Déjà plus de 70 projets d’hydrogène vert en France. Quelque 30 pays dans le monde se sont d'ores et déjà dotés d'une stratégie hydrogène.
Dans cette course internationale, la France entend bien occuper le peloton de tête, grâce à son plan hydrogène de 7 milliards d'euros annoncé à l'automne dernier. "L'hydrogène connaît en France un développement considérable", s'est félicité lors d'une conférence Philippe Boucly, le président de France Hydrogène, association professionnelle qui regroupe aujourd'hui près de 300 membres, contre 120 début 2019. Pour rendre compte de cette accélération, l'association a publié ce mardi 9 mars un observatoire de l'hydrogène en France, baptisé Vig'hy. Celui-ci regroupe les chiffres clés de la filière devant "permettre de mesurer les avancements sur la feuille de route 2030" fixée par le gouvernement, un annuaire répertoriant les acteurs tricolores, une cartographie des...
Suivez La Tribune Partageons les informations économiques, recevez nos newsletters. Confier l’alimentation électrique aux énergies renouvelables intermittentes est irresponsable. Par André Berger, Samuel Furfari, Pierre Kunsch, Christiane Leclercq‐Willain, Ernest Mund, Georges Van Goethem et Jacques Marlot.
C’en est fait. Engie a retiré la prise nucléaire en Belgique. Elle a décidé d’acter la dépréciation de ses réacteurs nucléaires belges pour 2,9 milliards d’euros. Avant la formation du gouvernement De Croo, nombreux étaient ceux dans le monde énergétique qui savaient qu’il était impossible d’abandonner le nucléaire — du moins rationnellement — car il n’y avait pas de solution crédible de rechange et que, l’outil étant amorti, ce serait une erreur économique monumentale d’arrêter les centrales en 2025.
Nous avons entendu un haut responsable de l’électricité en Belgique dire que « vers Noël 2024 le ministre va courir à Paris demander que l’on prolonge les centrales nucléaires » (sic) laissant entendre que pour être politiquement correct il fallait se résigner à l’illusion de l’abandon du nucléaire jusqu’à l’admission publique que c’est impossible. « Les inamovibles de la République » ou la haute fonction publique au banc des accusés. C’est le leitmotiv du moment : haro sur la haute fonction publique, sus à « l’Etat profond ».
Depuis la crise des « gilets jaunes », qui a une nouvelle fois mis en lumière la fracture entre le peuple et les élites, les critiques pleuvent sur la technostructure, accusée par les responsables politiques de freiner, voire bloquer, l’action publique. Les monnaies classiques bientôt dépassées ? Ce financier un peu fou prédit l'étalon Bitcoin - Journal du Coin. Bitcoin, LA référence ?
– Il y a encore peu dans l’Histoire de l’humanité, la quasi-totalité des monnaies du monde était adossée à la stabilité millénaire de l’or. Depuis le 15 août 1971, les monnaies errent dans une incertitude fluctuante, le régime de changes flottants. Mais un nouvel étalon monétaire est peut-être sur le point de naître des cendres du métal doré : Bitcoin (BTC). Un standard Bitcoin, après le fameux Gold Standard ? Jeff Booth est l’auteur du livre « La valeur de demain : pourquoi la déflation est la clé d’un avenir abondant » (sorti en janvier 2020). Dans une récente interview donnée à Cambridge House International, Jeff Booth explique pourquoi il pense que Bitcoin pourrait devenir la monnaie de réserve mondiale :
Du Bitcoin gracieusement distribué au Congrès américain. Pour sensibiliser les élus du Congrès américain au Bitcoin, le comité d’action politique (PAC) du groupe de défense de la blockchain, Chamber of Digital Commerce, adresse à chacun des candidats à sa propre réélection un don de 50 $ en BTC.
Eduquer les candidats fédéraux à Bitcoin Cette initiative prend effet dans le cadre de la campagne « Crypto for Congress« . Il s’agit selon la fondatrice du groupe, Perianne Boring, de permettre aux membres de la Chambre des représentants et du Sénat de s’initier à la technologie blockchain et aux cryptomonnaies. Les élus bénéficieront aussi d’une formation en ligne et d’une boîte à outils pour leur donner la possibilité d’interagir rapidement avec les protocoles Bitcoin. L’objectif, bien sûr, est de favoriser une meilleure compréhension du potentiel de cette technologie et de permettre aux politiques de traiter du sujet Bitcoin en connaissance de cause.
Soutiens et alliés. Des habitants des Yvelines votent sur Internet grâce à la blockchain Tezos. Présidentielle : Yannick Jadot, pas encore candidat EELV, déjà marginalisé ? Comment le Bitcoin (BTC) permet-il de développer l'énergie verte et renouvelable ? Bitcoin et sa consommation énergétique, une source de débats Les détracteurs du Bitcoin (BTC) mettent régulièrement en avant son importante consommation énergétique.
Pour miner du BTC et effectuer des transactions, il faut impérativement résoudre des équations mathématiques. Ce procédé requiert une puissance de calcul colossale. Pour effectuer ces calculs, les mineurs s'appuient sur des ordinateurs, des circuits intégrés spécialisés (les ASICs) et des fermes de minage. Afin d'alimenter ces machines, ils ont évidemment besoin d'une source d'alimentation électrique.
D'après le Cambridge Bitcoin Electricity Consumption Index, une plateforme qui surveille en temps réel la consommation énergétique de Bitcoin, le minage de BTC consomme en moyenne 53.62 TWh par an. Une étude du courtier français en énergie Selectra enfonce le clou et affirme qu'une transaction en Bitcoin consomme l’équivalent énergétique d’une ampoule allumée pendant trois mois, soit environ 100 kilowatts par heure (KWh). Comment le Bitcoin (BTC) permet-il de développer l'énergie verte et renouvelable ? Comment le Bitcoin (BTC) permet-il de développer l'énergie verte et renouvelable ?