Marchons le 22 avril « pour signifier l’immense danger que représente la mise au pas des sciences » Aux Etats-Unis comme en Europe, à l’occasion de la Journée de la Terre, et à la veille du premier tour de la présidentielle en France, descendons dans les rues pour soutenir les sciences contre les obscurantismes, demande ce collectif.
Par un collectif de chercheurs Depuis le 20 janvier et l’investiture de Donald Trump, chaque jour apporte son lot d’annonces fracassantes et de décrets liberticides. Les sciences, et plus généralement le monde académique, font partie des premières cibles de la nouvelle administration. Une hostilité idéologique à l’égard des sciences s’exprime désormais dans la doctrine officielle de la Maison Blanche. Pourquoi Trump cible-t-il ainsi le monde universitaire et la recherche ? L'esprit critique (radio campus lorraine) Pourquoi certains nient les résultats de la science. DANS sa dernière chronique (payante) publiée dans Le Monde et consacrée au concept de post-vérité dans les sciences de l'environnement, mon confrère Stéphane Foucart rappelle notamment qu'on trouve, parmi les grandes figures du climatoscepticisme, de véritables scientifiques – en général non issus des sciences du climat.
La question souvent posée à leur sujet est la suivante : comment se fait-il que des chercheurs rompus à la méthodologie scientifique et capables de lire les publications dans les revues spécialisées refusent d'accepter les résultats et éléments de preuve écrasants rassemblés par leurs collègues climatologues ? La question ne se cantonne pas à ces quelques réfractaires – dont certains aiment aussi à se mettre dans la posture d'un Galilée seul contre tous – mais s'étend à tous ceux que la science ne parvient pas à convaincre. Pour chacun des deux graphiques, plus on va vers la droite, plus la culture scientifique des participants au sondage est élevée. Lire aussi : Irak : dans Nimroud libérée, un patrimoine en ruine. L’armée irakienne a repris l’ancienne capitale assyrienne, dont les trésors ont été saccagés par l’organisation Etat islamique.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Louis Imbert (Nimroud (Irak), envoyé spécial) et Florence Evin La route de Nimroud, qui longe le Tigre par sa rive orientale, a ces jours-ci un air de Far West. La 9e division blindée de l’armée irakienne l’a ouverte au fil du mois de novembre. Les tankistes et les miliciens chiites qui les accompagnent sont partis depuis vers le nord. Ils piétinent dans la lointaine périphérie de Mossoul face aux forces de l’organisation Etat islamique (EI). L’Etat islamique, fruit des contradictions de l’Orient et de l’Occident. Un an après les attentats qui ont endeuillé la France, il convient de revenir sur ce qui, historiquement, a permis l’émergence du groupe terroriste.
Par Matthieu Rey, historien, maître de conférences au Collège de France (chaire d’histoire contemporaine du monde arabe) De quoi résulte le 13-Novembre ? De manière aisée, nous pourrions répondre par l’évidence : de l’existence du groupe Etat islamique (EI), commanditaire et ordonnanceur des attaques semble-t-il, qui, armant le bras de jeunes Européens majoritairement (Belges ou Français), a frappé la capitale française. Ce récit qui n’épuise en rien la douleur de tels événements, amène à réfléchir sur ce phénomène qui capte tous les fantasmes actuellement, appelant nos hommes politiques à parler de « guerre ». Mort de l’anthropologue Malek Chebel, défenseur d’un « islam des Lumières » Hommage aux victimes de Nice : « En ce 14-Juillet, vous vouliez admirer le ciel et non pas le rejoindre »
Trois mois après l’attentat qui a fait 86 morts sur la promenade des Anglais, 2 000 personnes, des proches et des hommes politiques, ont participé à une cérémonie émouvante et éprouvante.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Cécile Bouanchaud C’est à 11 heures, sur la colline du Château qui surplombe Nice et son interminable promenade des Anglais, qu’a été rendu, samedi 15 octobre, l’hommage national aux 86 personnes tuées lors de l’attentat du 14-Juillet. Les jours précédant la cérémonie, des pluies diluviennes s’étaient abattues sur la ville, provoquant son report, notamment pour des raisons de sécurité, liées aux orages. A l’ombre des pins parasols plantés sur cette fortification, l’une des plus puissantes de l’arc méditerranéen, plus de 2 000 personnes sont venues dans le parc, non loin du monument aux morts de la ville. Lire aussi : Le mémorial du « Monde » aux victimes des attentats de Nice « Notre tristesse est indéfinissable » Shimon Pérès, l’ancien président et premier ministre israélien, est mort.
L’état du Prix Nobel de la paix s’était aggravé mardi, deux semaines après un accident vasculaire cérébral.
Il avait 93 ans. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gilles Paris (.) De tous les responsables de son pays, il était à la fois le plus ancien et le moins israélien. Longtemps mal-aimé parmi les siens, toujours prêts à moquer son inaptitude persistante au suffrage universel, et pourtant sans conteste meilleur commis voyageur d’Israël. Les tisserands - Kindle.