La voiture autonome. Voiture autonome : Tesla se dit tout près du niveau 5. Elon Musk, PDG de Tesla, a annoncé que le constructeur automobile disposera des « fonctionnalités de base » pour offrir une conduite autonome de niveau 5 cette année.
D'après des propos rapportés par Bloomberg, Elon Musk a déclaré que Tesla était « très proche » de faire émerger des capacités de conduite totalement autonomes. Il l'a affirmé dans une vidéo pré-enregistrée présentée à la conférence mondiale sur l'IA à Shanghai. « Je suis extrêmement confiant que le niveau 5, ou l'autonomie complète, sera atteint et je pense qu'il le sera très rapidement », a poursuivi le PDG de Tesla, cité par Reuters. « Je reste convaincu que nous aurons achevé cette année la fonctionnalité de base pour l'autonomie de niveau 5. » En avril de l'année dernière, Elon Musk avait indiqué que Tesla aurait probablement une conduite totalement autonome d'ici la fin de l'année.
Quand la voiture autonome arrivera-t-elle sur nos routes ? Emmanuel Macron l'a annoncé à l'occasion du dernier Mondial de l'automobile : des voitures autonomes de niveau 3 et 4 seront autorisées à la circulation à partir de 2022.
Actuellement, le niveau 1 (régulateur de vitesse adaptatif et assistance au maintien dans la voie) et le niveau 2 (niveau 1 plus système de dépassement automatisé, aide au stationnement) sont autorisés. Mais dès 2020, les véhicules de niveau 3 (qui permet de rouler sans avoir à conduire sur autoroute) feront leur apparition sur nos routes. La voiture autonome ? Une catastrophe écologique. Dans le principe, la prouesse technologique consistant à remplacer par des machines les innombrables opérations complexes qu’effectue une personne au volant paraît difficilement compatible avec l’idée de sobriété.
Un des derniers modèles, présenté en janvier au dernier Consumer’s Electronic Show de Las Vegas, le SUV Range Rover équipé par l’entreprise Valeo, comporte pas moins de quatre ou cinq caméras, huit lidars (qui permettent de mesurer les distances à partir d’un faisceau laser), plusieurs radars longue portée, un ordinateur central de grande puissance, une caméra trifocale sur le pare-brise et d’autres capteurs. La généralisation de ces véhicules impliquerait, pour abaisser les coûts de façon acceptable, le lancement d’une production de masse de tous ces objets, en supplément de l’électronique déjà présente dans les véhicules actuels. Deuxième problème : la croissance exponentielle des données (le data). Un prototype de véhicule autonome Nissan, en 2014. Soutenir Reporterre. Véhicule autonome : De l'échec au nouveau départ. Promise pour 2020, la voiture autonome n’est pas au rendez-vous.
Refroidi par les difficultés tant techniques que juridiques et réglementaires, le secteur se recompose et avance plus modestement. Il peut s’appuyer sur les énormes progrès réalisés. Où sont les voitures autonomes ? Tesla : Elon Musk annonce le lancement de sa voiture complètement autonome po... La voiture complètement autonome et tant attendue de Tesla arrive.
Avec un peu de retard, mais elle est en route, a annoncé le patron de la firme, Elon Musk, sur Twitter le 1er mars. La conduite entièrement autonome sera disponible pour les automobilistes Tesla "à coup sûr" avant la fin du deuxième trimestre 2021, a-t-il promis. Alors que les clients sont impatients d’avoir accès à la fonctionnalité, repoussée à plusieurs reprises, Elon Musk a justifié le retard pris par Tesla : la société a besoin d’un peu plus de temps pour développer l’intelligence artificielle qui gérera le logiciel entièrement autonome (full self-driving, FSD, en anglais). À la présentation des résultats financiers du troisième trimestre 2020, en octobre dernier, Elon Musk avait déclaré que le FSD serait disponible pour le public à la fin de la même année, rappelle The Verge. Depuis le début, tout le monde s'est trompé sur Tesla. Force est de constater, en conduisant la récente Model 3 Performance de Tesla, que l'industrie automobile ne semble pas du tout prendre la tournure que nous imaginions tous il y encore quelques années.
Et que les constructeurs les mieux établis paraissent fébriles face à cette marque qui défie tous les pronostics depuis sa création. Le nom de Tesla, hommage au célèbre inventeur serbe Nikola Tesla, ne commence à bruisser qu'au début de l'année 2008. Georges Clooney, Matt Damon ou Arnold Schwarzenegger conduisent alors une étonnante voiture de sport électrique lorsqu'ils circulent dans les quartiers les plus huppés de Los Angeles.
Voiture autonome : qui sera responsable en cas d’accident ? La voiture autonome, prochaine petite révolution dans le monde des transports, entend libérer les êtres humains des contraintes et des risques de la conduite.
Mais les libérera-t-elle aussi du poids de la responsabilité ? Tesla, Google, Audi, PSA... On ne comptera pas les grands constructeurs automobiles et grosses entreprises de technologie qui se disputent une place sur le marché de la voiture autonome. Alors que 90 % des accidents proviennent d'une erreur humaine -- vitesse, conduite sous l'emprise de l'alcool, fatigue, inattention, etc. --, les véhicules intelligents devraient faire (enfin) une réalité de la sécurité routière. Voitures autonomes : Un nouveau règlement oblige l’installation d’une boîte noire. Plus d’une cinquantaine de pays rassemblés au Forum mondial pour l’harmonisation des règlements concernant les véhicules de la Commission économique pour l’Europe des Nations unies (UNECE) ont adopté cette semaine une nouvelle réglementation sur les voitures autonomes qui entrera en vigueur en 2021.
Cette « norme internationale contraignante (…) marque une étape importante vers un déploiement plus large des véhicules autonomes », a souligné ce jeudi dans un communiqué l’UNECE, qui réunit 53 Etats en Europe, en Asie et en Afrique. @UN Regulation on Automated Lane Keeping Systems is a milestone for safe introduction of automated vehicles in trafficAdopted by @UNECE's World Forum, it's the 1st binding international regulation on so-called “level 3” vehicle automation #roadsafety👉 pic.twitter.com/xP9NN2YyZy— UNECE (@UNECE) June 26, 2020 Pas au-dessus de 60 km/h Obligation d’une boîte noire Pas de date d’application pour l’UE.
Véhicules autonomes : un décret ouvre la voie à des tests de niveau 4 en 2019. La France se réveillerait-elle enfin sur le véhicule autonome ? Il semblerait avec la publication d'un décret d'application, la publication en avril de la « stratégie française » et l'ouverture des tests en autonomie de niveau 4 l'année prochaine. De quoi permettre aux constructeurs de pousser plus loin leurs (timides) expérimentations dans l'Hexagone. Loi, responsabilité, éthique: la voiture autonome en questions. La loi autorise désormais les voitures à conduite autonome. La Convention de Vienne, datant de 1968, a été modifiée afin de rendre possible la commercialisation de voitures autonomes.
La technologie n'est pas loin d'être au point. Véhicule autonome : en 2020, la France veut enlever les petites roues. Si la réglementation française doit évoluer en 2020 pour autoriser des déploiements commerciaux de véhicules autonomes, l'industrie locale n'est pas encore prête.
La loi mobilités désormais adoptée, le dossier du véhicule autonome en France va pouvoir avancer. Parmi les dizaines d'articles de ce texte, l'un concerne la libéralisation du transport autonome, mais tient en quelques lignes, puisqu'il ne contient aucune mesure concrète. L'article 12 autorise le gouvernement à légiférer par ordonnance pendant deux ans après la promulgation de la loi pour adapter la législation et le code de la route aux véhicules autonomes. Les années 2020 et 2021 seront donc charnières dans le développement de ces services en France. La priorité pour le gouvernement : sortir en 2020 une ordonnance dédiée aux navettes autonomes qui autorisera leur exploitation commerciale par des opérateurs de transport public. Voiture autonome : 1/3 des Français prêts à en acheter une, et 1/2 pense que les accidents chuteront.
Menée en juin 2018 sur un échantillon représentatif de 2 400 personnes, cette étude concernant la voiture autonome, qui a pris son temps pour nous arriver, est cependant riche en enseignements. Premièrement, on y apprend que les Français ne croient pas à l'arrivée imminente de la voiture autonome. En effet, 56 % pensent que la démocratisation de ces véhicules n'interviendra pas avant au moins 10 ans. Et 25 % pensent que cela arrivera dans 4 à 7 ans.