CROQUIS%20-%20GUERRE%20DU%20VIETNAM. La_Guerre_du_Vietnam_Alexia_et_Richard. Jalons Pour l'histoire du temps présent. Le reportage débute par l'action des nord-vietnamiens et insiste sur leur responsabilité dans la détérioration de la situation politique et militaire, en relatant l'attaque du 7 février, tout en passant sous silence la question de la présence américaine dans la péninsule.
Le rôle des alliés sud-vietnamiens est également mis en valeur : les actions militaires des aviateurs du sud sont saluées, et la popularité auprès de la population mise en évidence. Il s'agit de présenter l'intervention américaine dans la région comme légitime, reposant sur un soutien aux alliés sud-vietnamiens contre l'agression communiste du nord Vietnam. L'internationalisation de la crise fait l'objet de la seconde moitié du document : l'aide soviétique et chinoise, les manifestations à Pékin et Moscou contre les Etats-Unis. "La fille de la photo" sort du cliché. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Annick Cojean A QUOI TIENT LA FORCE D'UNE PHOTO ?
A sa grâce, son magnétisme, son pouvoir d'interpellation ? D'où vient que, dans un déluge d'images, il en est une qui accroche le regard, imprime l'imaginaire et marque à jamais les mémoires ? Et comment expliquer qu'après avoir fait irruption dans nos vies son personnage central continue de nous hanter, qu'il devient familier et qu'on se l'approprie, qu'on se montre exigeant, qu'on souhaite entendre sa voix, donner à la photo une suite, une histoire, un destin ?
Il nous a dérangés, fascinés, bouleversés ? Dans un hôtel de Toronto où elle s'apprête, ce 8 juin, à recevoir ses amis, la jeune femme, désormais canadienne, éternellement sourit. "J'ai longtemps voulu fuir cette petite fille plongée dans le chaos de la guerre du Vietnam. Alors, du quarantième anniversaire de la photo prise dans son village de Trang Bang, au Sud-Vietnam, le 8 juin 1972, elle a voulu faire un hymne à la vie. La photographie engagée.
La photographie engagée Champ et contre-champ (documents 1 et 2) Les deux photographies sont prises à quelques secondes d’intervalle par deux photo-reporters présents lors de la guerre du Vietnam : Nick Ut et David Burnett.La première photographie est très connue, on peut même dire qu’elle a une valeur iconique ; ceux qui l’observent y reconnaissent une dénonciation de la guerre du Vietnam.
La seconde représentation, moins souvent reproduite, présente le même événement : des enfants et des soldats qui courent, laissant derrière eux le bombardement dont on perçoit les fumées dans l’arrière-plan (voir le document 1).Intéressons-nous aux différents plans qui structurent les deux documents. Dans l’image de Nick Ut, le photographe saisit l’effroi et l’horreur que l’on peut lire sur les visages des enfants, au moins trois d’entre eux : le garçon à gauche, la fillette nue, la fillette habillée.
Photographier_la_Guerre. Henri Huet - La guerre du Vietnam en images. Contre la guerre du Vietnam. Par Thalie Laboda Avril 2009 Ces dernières semaines, la vie universitaire a été profondément bouleversée par les grèves des professeurs et les blocages des étudiants.
La contestation au sein de l’éducation n’est aujourd’hui plus surprenante. Nous connaissons régulièrement des manifestations de revendications, une confrontation entre le mouvement contestataire de la jeunesse et les orientations du gouvernement. Si notre blog se dirige tout d’abord vers le mouvement contestataire étudiant français 2009, il m’a semblé intéressant de réfléchir sur un mouvement de mobilisation complètement différent. Sur l’abondance d’image de très bonnes qualités qui s’offraient à moi, j’ai décidé de porter mon regard sur celles qui m’interpelaient le plus.
En se penchant sur une époque révolue, il est intéressant de réfléchir et de s’informer sur les pratiques des photographes. I/ Militaires contre civils En 1967, l’opposition grandit et les émeutes urbaines ravagent les Etats-Unis. II/ Les symboles. Timeline - La guerre froide : la guerre du Viêt Nam. Auteur : Ed Kienholz Pour présenter ce tableau, il suffit de reproduire la réponse de Kienholz à une critique parue dans Artforum durant l'été 1969: "Je tiens à préciser avant tout que je ne veux nullement insulter ce pays - l'Amérique - car je l'aime, je pense, autant que vous.
J'ai cependant le droit de vouloir le changer, et à ma façon. Ma méthode - celle de tout artiste - est un système de mises au point et de points de vue. Pour ce qui est de cette oeuvre, elle se lit comme un livre: de gauche à droite. À gauche il y a les moyens de propagande: l'Oncle Sam de la première guerre mondiale, Kate Smith chantant "Dieu bénisse l'Amérique" et "Les marines au Mont Suribachi". La section suivante, "travail habituel", se compose de tables et d'un vrai distributeur automatique de vrais "cokes". Cours d'histoire 1ère S ES L : La guerre froide - La guerre du Vietnam.