La guerre du Vietnam, un conflit asymétrique. Résumé Cet extrait montre les différentes facettes de la guerre menée par les Etats-Unis contre la République démocratique du Vietnam au cours de l'année 1968.
Sur le front, le combat se joue à armes inégales entre américains et vietnamiens. L'opération de pacification menée par les américains visant à rallier la population rurale sud vietnamienne au gouvernement de Saigon est un carnage. Aux Etats-Unis, étudiants et militants affirment leur opposition au conflit. Carte-guerre-vietnam.jpg (JPEG Image, 541 × 919 pixels) Guerre du Vietnam, filmographie : films sur la guerre du Vietnam, Histoire de la guerre du Vietnam, archives, témoignages, articles Guerre du Vietnam, Vidéo Guerre du Vietnam.
La guerre du Vietnam : 1957 - 1975 La « deuxième guerre d'Indochine » opposa les forces américaines et sud-vietnamiennes aux armées du Nord et au Viet-Cong (Communistes vietnamiens).
Ce conflit reposait sur les différentes doctrines militaires et politiques élaborées durant la Guerre Froide par les Etats-Unis dans sa lutte contre le communisme : Contaimnent (contenir le communisme) et « stratégie des dominos ». 1963-1975 - La guerre du Vietnam. La guerre du Vietnam voit s'affronter pendant plus de dix ans le gouvernement pro-occidental du Sud-Vietnam à ses rebelles communistes, activement soutenus par les Nord-Vietnamiens.
Les premiers bénéficient d'un soutien direct et actif des États-Unis et de leurs alliés de l'Océan pacifique, les seconds de l'URSS et dans une moindre mesure de la Chine populaire. Bien plus qu'une nouvelle péripétie de la guerre froide entre le camp occidental et le camp soviétique, cette guerre ultra-médiatisée apparaît a posteriori comme le révélateur d'un monde nouveau, avec des Occidentaux las des aventures impériales et un tiers monde qui prend conscience de sa force.
André Larané. Viêtnam - La "sale guerre" Le cliché de cette petite Vietnamienne nue, fuyant un village en feu suite à un bombardement au napalm en 1972, a fait le tour du monde.
Il est depuis resté gravé dans les mémoires. Mais comment en est-on arrivé à une telle horreur ? De la guerre d’Indochine menée et perdue par les Français à la chute de Saigon fin avril 1975, des vétérans américains, des combattants vietnamiens, des représentants des médias et des militants pacifistes retracent le conflit. Ces témoignages émouvants alternent avec des images d’archives inédites, des documents laissés par des soldats disparus et des extraits d’émissions d’actualités de l’époque. À travers cette matière passionnante, le film évoque aussi bien l’esprit de résistance des Vietnamiens que leur combat fratricide, né de la partition de leur pays.
Le jour où Saigon a vu rouge. «Thang loi !
Thang loi !» («victoire !»). Du ministère de l’Intérieur à Hanoi, en face de l’hôtel Thong Nhat (aujourd’hui Le Métropole), où j’ai mon bureau, un fonctionnaire surgit, se précipite dans la rue en hurlant et en faisant éclater des grappes de pétards qu’il tient à bout de bras. Ce mercredi 30 avril 1975, il est près de 11 heures. Guerre du Vietnam: l’agent orange, un héritage empoisonné. Guerre du Viêt Nam. Nom donné au conflit qui, après le désengagement français, a opposé de 1954 à 1975 le Nord Viêt Nam au Sud Viêt Nam. 1.
Les deux Viêt Nam (1954-1964) Suite aux accords de Genève (1954), la France quitte l'Indochine (→ guerre d'Indochine) après quelque cent ans de présence, et le Viêt Nam voit son indépendance reconnue, mais les puissances lui imposent, en attendant des élections générales, une partition au niveau du 17e parallèle : ce compromis fera de la paix un leurre. 1.1. Le Sud Viêt Nam Au sud du 17e parallèle, la République du Viêt Nam (dont la capitale est Saigon) est présidée par Ngô Dinh Diêm, un catholique fervent qui refuse les élections générales prévues à Genève. 1.2.
Le Front national de libération (FNL), dont les membres sont appelés par leurs adversaires Viêt-cong (« viêts rouges »), est fondé en décembre 1960, mais Hanoi garde son autorité par l'intermédiaire d'un Bureau central pour le Sud. 1.3. 2. Guerre du Vietnam: les Sud-Coréens accusés de violences sur des civils - Asie-Pacifique. A l’occasion de l’anniversaire de la fin de la guerre du Vietnam, des Vietnamiens sont venus à Séoul pour témoigner et raconter les violences dont ils ont été victimes, en tant que civils, pendant la guerre, violences infligées par des soldats sud-coréens.
Ils accusent ces soldats d’avoir perpétré des massacres. Le Hankyoreh, un quotidien sud-coréen de centre gauche, a aussi publié des témoignages très durs de Vietnamiennes aujourd’hui très âgées qui accusent les troupes sud-coréennes de viols. Mais ces efforts de mémoire se heurtent à l’opposition farouche des vétérans sud-coréens. En avril, en usant de menaces physiques, ils ont réussi à faire annuler une exposition de photos et une conférence donnée dans un temple bouddhiste à Séoul par un survivant vietnamien. Des vétérans offusqués par ces allégations Ces vétérans refusent que l’on touche à leur image. Vietnam : 44 ans après, "la fille au napalm" retrouve sa sensibilité cutanée. “J’ai toujours pensé que l’apaisement n’arriverait qu’au paradis, mais maintenant notre Terre est redevenue mon paradis” : cette confidence, Phan Thi Kim Phuc l’a faite au quotidien américain Miami Herald.
Quand on sait que la Vietnamienne, qui vit depuis plus de vingt ans au Canada, n’est autre que celle qui est entrée dans l’Histoire comme “la fille au napalm”, on comprend mieux toute la force émotionnelle de la déclaration. Le Miami Herald est l’un des très rares journaux dans le monde à rapporter la guérison significative de Phuc, prénom qui veut dire “bonheur” et lui va totalement désormais. Simplement parce que c’est dans une clinique de Miami, en Floride, que se rend régulièrement la victime de la guerre du Vietnam, transformée sans le vouloir en icône de l’horreur de ce conflit. Et cette fin de semaine, elle a tenu à annoncer qu’elle avait enfin retrouvé une bonne partie de la sensibilité de sa peau, après plus de 44 années de souffrance et de résignation.