’hépatite B et les virus du papillome humain en 4e année du primaire : état d’implantation des mesures recommandées / INSPQ, juin 2020.
Afin de favoriser l’atteinte des objectifs de couvertures vaccinales (CV) des programmes de vaccination en milieu scolaire, des orientations ont été émises par le Directeur national de santé publique recommandant aux régions l’implantation des cinq mesures suivantes :
Un vaccin anti-hépatite C… nécessaire ? / the conservation, février 2020. Un vaccin contre l’hépatite C, pour quoi faire ?
Je ne compte plus les fois où j’ai entendu cette phrase. Et pourtant, c’est bien d’un vaccin dont nous aurions besoin pour combattre efficacement le virus de l’hépatite C et tenter de l’éradiquer de la planète. Il n’est qu’à examiner les faits pour s’en convaincre… Un traitement efficace On le sait, l’infection chronique par ce virus est associée à des maladies graves du foie qui peuvent évoluer vers une cirrhose et un cancer du foie. Disons-le d’emblée, il n’est pas question dans cet article de contester cette extraordinaire réussite. 70 millions de porteurs chroniques.