Outils de médiation - Les ressources - Infrasons. Événements de dixit.net. (7) (PDF) Technological mediations in the city: from the experience of urban space to hybrids forms of social interaction. Colloque. LéA, un lieu, des lieux ? Qu’est-ce qu’un « lieu » ? Que sont les LéA ?
Des « Lieux d’éducation associés à l’IFE« , ou bien encore « de nouveaux espaces pour la recherche en éducation », tels sont les premiers mots pour présenter les LéA sur le site de l’ENS-Lyon. Que de lieux ! Chapelle Charbon, un parc pour le nord parisien. Vue sur la friche ferroviaire de Chapelle Charbon, entre l'entrepôt Ney et la zone d'activités CAP 18 © Direction de l'Urbanisme Le site de Chapelle Charbon tire son nom du faisceau de raccordement reliant les voies de la Gare du Nord à celles de la Gare de l'Est.
Il se situe entre l'entrepôt Ney, la rue d'Aubervilliers, la rue de l'Evangile et la rue du Pré, dans le 18e arrondissement. Theatrum Mundi. RETISS - Technologies émergentes et territoires collaboratifs. De quoi la « ville inclusive » est-elle le nom ? Exploration d’un concept émergent à partir de discours scientifiques et opérationnels. 1 Le « modèle » urbain renverrait selon certains auteurs « à un ensemble d’objets, de politiques, de (...) 1Ville « durable », « désirable », « créative », « intelligente » … Les adjectifs ne manquent pas pour exprimer les attentes et les objectifs des acteurs opérationnels vis-à-vis de l’espace urbain.
L’expression de « ville inclusive », qui circule depuis quelques années dans le milieu de l’urbanisme comme un mot d’ordre innovant et mobilisateur, semble appartenir à cet idiome de la ville vertueuse. Cette dernière est désormais présentée comme un concept à part entière, voire comme un « modèle urbain »1 pouvant guider les décisions d’élus et accompagner les politiques urbaines. Mais quelles sont précisément les vertus dont se pare cette « ville inclusive » ?
De quoi est-elle le nom ? 2Plus qu’aux potentielles applications de ce « modèle », le présent article questionne le sens social et politique de cette expression émergente dans une perspective critique. 15 Ibid. La crise de nerfs du corps global. Un modèle organique du monde connecté. La smart-city est-elle inhumaine ? Un point de vue proposé par Pierre-Marie Bonnaud, élève conservateur territorial des bibliothèques et blogueur passionné par le monde de la data, il est un ancien étudiant du CELSA également diplômé en droit public.
Profondément attaché à la défense du logiciel libre, du domaine public et de la neutralité du net, il est membre du collectif Savoirs Com1, soutient la Quadrature du net et Framasoft. Bidouilleur, il essaye, entre deux tweets, de trouver le temps pour coder en Python. Sur liste d’aptitude en juin, il espère trouver un poste qui lui permettra d’œuvrer à l’ouverture et à la valorisation des données publiques.» L’idée de Smart City n’est pas neuve. Comme l’explique Antoine Picon, on en trouve un exemple dans le Chili de Salvador Allende : le projet Cybersin. Wiener, qui déclara ne pas avoir eu connaissance des travaux d’Ampère, cherche à mettre en relation les principes qui régissent le biologique et des machines dites « évoluées ». Une assertion très vite mise à mal :
Des cartes communautaires pour appréhender son propre monde - Donatella Murtas - Visionscarto. Le concept de Parish Maps est né en Angleterre au début des années 1980, fruit de l’heureuse intuition de Common Ground, une association à but non lucratif qui, très tôt, a choisi de travailler à la compréhension et à la valorisation du patrimoine local, à travers la participation, active et créative, des communautés.
Augmenter la ville, oui mais pour qui? Ressources – Chaire de recherche contributive. Vidéo : Bernard Stiegler, Patrick Braouezec – « Faire de Plaine commune un territoire numérique apprenant et contributif », Fête de l’Humanité 2016, (en accès libre) Vidéo : séminaire Ars Industrialis-Plaine Commune, (en accès libre)
Ateliers de cartographie culturelle — Centre de Ressources Numériques - Labomedia. Géoproject anciennement nommé De Nîmes vers ailleurs est un projet dédié aux usages culturels de la cartographie numérique.
Il s’appuie sur la création d’un thème d'éditorialisation cartographique pour Wordpress 4. La ville intelligente n’aime pas les pauvres ! En préparation du prochain OuiShare Fest sur le thème des villes qui aura lieu du 5 au 7 juillet 2017 à Paris, l’équipe de Ouishare, la communauté « dédiée à l’émergence de la société collaborative », organisait une première table ronde sur un sujet d’autant plus provocateur que posé en forme d’affirmation : « la Smart City n’aime pas les pauvres !
» Vérifions ! Les critiques du concept mouvant de ville intelligente sont de plus en plus nourries. Si le numérique et la technologie ont bien investi les villes, force est de constater que ce n’est pas selon le scénario que prévoyait la Smart City, qui était plutôt celui d’un contrôle et d’une optimisation des fonctions de la ville par les grands acteurs de la ville. Smart city : « Il existe un risque de ghettoïsation numérique » « Les smart cities ne doivent pas être des machines technologiques sans âme », dites-vous.
Le risque est-il bien réel ? Et si oui, que faire ? David Lacombled : Aujourd’hui 80% de la population mondiale vit en ville avec des cités qui se déploient sur des dizaines et des dizaines de kilomètres, qui sont encombrées, tant d’un point de vue de la circulation que d’un point de vue environnemental, avec une chape de plomb sur beaucoup d’entre elles, et une atmosphère qui devient irrespirable. Si vous ajoutez à cet état des lieux des dispositifs technologiques qui visent à mieux réguler ou fluidifier le trafic, mieux contrôler votre accès à un bâtiment ou que sais-je encore, alors oui, vous pouvez avoir le sentiment d’un ghetto numérique.
Et c’est en cela qu’il faut être vigilant. Orbe fête une année 2016 bien remplie et ses nouveaux projets. L'année 2016 fut riche et intense avec notamment la réalisation des dispositifs multimédia et participatifs pour le Learning Center Ville Durable (Dunkerque), le Cabinet de Curiosité avec les enfants de Carrières sous Poissy, les Interzones de Clichy-Montfermeil et PortoAlegre-Paris, les guides mobiles d'Atturaif (Ryad) et des Musées des Alples de Haute Provence et des collaborations avec de nombreux artistes, notamment les compagnies In Situ, Une Peau Rouge et Contour Progressif. 2016 c'est également la version ALPHA d'une plateforme web destinée aux auteurs d'applications mobiles créatives : NODAL réalisées dans avec nos partenaires du projet CoSiMa soutenu par l'ANR. 2017 devrait être aussi animée, c'est pourquoi nous vous invitons à partager un moment avec nous le vendredi 16 décembre à partir de 18h00, en nos locaux (29 rue des Petites Ecuries, 75010, escB, 5ème étage).
Il y aura des bulles, de la musique et des surprises à expérimenter. HU.6: Art et Ville Post-Numérique – 6e colloque sur les Technologies de l’Information et de la Communication en Milieu Urbain. HyperUrbain.6 : Art et Ville Post-NumériqueSixième colloque sur les Technologies de l’Information et de la Communication en Milieu Urbain Université de Savoie- Chambéry, France | 6-8 juin 2017 Les colloques HyperUrbain La série des colloques « HyperUrbain » propose des réflexions sur la ville en devenir, en termes communicationnels, artistiques, culturels, philosophiques, sociaux,économiques, politiques, technologiques, … HyperUrbain.65 s’adresse à tous les acteurs qui pensent la ville, qu’ils soient artistes, chercheurs ou professionnels. Dates à retenir * 30 janvier 2017 : envoi des propositions de communication * 1er mars 2017 : notification d’acceptation par email * 3 avril 2017 : envoi du texte final * 6-8 juin 2017 : colloque.