Françoise Vergneault-Belmont. Lire l'espace penser la carte La carte est à elle seule un univers, peu ou mal connu.
Découvrir jour après jour les trésors et les surprises qu'elle recèle fut un privilège accordé à l'auteur, qui a voulu partager ici avec le lecteur les fruits de cette expérience. Objet courant, la carte est un « discours » dont il convient de décrypter les différents niveaux de sens : elle peut en effet « mentir » par maladresse ou sciemment.
Il arrive parfois qu'elle repousse le lecteur de bonne volonté par son langage trop savant ou trop abstrait. C'est pourquoi sept clés sont proposées ici pour aborder la carte, pour la « lire », mais aussi pour « l'écrire ». La carte et le territoire à l’ère numérique. Des DOI sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions qui sont abonnées à un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lequelles Bilbo a trouvé un DOI.
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Le géographe et la carte. Point de vue et questionnement de la part d´un géographe cartographe. 1L´objectif de ce texte est double : connaître d´une part les positions des géographes d´aujourd´hui quant à leur relation à la carte et de l´autre lancer une discussion directe et informelle avec les lecteurs, géographes, cartographes ou autres, venus d´autres disciplines, sur cette articulation encore mal explorée.
Géographie et Cartographie, réflexions historiques et épistémologiques - Persée. Au contraire, l'histoire de la cartographie se présente comme un courant de recherche d'une continuité durable et féconde ; les historiens de la cartographie sont organisés depuis longtemps, constituant une communauté scientifique internationale ; des histoires de la cartographie sont publiées à intervalles réguliers ; revues et colloques spécialisés sont consacrés à l'histoire de la cartographie. 1.
Convergences et divergences des deux histoires. Conceptualité et sensibilité dans la carte sensible. Concepts au prisme de l’épistémologie de la géographie. Les nouvelles façons de « faire mentir les cartes » à l'ère numérique. Avec l'essor de la cartographie en ligne, de l'infographie, de l'imagerie 3D et des nouvelles techniques de géovisualisation, y aurait de nouvelles façons de faire mentir les cartes ?
La réédition de l'ouvrage de Mark Monmonier est l'occasion de s'interroger sur les façons, anciennes ou nouvelles, de « faire mentir les cartes » comme nous invite à le faire le titre de son célèbre ouvrage. La première édition publiée en 1991 et traduite en 1993 s'est vue ajouter, dans la traduction française, un sous-titre assez ambigu Du mauvais usage de la géographie, qui a pu faire penser qu'il s'agissait seulement de dénoncer les dérives de la cartographie à travers ses usages grand public.
Mark Monmonier affirmait au contraire : « Non seulement le mensonge est facile avec les cartes, mais il est même essentiel ». Autrement dit loin d'être une dérive, le "mensonge" serait consubstantiel à la carte, un attribut essentiel et inhérent au processus de re-présentation. Références. Comment faire mentir les cartes de Mark Monmonier. Médier les récits de vie. Expérimentations de cartographies narratives et sensibles – Mappemonde. Résumé Alors que les méthodes narratives sont des outils qualitatifs particulièrement intéressants pour étudier des expériences socio-spatiales complexes, elles présentent également d’importantes limites déontologiques, éthiques et interprétatives.
Nous exposons ici quelques-unes de ces limites, à partir de deux contextes de recherche spécifiques et comparés. Pour sortir des impasses méthodologiques rencontrées, les auteures ont eu recours à des expérimentations cartographiques. Quelles pratiques alternatives inventer, notamment à partir de la cartographie, pour élaborer des relations respectueuses et créatives en contexte de recherche ? Abstract Mediating life narratives. While narrative methods are particularly interesting tools for considering individual and collective experiences, they also have significant deontological, ethical and interpretive limitations.
Henri Desbois, Les mesures du territoire : aspects techniques, politiques et culturels des mutations de la carte topographique. 1 « A map is not the territory ».
Un recueil d’écrits d’Alfred Korzybski reprenant pour titre cet aph (...) 1Prenant acte de la « boulimie cartographique » contemporaine qui fait de la carte un outil de description du monde omniprésent, Henri Desbois s’attache dans cet ouvrage issu de son habilitation à diriger des recherches à en déconstruire l’apparente neutralité. « Une carte n’est pas le territoire »1 : cet aphorisme d’Alfred Korzybski sous-tend, en filigrane, l’ensemble de l’ouvrage. 2C’est à travers une épistémologie très documentée qu’Henri Desbois décortique les visions du monde et les imaginaires dont les cartes ont été le produit et qu’elles ont dans le même temps contribué à modeler et à diffuser, au fil des innovations techniques apparues au cours des derniers siècles.
Mettre un quartier sur la carte : Cartographie participative et innovation numérique à Cotonou (Bénin) Nous remercions l’IRD pour le financement « Coup de Pouce » octroyé au Projet Map & Jerry, ainsi que la représentation de l’IRD au Bénin, le service Valorisation et Innovation et l’UMR 8586 PRODIG pour leur soutien.