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COMPRENDRE ET RENCONTRER L'AUTRE

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Théories du complot. Gabriel Ringlet commente le voyage du Pape François à Abu Dhabi - [LARCENCIEL - site de Michel Simonis] La rencontre entre le Pape François et le grand imam Ahmed al-Tayeb au Caire. Début de la fenêtre de dialogue. La touche d'échappement annulera et fermera la fenêtre. Fin de la fenêtre de dialogue. Le pape François à Rome et le grand imam Ahmed al-Tayeb au Caire ont lancé jeudi, avec des personnalités de toutes confessions, un appel international à la prière pour la fin de la pandémie.

"Nous ne prions pas les uns contre les autres, cette tradition religieuse contre celle-ci, non ! Nous sommes tous unis en tant qu’êtres humains", a lancé jeudi le pape François, qui célébrait comme chaque matin une messe dans sa résidence de la Cité du Vatican. Depuis le Caire, le grand imam d’Al-Azhar, institution majeure de l’islam sunnite, a recommandé aux croyants "d’implorer Allah tout-puissant de soustraire tous les humains de ce malheur et d’aider les scientifiques à réussir à trouver un remède". Le monde comme relation. Dans cet essai, Felwine Sarr appelle à fonder une politique universelle de la relation, une utopie active ouvrant le monde à l’altérité et opérant à rebours d’une réalité gagnée par l’inimitié. « La relation relie, relaie (relate) », écrit Edouard Glissant dans sa Poétique de la Relation. Dans la pensée de l’écrivain martiniquais décédé en 2011, la relation désigne aussi bien une mise en rapport et une articulation qu’un principe de transmission et de narration.

Raconter, tisser, partager une certaine vision du monde et des relations entre le vivant et les lieux de vie. Dans son très remarqué Afrotopia, Felwine Sarr, économiste, écrivain et professeur à l’Université Gaston-Berger de Saint-Louis du Sénégal, avait suggéré une voie possible pour repenser le devenir de l’Afrique, non dans le mythe du développement et du pessimisme ambiant, mais plutôt dans une « économie relationnelle » nourrie des valeurs et des pratiques socio-culturelles africaines.

Une crise de la relationalité. Sagesses Soufies, le nouveau très beau site de Catherine Touaibi. Programme femmes mystiques. Représentation de Mahomet : "L'islam a perdu de vue sa propre histoire" Conservateur du patrimoine, Sophie Makariou a rejoint les équipes du Musée du Louvre en 1994. Elle a été nommée à la tête du département des Arts de l’Islam créé en 2003 et dont les nouveaux espaces ont été inaugurés en 2012. En août 2013, elle a été nommée présidente du Musée Guimet, Musée national des Arts asiatiques à Paris.

Entretien. L'Obs Peut-on dire que l’islam interdit la représentation du Prophète et, par extension, de toute figure humaine? Sophie Makariou Il n’y a pas stricto sensu de condamnation de la figuration dans le Coran. Pour les sunnites, le référent absolu, c’est la Sunna, la «tradition», récits de la vie et ensemble de textes recensant les paroles et les actes du Prophète, source essentielle à côté du Coran. Donc, selon les époques, selon les régions, chacune des dynasties, suivant sa sensibilité, va convoquer différemment les textes à des fins politiques. Le visage de Mahomet a-t-il été représenté au cours de l’histoire de l’islam ? Bien sûr.

Congrès international féminin pour une culture de paix

Association Internationale Soufie Alâwiyya Belgique. Rencontres Palestine 2006 - Michel Simonis.