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Éducation. Bambara. Le rôle de la foresterie dans la lutte contre la désertification. Régénération naturelle assistée. 1.
Justification La surexploitation des ressources naturelles pour répondre aux besoins de production agricole et pastorale et de l’énergie domestique a abouti dans plusieurs zones de la région de Maradi à un processus de dégradation de la base de production dont les conséquences sont : l’érosion hydrique et éolienne, la baisse de la fertilité des terres etc. Face à cette situation la population a réagi dans certaines zones comme Aguié avec l’appui des partenaires dont entre autres le Projet de Développement Rural dans l’Arrondissement d’Aguié en adoptant massivement la technique du défrichement amélioré ou régénération naturelle assistée (RNA). 2. Objectifs Les objectifs poursuivis à travers la RNA sont : Shéma de principe. Le rôle des ligneux dans les agro-écosystèmes des régions semi-arides. Le rôle des ligneux dans les agro-écosystèmes des régions semi-arides (avec un accent particulier sur les pays sahéliens) (Chapitre 4.1 - 4.4) Table de matière, Chapitre 1 et 2Chapitre 3 4 L'influence des ligneux sur les facteurs de production végétale.
LE REBOISEMENT. De par le monde, les arbres sont des symboles de vie, ils offrent le confort de leur ombre, l’abondance de leurs fruits, redonnent vie aux terres stériles, fournissent un combustible essentiel enrichissent et stabilisent les sols bref ils présentent la particularité essentielle d’être à la base de toute chaîne alimentaire d’où la production primaire.
Ils sont indispensables. Mais confrontés à la désertification qui est un processus de dégradation qualitative de l’équilibre écologique et de détérioration quantitative des ressources biologiques de soutien de vie, leur survie est en voie d’être compromise. Face à cette situation alarmante une vaste campagne de plantations d’arbres se répand presque un peu partout, ce sont les projets de reboisement. Eth-25769-01. BFT_225_55-64. Guide techniue-arboré. Les arbres hors forêt - Vers une meilleure prise en compte.
Les arbres hors forêt: le cas du Mali Harouna Yossi et Amadou Malé KouyatéProgramme ressources forestières, Institut d'économie rurale, Bamako Photo 55.
Parc agroforestier à karité (Vitellaria paradoxa) sur culture de mil au Mali. (© Cossalter/Cirad) Le Mali, d'une superficie de 1 240 000 km2 , compte environ 10 millions d'habi-tants dont 80 pour cent vivent en milieu rural. L'espace agricole est estimé à 33517 031 hectares (CPS, 1998) et le domaine forestier légal à environ 100 millions d'hectares dont 32,3 millions de formations ligneuses (Sidibé et al., 1998). L'exploitation minière des ressources naturelles et la méfiance des populations vis-à-vis de certaines mesures législatives ont freiné l'aménagement des ressources naturelles. Parmi les systèmes d'arbres hors forêt, les différents parcs agroforestiers représentent 39 pour cent de la superficie du pays. Les produits de ces arbres hors forêt sont consommés localement, traités en usine ou exportés.
GIRAF - Groupe interdisciplinaire de recherche en agroforesterie. Le monde est aujourd'hui confronté au défi majeur de concilier la production agricole et l’exploitation forestière avec la conservation des ressources naturelles.
Il s'agit en fait d'un véritable dilemme : comment peut-on assurer le développement des communautés rurales tout en préservant les sols et la biodiversité ? L’agroforesterie tente de résoudre ce dilemme en créant une étroite synergie entre les arbres et les cultures. Depuis plusieurs années, et en particulier depuis sa reconnaissance officielle en 2004, le Groupe interdisciplinaire de recherche en agroforesterie (GIRAF) concentre ses activités, en adoptant une démarche résolument interdisciplinaire, sur diverses questions soulevées par la pratique de l’agroforesterie.
Sa démarche scientifique concerne tout à la fois les aspects écologiques et techniques de l’agroforesterie que ses aspects sociaux, culturels, économiques et politiques. GIRAF - Groupe interdisciplinaire de recherche en agroforesterie. ULaval.ca > FSAA > PLG > GIRAF > Projets > Accroître la sécurité alimentaire au Mali Accroître la sécurité alimentaire en associant étroitement élevage, arbres et cultures par la pratique de l'agroforesterie au Mali (ASAPAM) Parmi les avenues pour faire en sorte que l'agroforesterie contribue davantage au bien-être des populations rurales, l'élevage est sans doute l'une des plus prometteuses.
Or, ce champ d'intervention reste le parent pauvre des recherches effectuées auprès des communautés rurales. Pourtant, une activité génératrice de revenus comme l'embouche ovine, qui convient particulièrement bien aux femmes, pourrait être pratiquée à plus grande échelle. Comment s'assurer que l'embouche ovine, notamment, devienne une activité génératrice de revenus pour les femmes, compte tenu de la sexospécificité de l'accès à la terre et à ses ressources au Mali ?
Financement: Fonds canadien de recherche sur la sécurité alimentaire internationale (FCRSAI) 2011-2014. Bioversity International: African Food Tree Species - Leaflet series. L'homme qui plantait des arbres à moutons. Le projet de l'équipe de M.
Olivier fait partie des 10 retenus par le Fonds canadien de recherche sur la sécurité alimentaire internationale, sur 274 qui ont été soumis. Il est aussi le seul issu d'une université francophone. Cette initiative commune de l'Agence canadienne de développement international et du Centre de recherche pour le développement international vise à résoudre divers problèmes liés à l'alimentation, en collaboration avec des chercheurs des pays en développement.
Le financement octroyé à M. Olivier s'élèvera à 1,8 million $. Pour l'auteur de Voyage au Mali sans chameau, il s'agit toutefois bien davantage qu'un transfert de techniques. Du bois au Sahel. Innovations Environnement Développement. Sa ligne directrice est surtout guidée par le besoin de fournir des informations sur la pratique de l’agroforesterie, particulièrement sur la RNA, à tous les acteurs du domaine, notamment aux décideurs et aux médias pour une meilleure connaissance de la pratique.
Il constitue donc un espace de partage sur les expériences d’agroforesterie, mais aussi sert de plateforme d’échange aux différents acteurs à savoir les décideurs, les chercheurs et les agriculteurs. Troisième numéro du bulletin "Arbre et culture" (PDF, 696.8 ko) Ce troisième numéro vient contribuer à la réflexion sur la mise à l’échelle des pratiques agro-forestières, en partageant d’avantage d’expériences locales mise en œuvres par des communautés et aussi des paysans leaders au sein de leur (...) Le deuxième numéro du Bulletin "Arbre et culture" (PDF, 875.7 ko) Ce deuxième numéro d’Arbre et culture expose deux expériences d’agroforesterie.
Innovations Environnement Développement. 4. Plasticité espèces. Table des matières - Précédente - Suivante 4.
Plasticité des espèces Des enrichissements localisés ou des plantations sur des étendues restreintes sont fréquemment préconisés dans certains plans d'aménagement. Pour ce faire, des espèces locales ou exotiques peuvent être utilisées. Même si dès les années 60, des espèces autochtones ont été introduites dans les essais, on peut dire que jusqu'à une date récente (~ 1980), l'intérêt s'est surtout porté sur la sylviculture et l'amélioration de l'eucalyptus, et c'est seulement depuis ces quinze dernières années que les études concernant les ligneux appartenant aux zones tropicales sèches se sont développées. En Afrique de l'Ouest, de nombreux tests d'introduction et essais de provenances ont été installés dans divers pays à écologie assez semblable (Sénégal, Mali, Niger, nord du Cameroun, etc.).
Bocage sahélien au Burkina Faso: la technique d'embocagement pour stopper l'avancée du désert au Sahel. Yiriba, des sources de vie au Mali - TerreTv. 010051758. C’est beau et ça sent bon au Mali. C’est beau et ça sent bon au Mali novembre 2002 Bienvenue dans le jardin zoo-botanique malien, enfin sahélien plus exactement (pluviométrie de 400-500 par an).
En guise de bienvenue, un charmant animal domestique rencontré à Ségou : et puis Chiche ! Qu’il existe un arbre rouge et vert ! Manguier 11 espèces d’arbres sont protégées au Mali : le palmier à huile, le rônier, le vène, le lenge, le gommier, le néré, le karité, le kapokier, le caïlcédrat, le balanzan et le ngalama.