Pour l'automobile, l'aéronautique et le BTP, l'impression en 3D, c'est une vieille histoire. Les toutes premières imprimantes 3D remontent au milieu des années 1980.
Et certaines entreprises en sont des utilisatrices convaincues depuis une vingtaine d'années. Le fabricant de jouets Mattel s'y est converti en 1992. Il en possède désormais une trentaine et crée certaines pièces de ses jouets, des voitures Hot Wheels aux poupées Monster High. Chez la plupart des constructeurs automobiles de la planète, la modélisation et l'impression 3D sont utilisées depuis la fin des années 1980 pour concevoir les prototypes de pièces. Même Ford, berceau du travail à la chaîne et des grandes séries, est l'un des plus avancés dans l'utilisation de l'impression 3D. . « Plutôt que de stocker des pièces rarement utilisées ou de faire attendre leur commande aux clients, les pièces pourraient être imprimées à la demande. Idéale pour les petites pièces en faibles séries L'impression 3D est très adaptée à ce qui peut être produit en petite série, dans un seul matériau. L’impression 3D et l’automobile. L’automobile est un secteur qui sera directement impacté par les imprimantes tridimensionnelles : fabrication de pièces de rechange et modélisation de concept-cars vont grandement changer le prix et les délais.
Il sera loin le jour où on disait “Je n’achète pas une voiture japonaise car les pièces détachées mettent du temps à arriver et sont très chères”. D’un côté, pensons à l’automobiliste qui vient d’emboutir son pare-chocs, il pourra le réparer ou le remplacer sur mesure. Il sera aussi possible de réparer d’anciennes automobiles qui étaient destinées à rester épaves, finie la limite des dix ans pour trouver des pièces détachées. Pour le constructeur, il ne sera plus nécessaire d’utiliser un studio ou de sous-traiter la réalisation de prototypes. L'impression 3D pour une Volkswagen Polo personnalisée. Le marché de l'après-vente automobile. La réactualisation d'une étude sur l'activité après-vente automobile en France a été confiée au cabinet TCG Conseil par la branche concessionnaires du CNPA.
Tous segments confondus, le parc VP(véhicules particuliers) et VUL (véhicules utilitaires légers) pourrait en 2016 générer un peu plus de 53 millions d'opérations. On observe donc un déclin par rapport à 2012, principalement lié au marché de la réparation et la maintenance automobile qui pourrait décroître de 9,4 %. La production française des pièces de rechange chute de près de 14 % à fin juin 2013. La Fédération des équipementiers (Fiev) vient de faire état de la situation du secteur au premier semestre 2013.
La production mondiale de véhicules a augmenté de 5,1 % en 2012 (84,1 millions d’unités) et de 1,8 % sur les six premiers mois de 2013 (43,7 millions d’unités). Le marché des équipementiers s’est déplacé mais il est en croissance, et les prévisionnistes s’accordent à penser qu’il le restera à horizon visible. Pour les acteurs mondiaux, l’automobile reste donc un secteur porteur. La production européenne a, de son côté, enregistré 16,2 millions d’unités (– 8,2 %) sur l’ensemble de l’année 2012 et 8,3 millions d’unités (– 4,2 %) sur les six premiers mois de 2013. Il faut noter que l’Allemagne connaît depuis 2012 une baisse de sa production, avec – 10,5 % en 2012 et – 3,1% au premier semestre de 2013.
La production mondiale de VL des constructeurs français en 2012 a représenté 5,57 millions d’unités (– 13%). L'après-vente automobile, trop chère ? Si les français décalent voire ne font plus entretenir aux échéances conseillées ni réparer leur véhicule, c’est que le frais relatifs à ce type d’opération ne cessent de croître.
Drivepad qui étudie régulièrement ces données communique aujourd’hui sur une inflation des prix de l’entretien et de la réparation de 3,5 % sur les 12 mois glissant. Un chiffre à mettre en parallèle d’une inflation générale de 0,7 %. C’est donc le poste budgétaire qui progresse le plus vite sur la période étudiée avec l’achat du véhicule (+1,9 %), les pièces et les accessoires (+1,3 %). Les carburants baissent, de leur côté, fortement (- 4,1 %) ainsi que les prix des assurances. Résultat : le budget total de l’automobiliste n’augmente que de 0,28 % sur un an et baisse même de 0,2 % en avril par rapport au mois précédent. « Le budget global représente plus de 500 euros par mois pour un ménage.
Aliapur confirme l’éclosion du pneu d’occasion. Après-vente. Des entretiens premium pour appréhender ce salon-charnière. lire la suite [...]
Après-vente Par La Rédaction , le 06/07/2011. Le marché des pièces détachées… n'est pas prêt d’être libéré ! Invitée à s’exprimer le 22 novembre dernier au Congrès de l’assurance automobile organisé par notre confrère L’Argus de l’assurance, Virginie Beaumeunier (photo), secrétaire générale de l’Autorité de la concurrence et rapporteur de l’auto-saisine de cet organisme sur le fonctionnement concurrentiel du secteur de l’après-vente automobile, a d’abord rappelé le cheminement entrepris depuis la publication de la décision de consultation publique en avril dernier (90 indépendants, équipementiers, constructeurs, distributeurs, réparateurs, etc.) à la demande d’abolition pure et simple du monopole des constructeurs sur les pièces visibles de carrosserie.
Elles représentent, pour rappel, jusqu’à 20 % du chiffre d’affaires des pièces de rechange, soit près de 2,6 milliards d’euros. Nouveau modèle économique Virginie Beaumeunier a égrené les arguments qui, selon elle, ne justifient plus le maintien en France du droit des dessins, modèles et d’auteur avancé par le lobby des constructeurs. Après-vente auto : plus de concurrence. Le secteur de l'après-vente automobile doit devenir plus concurrentiel pour réduire le coût des réparations payées par les automobilistes, recommande aujourd'hui l'Autorité de la concurrence, une analyse contestée par les constructeurs.
Cinq points sont un frein à la concurrence dans le secteur de l'entretien et de la réparation des voitures en France, relève l'Autorité qui s'était auto-saisie sur ce thème en juillet dernier, après avoir constaté une "hausse significative du prix des pièces détachées et des prestations de réparation et d'entretien automobile depuis la fin des années 90". Il s'agit d'un diagnostic provisoire. Comment dynamiser la concurrence sur le secteur de l'après-vente automobile ? - consultation_automobiles.pdf. Spécial assureurs: la «démonopolisation» de la pièce captive! Cliquez sur les graphiques pour les agrandir «Longtemps, nous nous sommes interrogés sur un étrange silence des assureurs, raconte Aliou Sow, secrétaire général de la FNAA : comment se fait-il que, eux qui viennent chaque année au moins réclamer aux carrossiers et experts quelques euros de moins en main d’œuvre ou honoraires et quelques pourcents en plus en remises de pied de facture, restent en dehors du débat sur la fin du monopole des pièces de carrosserie et de ses potentielles économies ?»
En ce qui concerne la main d’œuvre, la réponse saute aux yeux sur les deux graphiques. La main d’œuvre est largement majoritaire dans les devis de réparation inférieurs ou égaux à 1 500 euros. Comme ces devis-là représentent 75,3% du marché (entouré de rouge sur les graphiques ci-dessus), les assureurs ont été logique : négocier et renégocier la MO à la baisse a été et reste une priorité. Quel horizon pour le marché de l’après-vente automobile en 2020 ? L’équilibre du modèle économique d’une concession automobile repose sur deux piliers fondamentaux : la vente de véhicules et l’après-vente.
Aujourd’hui, lors de Planète Auto au CNIT - Paris La Défense, les Concessionnaires du CNPA font face à l’avenir, en présentant l’étude commandée au cabinet TCG qui dresse le panorama du marché de l’Après-Vente en France en 2020. Baisse du kilométrage moyen parcouru, stabilité du parc, espacement de l’entretien préconisé et baisse continue de la sinistralité… une baisse globale du marché en nombre d’opérations est à attendre, de l’ordre de 16% à l’horizon 2020.
En valeur, cette baisse sera en partie freinée par : l’augmentation prévisible du taux de la main d’œuvre liée à la complexification des opérations à réaliser l’augmentation probable du prix des pièces de rechange, plus complexes et donc plus coûteuses. Prospective : Quelle après-vente en France en 2016 ? La branche des concessionnaires VP du CNPA en partenariat avec le Cabinet TCG Conseil publie sa seconde étude prospective du marché de l’après-vente pour les prochaines années l’horizon 2016. Rappelons que la précédente étude SAV avait justement prévu la forte baisse des entrées en atelier que nous connaissons aujourd’hui. Cette précédente étude imaginait simplement que la baisse en volume serait compensé par une hausse en valeur du ticket moyen de la réparation. Cette seconde prévision ne s’est pas réalisée en raison notamment de la baisse du prix des prestations et de la forte concurrence entre tous les réseaux dans l’Hexagone.
Au niveau des prévisions de cette étude très riche qui comprend plus d’une centaine de pages, le CNPA anticipe une baisse du parc circulant de -1,2% par rapport à 2013 à l’horizon 2017. Autre donnée intéressante, le kilométrage moyen du parc VP devrait connaître une baisse sans rupture de tendance jusqu’en 2016 soit une baisse de -1,10% du KMA moyen. Cap sur l’industriel pour Point S. Le marché du véhicule industriel ne sera pas le seul axe de développement de l’enseigne mais « c’est la première fois que le siège investit sur l’industriel », remarque Christophe Rollet, directeur général de Point S.
Autre première, le réseau s’est engagé sur des volumes de pneus industriels pour obtenir de meilleures conditions d’achats. Un responsable produits industriels vient également de rejoindre la direction afin de structurer cette activité. « L’objectif consiste à déployer un concept normé, à l’image de celui du centre-auto. Nous définissons un label qui figurera sur les façades. Actuellement, 200 centres travaillent sur ce secteur mais nous ne savons pas exactement qui fait quoi », constate le directeur général. "Tout pour mon entreprise" recherche vos fournisseurs. Après la création des sites d’intermédiation comme reparmax.com, ou encore equip-garage.fr, l’éditeur Infopro digital vient de lancer une nouvelle plate-forme de mise en relation entre les dirigeants de TPE & PME et leurs fournisseurs : toutpourmonentreprise.com Fort de ses 120 experts et de 400 000 leads* générés ces douze derniers mois, Infopro digital s’est appuyé sur son savoir-faire en matière de génération de contacts qualifiés pour développer une interface dédiée aux petites entreprises. www.toutpourmonentreprise.com est la plate-forme qui permet aux patrons d’entreprises d’identifier et de comparer les produits et services les plus structurants pour leur sociétés (services IT, fournitures de bureau, assurance, etc.).
Star’s Service s’attaque à la livraison de pièces. Le logisticien de proximité Star’s Service, spécialiste de la livraison du dernier kilomètre, vient de bâtir une offre « Automotive » centrée sur la livraison de pièces détachées dans les ateliers. Le groupe existe depuis 25 ans et ses activités historiques touchent l’alimentaire, le médical et l’électroménager pour des livraisons urbaines et périurbaine, essentiellement BtC. Parmi ses clients, les grandes marque comme Leclerc, Carrefour, Lenôtre, Fauchon, Castorama…Le groupe réalise un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros. Drivelog.fr, le portail service de Bosch. Lancé en Allemagne en fin d’année dernière, le site drivelog.de devrait prochainement faire son apparition en France. Un peu à l’image de ce qu’est déjà drivepad.fr, ce nouveau site Internet, proposé par la société Mobility Media – dont Bosch détient 80% des parts – permet à l’automobiliste d’accéder gratuitement en ligne à un carnet de bord virtuel concernant son véhicule et plus particulièrement la gestion de son entretien et des dépenses.
Il peut être ainsi informé des opérations de maintenance de son automobile et peut trouver un atelier à proximité – avec avis de consommateurs – ; il peut prendre rendez-vous en temps réel avec ce dernier et acheter des pneumatiques en ligne. Drivlelog se veut aussi être un forum d’échanges entre automobilistes. Le site s’adresse, bien sûr, aussi aux garagistes qui pourront s’y positionner et présenter leur société et leurs prestations. Amazon.fr se lance dans la pièce de rechange. Flottes auto : Speedy Fleet déploie sa solution de gardiennage. Masternaut libère les gestionnaires de flottes. Vulco fait feu de tout bois au 4ème trimestre. Malgré un recul, fin juillet, de 2,3% sur le marché des pneus neufs VL et de 7% sur celui des pneus neufs et rechapés industriels, Vulco se félicite de n’avoir vu son chiffre d’affaires global reculer «que» de 3%.
Son activité flottes et grands comptes, tant en VL qu’en PL, lui permet de progresser de 36% par rapport à fin juillet 2012. Et d’attaquer plus sereinement ce quatrième trimestre, qui verra notamment la présence du réseau au salon Solutrans, à Lyon, du 19 au 23 novembre. Groupauto lance une boutique de vente en ligne Drivista-shop.com. Innovation et nouveaux services chez Pneu WYZ. L’Autodistribution contre-attaque. Actia Muller mise sur le “ garage communicant ” Pneumaclic.com s’adresse aux pros. Un nouveau site de vente en ligne de pneumatiques, dédié aux professionnels, fait son apparition : pneumaclic.com.
Son objectif annoncé étant de pallier la faiblesse de la distribution classique, répondant seulement à 90 %, voire 80 % des besoins. Groupauto met l’outillage de garage en ligne avec Drivista-shop.com. L’heure est au e-commerce chez Groupauto. Le spécialiste de la distribution de pièces de rechange a mis en ligne le 10 juin le site drivista-shop.com, dédié à la vente d’outils de garage. Ce nouveau portail affiche plus de 200 produits réunis autour de cinq grands univers : équipement d’ateliers, outillage énergisé, outillage à main, levage hydraulique et nettoyage. Accessible aux particuliers et aux professionnels, drivista-shop.com propose uniquement un service « drive to shop », c’est-à-dire une livraison des achats chez l’un des 100 points de retrait du réseau G-Store.
ReviserSaVoiture.com s’associe à l’application Plyce. I’Car Mobility et les solutions de chiffrage d'ETAI s’interfacent. Simplauto.com compare les prix du contrôle technique. Depuis son lancement, en février 2013, simplauto.com permet aux automobilistes de trouver le centre de contrôle technique le moins cher autour de chez eux, et aux professionnels de ce secteur de lisser leur activité en proposant des prix cassés sur les créneaux horaires difficiles à remplir. En effet, le taux de remplissage est un problème majeur pour les ateliers automobiles, et tout autant dans le secteur du contrôle technique. Face à une concurrence de plus en plus forte, les centres doivent trouver des solutions pour acquérir de nouveaux clients.
Simplauto.com apporte aujourd’hui une solution à ce problème. Avec une prestation proposée – sur certains créneaux horaires – à seulement 49,90 euros, la formule fonctionne. iDGarages.com, l’apporteur d’affaires digital des MRA. Axial veut se doter d’une plate-forme de gestion de sinistres. Éric Girard, directeur général de Carglass. Hella à l’assaut du Web communautaire. Fidéliser avec l'entretien prédictif. Diag, de l’assistance au coaching. Renault : fidéliser en après-vente grâce à Internet. Les experts s’interrogent sur leur avenir. CNPA. CNPA. CNPA. CNPA. CNPA. Un site web pour Indra. Panorama des Réseaux de carrosserie : les enseignes de carrossiers sous observation.