Chernobyl : un récit glaçant sur le pire accident nucléaire de l’histoire. “Breaking Bad” : Pourquoi l'épisode culte de la mouche est fondamental. Alors que la brillante série de Vince Gilligan s'apprête à faire son grand retour sur Netflix au travers du long-métrage El Camino, retour sur le segment le plus mythique de Breaking Bad, épisode dont la singularité lui permet de transcender les enjeux du récit.
Avec le succès grandissant des plateformes de streaming, et la réaction nécessaire des chaînes de télévision pour y survivre, il est indéniable que le 21ème siècle a été jusque-là un champ d'expérimentations merveilleux pour le format sériel. La série a gagné le respect, et suscite désormais la crainte, du cinéma. Si la frontière entre les deux est toujours plus floue (Twin Peaks : The Return, film de 18 heures ou série ?) , la petite sœur du cinéma a enfin gagné ses lettres de noblesse, tout en marquant les spécificités dramatiques que lui permet sa durée. Une stagnation factice, qui cache un mouvement innarêtable "Tout est contaminé" Un épisode indispensable C'est en cela que Fly est l'épisode le plus important de Breaking Bad. La série «Chernobyl», métaphore de la déliquescence soviétique. Temps de lecture: 7 min Le 26 avril 1986, l'explosion du réacteur n°4 de la centrale nucléaire Lénine (plus connue sous le nom de Tchernobyl) a déclenché une catastrophe sanitaire d'une envergure colossale.
Un décrochage technologique Dès les années 1960, la course à la technologie bat son plein entre les États-Unis et l'URSS. Conscients que la suprématie dans les domaines de la recherche et de l'armement permettrait d'asseoir une puissance internationale incontestable, les deux grands États se livrent une bataille impitoyable dont l'énergie nucléaire (civile et militaire) est une pierre angulaire. Goblin Slayer : entre controverse et hommage appuyé. Black Mirror : De l’autre côté de l’écran (saison 1) Quand il ne pratique pas son travail de critique et n’anime pas des émissions, Charlie Brooker écrit des séries.
Cette fois, il change un peu de forme, mais reste dans la satire, ajoutant au passage une touche de science-fiction. Black Mirror est une anthologie dont la première saison se compose de trois épisodes qui se proposent de nous présenter des histoires tournant autour de notre dépendance de plus en plus importante aux technologies. Plus précisément, ce miroir noir est plus ou moins l’écran de la télévision, de l’ordinateur, du téléphone, et ce qu’il reflète n’est pas très glorieux, du moins, quand c’est Brooker qui s’y intéresse. Avec les années, son ton sarcastique et son amour de la satire semblent laisser de plus en plus de place au cynisme. C’est en tout cas ce qui ressort tout particulièrement des deux épisodes qu’il écrit – il co-signe le second avec sa femme. Que pensent les Colombiens de la série “Narcos” ?
Des touristes fascinés par le narcotrafic, les Colombiens en croisent à la pelle.
Et encore plus depuis que Netflix diffuse “Narcos”, série star qui met en scène les décennies de narcotrafic qui ont ravagé le pays. Indéniablement, Narcos est un succès. Entièrement tournée en Colombie, la série produit par Netflix a parié sur un casting, des intrigues et des décors à couper le souffle. Artist Creates Pixel Art Game Scenes Based On Popular TV Series And Movies. The Entire Story Of "Breaking Bad" Animated In One Minute To Celebrate Its 10th Anniversary.
Stanger Things. American Gods. 13 Reasons Why. Fargo. Better Call Saul. Game of Thrones. Série. Les gangsters de “Peaky Blinders” sont prêts à faire carton plein. Le 5 mai, le clan Shelby revient pour de nouvelles aventures sur la BBC2.
Au fil des saisons, cette famille de gangsters de l’entre-deux-guerres s’est construit un joli succès. Jusqu’où peut-elle aller ? Au cours des deux premières saisons, son succès critique et public est allé grandissant. A partir du 5 mai, Peaky Blinders revient pour une troisième saison sur la chaîne BBC2. Et elle pourrait cette fois tout casser. Breaking Bad – La liberté de l’homme White. Il est préférable d'être à jour pour lire cette note.
Breaking Bad s'est achevée dimanche soir sur la chaîne câblée américaine AMC, offrant un final d'une grande beauté et d'une parfaite logique. Apparue pour la première fois en 2008, la série imaginée par Vince Gilligan, située à la charnière des années 2000 et 2010, a marqué la fiction télévisée de son empreinte comme peu d'autres l'ont fait récemment. A lire en fin de note, une sélection d'articles parus sur le blog. Allongé sur le sol poussiéreux d'un hangar transformé en laboratoire clandestin, Walter White attend avec une joie douce et calme que la mort vienne le délivrer de sa blessure, de son cancer, de sa souffrance, de la douleur d'avoir perdu les siens, qu'elle vienne le délivrer de lui-même.
Les sirènes des voitures de police, inaudibles en arrière-fond, lui parviennent comme l'annonce de sa propre fin alors qu'au premier plan résonnent les paroles de l'ultime chanson accompagnant son départ: I guess, I got what I deserve.