La troisième révolution industrielle donnera du travail à tous ! À condition de ne pas manquer la troisième révolution industrielle, la question de l'emploi n'en est plus vraiment une aujourd'hui.
Transformer les bâtiments pour les mettre aux nouvelles normes énergétiques, constituer des réseaux électriques intelligents, revoir nos réseaux de transport... voilà qui va donner du travail, pour trente-cinq ans au moins, à de nombreux salariés. La relance de la construction, notamment, constitue la clé de l'emploi. Pour des travailleurs non qualifiés comme qualifiés : cela va des simples ouvriers aux architectes en passant par les techniciens... Chaque immeuble aux nouvelles normes devra être à « énergie positive », autrement dit, producteur d'électricité. La question du contrôle des flux d'énergie au niveau de chacun d'entre eux devient donc cruciale. Chokrane - La tentation du système D ! Le nombre de chômeurs atteint désormais les 5,7 millions, catégories A, B, C confondues.
Alors que le sous-emploi ne cesse de progresser, les débats sont focalisés sur des questions secondaires telles que le prélèvement à la source. Mais lorsque ce dispositif sera mis en place, restera-t-il encore des personnes imposables ? Une situation de sous-emploi qui dure depuis 40 ans. Pourquoi l'Insee a revu les chiffres de l'emploi à la hausse pour les six derniers mois.
SCAN ÉCO - Sur le dernier trimestre 2014 et le premier trimestre 2015, les destructions d'emploi dans le secteur marchand ont été nettement moins élevées qu'attendu.
Difficile de s'y retrouver dans les chiffres sur l'emploi en France! Il y a un mois, l'Insee annonçait dans sa première estimation de l'emploi salarié pour le premier trimestre, que 13.500 postes avaient été détruits, après 1300 au dernier trimestre 2014. Chômage : "Il faut compter 9 mois entre la reprise et le recul du chômage" Les statistiques peuvent parfois surprendre.
Durant le premier trimestre 2015, le Produit intérieur brut a augmenté de 0,6% en France, mais on a recensé 13.500 destructions d’emplois nettes. Au mois d'avril encore, le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A a augmenté de 0,7% (+26.000), portant leur nombre à 3.536.000. Surveillance renforcée des chômeurs : l'arbre qui cache la forêt. Un document présenté par l’AFP voila quelques jours indiquait que Pole Emploi allait affecter 200 agents pour vérifier que les chômeurs inscrits auprès de cette agence font bien le maximum d’efforts pour retrouver un emploi.
Le ministre du Travail, François Rebsamen, déclarait ce mercredi 20 mai 2015 que l'objectif de ce nouveau dispositif de contrôle des chômeurs était de mieux accompagner les chômeurs de longue durée. Certes louable, cette volonté n’est elle pas décalée par rapport à d’autres priorités, et l’agence - comme le gouvernement - ne se tromperaient-ils pas de cible ?
Eric Woerth : ses critiques du bilan de François Hollande passées au crible. Eric Woerth était invité mercredi soir sur i-Télé.
Il a critiqué avec véhémence l’état économique de la France à deux ans de la fin du mandat présidentiel de François Hollande. Prenant pour exemple des indicateurs tels que le chômage, le déficit et la croissance, c’est pour lui « 3 ans d’échec absolu ». Le journaliste interroge le député UMP de l’Oise, ancien ministre du Travail et ancien ministre du Budget, sur le bilan des 3 ans de présidence de François Hollande. Au Bélarus, être chômeur est désormais puni. Le président autoritaire du Bélarus, Alexandre Loukachenko, a fait voter au début du mois d’avril une loi controversée sur le "parasitisme social", rapporte "The Guardian", jeudi 16 avril.
Conséquence, après 183 jours sans activité, les chômeurs devront désormais payer une taxe. Pour les autorités, "toute personne en bonne santé a le devoir de travailler et de remplir son obligation constitutionnelle d’aider l’économie nationale". Problème, le Bélarus est l’un des pays les plus pauvres d’Europe. Alors, pour lutter contre cette loi, un ancien vendeur de chaussures Vital Yurchanka a lancé une pétition, qui a déjà recueilli 25.000 signatures.
Il y a 1,7 million de postes à pourvoir en France. INFOGRAPHIES - Les entreprises françaises assurent qu'elles ont l'intention d'embaucher plus en 2015.
Qui recrute ? Quels métiers sont les plus recherchés? Pourquoi la plupart des offres ne trouvent pas preneur ? Réponses. Le taux de chômage de la zone euro à son plus bas depuis janvier 2012. Le chômage a continué à reculer en janvier dans la zone euro pour le deuxième mois d'affilée, atteignant son plus bas niveau depuis avril 2012, selon les chiffres publiés lundi 2 mars par l'office européen de statistiques Eurostat.
Le taux de chômage s'est établi à 11,2 % après 11,3 % en décembre 2014. Sur un mois, il a baissé ou est resté stable dans l'ensemble des pays de la zone euro. Au total, environ 18,06 millions de personnes étaient sans emploi en janvier dans la zone euro, soit 140 000 de moins qu'un mois plus tôt et 896 000 de moins qu'en janvier 2014. L'Allemagne reste le pays où le taux de chômage est le plus faible à 4,7 %, suivie par l'Autriche (4,8 %), le Luxembourg (5,9 %) et Malte (6 %). A l'autre extrémité du spectre, c'est la Grèce qui enregistre le taux le plus élevé, à 25,8 %, selon les dernières statistiques disponibles, qui datent de novembre 2014. Chômage : mais où sont passées les 4.300 personnes qui ont disparu des statistiques ? Tous les mois, "l'Obs" actualise pour vous la courbe des chiffres du chômage.
Généralement, l'exercice se déroule plutôt bien. Et puis, patatras, avec les chiffres de janvier, nous tombons sur un os. En janvier, le chômage a (enfin) baissé ! "Il n'y a pas de montée inexorable du chômage", lançait le président François Hollande lors de sa conférence de presse le 5 février dernier. Et les chiffres de janvier lui donnent (enfin) raison : pour ce premier mois de l'année, le nombre de demandeurs d'emploi recule de 0,5 % (soit 19 100 chômeurs de moins) pour s'établir à 3 481 600. Sur un an, le chômage croît de 4,8 %. C'est la première fois depuis 5 mois qu'il y a moins de demandeurs d'emploi.
La baisse du nombre d'inscrits à Pôle emploi en catégorie A concerne plus particulièrement les jeunes (- 7 600, soit - 1,4 %), qui n'avaient pas connu une telle diminution depuis plus d'un an. En revanche, le chômage poursuit sa hausse si l'on intègre les chômeurs ayant exercé une petite activité (+ 0,3 %). Pour un élu UMP, les chômeurs "peuvent marcher, ils n'ont que ça à faire"