France insoumise: des perquisitions exceptionnelles ? Conférence de presse des avocats de la France insoumise. Interview de Sophia Chikirou: perquisitions chez Mélenchon et à la FI, facturation de Mediascop. Mélenchon est-il allé trop loin ? - C l’hebdo - 20/10/2018. Mélenchon gardé à vue par Médiapart. Il y a des lunes que, portant le projet sur les fonts baptismaux de Yann Barthès, Edwy Plenel a déclaré : « Avec Tariq nous allons construire une maison commune ».
Ce petit nom, « Tariq », recouvre l’immensité de Ramadan, savant islamique vénéré aimant Dieu et tous les seins. "Oppositions persécutées ?" Débat avec la journaliste Aude Lancelin. Une persécution médiatico-politique d’État. Désolé, c’est long.
Nous ne demandons pas à être traité différemment des autres justiciables, nous demandons nos droits et la justice, sans mesure d’exception. Nous ne voulons rien cacher : la preuve, nous proposons de débattre publiquement et contradictoirement avec nos accusateurs. D’abord merci à toutes les personnes qui nous ont soutenu le moral, relayé nos arguments et surtout pris des initiatives pour rendre les coups médiatiques. BitTube. Campagne de Mélenchon : «Il faut relativiser quand on parle de "grosse affaire"» Ancien militant socialiste, politologue et essayiste, Gaël Brustier a brièvement collaboré, au printemps, à la webtélé le Média fondée par Sophia Chikirou.
Il est spécialiste de la gauche radicale. Jean-Luc Mélenchon compare les perquisitions de mardi avec celle que le PS avait subie en 1979 pour empêcher la diffusion d’une radio libre. Qui a peur du Grand Mélenchon. Qui a peur du Grand Mélenchon?
Eddie Legus Vendredi 19 octobre 2018 Je devrais plutôt écrire « Qui fait tout pour qu'on ait peur du grand Mélenchon ? » Avant d'entrer dans le vif du sujet faisons ensemble un petit tour d'horizon très exhaustif des infos bien pourries qui passent largement sous silence en ce moment. Une persécution médiatico-politique d’État. Glottophobie ou racisme anti-accent - Le Moment Meurice. "Travail de sagouin", "gros connard"... Quatre fois où Emmanuel Macron et son équipe s'en sont pris aux journalistes.
L'émission "Quotidien", le magazine "Les Inrocks" ou encore France 2...
Ces dernières semaines, de nombreuses rédactions ont subi le courroux de l'équipe du président. Rien ne va plus entre Emmanuel Macron et les médias. Pas moins de 25 sociétés de journalistes – dont celle de franceinfo –, des directeurs de rédaction et l'organisation Reporters sans frontières ont écrit jeudi 18 mai au président de la République pour protester contre l'organisation de sa communication. L'Elysée est notamment accusé de vouloir choisir les journalistes couvrant les déplacements du président de la République.
Face à l'émotion suscitée par cette décision, la présidence a assuré vendredi ne pas vouloir "imposer un journaliste plutôt qu'un autre", mais "ouvrir l'Elysée aux journalistes sectoriels" – comprendre spécialisés dans une thématique – plutôt que de les réserver aux journalistes politiques. Les images de la Rotonde : "Vous voulez faire passer le FN, c’est ça ? " Perquisition chez Mélenchon : "Pas de justice politique, mais une justice déséquilibrée" La justice est-elle indépendante ?
Les policiers étaient-ils dans leur droit en allant perquisitionner le domicile de Jean-Luc Mélenchon ? Médiapart et « l'affaire Mélenchon » : le piège de la neutralité. Image : capture d’écran "Médiapart 2012 : le grand entretien avec Jean-Luc Mélenchon" Le droit à l’enquête et la « neutralité » Après la mort d’Adama Traoré, le 19 juillet 2016, Médiapart n’avait pas hésité, à juste titre, à qualifier les faits pour ce qu’ils étaient : mise en lumière du « scandale judiciaire », du retour de bâton contre les frères Traoré « condamnés pour ‘’rétablir l’autorité des forces de l’ordre’’ ».
A contre-courant de l’offensive médiatique à charge, le journal de Plenel s’était illustré par ses qualités d’analyse, assumant, sans doute, un parti pris journalistique, qui a contribué à faire de « l’affaire Adama Traoré » une « affaire d’Etat ». Bravo M. Mélenchon. Un nouvel arrêt (à la suite de nombreux autres) de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) du 27 juin 2013, Vassis et autres contre France, n’a pas fait sortir les parlementaires et le gouvernement de leur amnésie … La Cour y rappelle en effet de nouveau que le parquet français ne peut être considéré comme une autorité judiciaire au sens de l’article 5 § 3 de la Convention, justement en raison de ce lien hiérarchique tenant notamment à ses conditions de nomination, et qu’il ne peut dès lors être chargé de contrôler et prolonger une mesure privative de liberté.
Le Melenchon Bashing sur le terrain politico-judiciaire. « Mélenchongate » : demandez le programme ! J’avais conclu mon précédent article relatif à ce que l’on va désormais appeler le « Mélenchongate » en prévenant le patron de la France Insoumise qu’il allait vivre des moments assez difficiles et qu’il devait s’y préparer.
A-t-il compris ce qui l’attendait ? L’utilisation cynique de la violence d’État On passera rapidement sur l’outrance maladroite de ses réactions, où il n’a pas compris que l’imprécation furieuse, registre où il excelle, n’était vraiment pas adaptée. Pas plus que ses attitudes précédentes face aux opérations judiciaires contre ses adversaires politiques.
Le carnaval de l'investigation, par Razmig Keucheyan & Pierre Rimbert (Le Monde diplomatique, mai 2013) En avouant le 2 avril dernier détenir un compte occulte en Suisse, conformément aux conclusions d’une enquête publiée par Mediapart, l’ex-ministre français du budget Jérôme Cahuzac a élevé le site d’information au rang de justicier public.
Hier sceptiques ou attentistes, ses confrères célèbrent ses vertus. Débordées ou confortées, des personnalités politiques lui rendent hommage. Perquisition au siège de la France Insoumise : des méthodes dignes de la nuit des longs couteaux - News/Actualités-Vigi Ministère de l'Intérieur. Aujourd’hui, 16 octobre 2018, le siège de la France Insoumise a subi le même sort que le siège du Front National le 20 février 2017 : être perquisitionné par la Police Nationale. Les Renseignements Généraux ne s’occupent plus des partis politiques depuis 1995, car leurs notes de renseignement avantageaient le parti au pouvoir et pouvaient fausser la sincérité des élections.
Depuis 2017, on voit que le pouvoir a su contourner le problème. Pour que le gouvernement « siphonne » des renseignements sur ses opposants politiques, il suffit qu’il y ait une enquête, même sous un prétexte fallacieux, pour lancer une perquisition et qu’il puisse se servir selon ses besoins. D’ailleurs, on note que le parti La République En Marche n’a pas eu à subir les mêmes méthodes d’investigation, alors que ce parti est également poursuivi pour ses comptes de campagne litigieux.
Quelle Police Nationale veulent nos parlementaires et nos ministres ? Benedetti : «La colère de Mélenchon va bien au-delà d'un coup de sang ou d'un coup de com'»