Émotions : 3 livres indispensables pour aider les tout-petits à les gérer. Il n’est jamais trop tôt pour commencer à parler des émotions aux enfants qui ne possèdent pas un cerveau suffisamment mature pour les gérer.
C’est d’ailleurs un des effets d’une approche empathique de l’éducation : faciliter le développement du cerveau émotionnel. Les livres que je vous invite à découvrir aujourd’hui sont parfaits pour débuter cet apprentissage avec les tout-petits. « Content, fâché ! Un livre pour aider les enfants à apprivoiser les émotions. Parfois je me sens de Anthony Browne est un livre pour enfants qui propose d’aider les enfants à apprivoiser leurs émotions, leurs sentiments et leurs sensations.
Dès 3 ans. Ce livre pose la question : « et toi, comment te sens-tu ? » et propose des pistes pour y répondre : je me sens seul/ très heureux/ triste/ colère/ coupable/ curieux/ surpris/ sûr de moi/ timide/ inquiet/ foufou/ affamé/ rassasié/ fatigué. Chaque double page propose deux adjectifs opposés et illustrés avec un visage de petit singe mis en situation. L’enfant pourra se retrouver dans ces illustrations et même comprendre le sens de certains mots qu’il ne comprend pas.
Activités pour développer l'estime de soi des enfants. L’estime de soi, par définition, est un respect réaliste ou une impression favorable de soi-même.
Il est très important pour un enfant de se sentir bien dans sa peau. Les statistiques montrent que les enfants ayant une faible estime de soi ont tendance à avoir des résultats en-dessous de leur potentiel à l’école et de prendre des mauvaises décisions dans des situations sociales. Vous trouverez ci-dessous des idées d’activités pour développer l’estime de soi (et par la même occasion la confiance) chez les enfants.
Faites une différence avec des choses qui peuvent aider à améliorer l’estime de soi des enfants : Soyez attentif quand votre enfant vous parle en le regardant et en l’écoutant afin de lui faire sentir que ce qu’il dit est important pour vous.Faites-lui des éloges quand il fait un bon travail et aussi quand il se donne du mal. Mon Scrapbook à “moi” : l’idée est de commencer et de continuer un album personnel.Pas forcément tous les jours, mais au moins une fois par semaine.
L'#empathie de l'enseignant, source de réussite #scolaire (accès libre) #éducation. 41472.pdf. La pyramide des besoins de Maslow d’un po... 30 propositions pour encourager les enfants efficacement. Complimenter consiste à dire une formule d’appréciation positive sur un fait, une action accomplie, passée ou sur un état, sur la personne.
Par exemple, affirmer qu’un dessin est joli,qu’un enfant est un bon garçon/ une bonne fille car il/ elle a fini son assiette,qu’un enfant est beau. On peut féliciter gratuitement, énoncer un compliment à la va-vite, à l’envolée, en jetant un coup d’œil rapide au dessin que l’enfant nous tend fièrement, parfois même sans le penser. Le compliment n’engage pas la discussion, peut avoir un côté enfermant, l’enfant se voit coller une étiquette.
Certains psychologues mettent même en garde contre les compliments contre-productifs. Les enfants peuvent même devenir dépendants des compliments, ne plus être capables d’agir sans compliment de la part d’un tiers, ils en oublient leur motivation intrinsèque (voir cet article à propos de la motivation intrinsèque). Les enfants attendent des félicitations mais pas seulement. À l'école de l'estime de soi. La confiance en soi et celle que les enseignants accordent à leurs élèves jouent un rôle notable dans la réussite.
D’où l’importance d’ajuster une pédagogie qui valorise les succès plutôt qu’elle sanctionne les échecs. Depuis plusieurs décennies, des recherches en éducation soulignent l’importance de la confiance en ses capacités à apprendre. La confiance permet de faire face à l’anxiété, améliore l’engagement, favorise un usage judicieux des bonnes stratégies d’apprentissage et l’acquisition de connaissance (1). Aidez vos étudiants à reprendre c... La Belgique s'attaque au harcèlement scolaire.
"Non au harcèlement à l'école" En France, une première journée nationale de sensibilisation a eu lieu le 5 novembre, soutenue par la ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem, soucieuse d'"interpeller l'ensemble de la société" sur un phénomène "qui touche 700 000 de nos élèves".
C'est l'une des mesures phares d'une stratégie destinée à faire connaître les solutions qui existent face à ce phénomène largement sous-estimé. A l'école, le harcèlement et le cyber-harcèlement sont devenus monnaie courante. Avec des conséquences dramatiques qui mènent parfois les enfants au suicide. Comme en février dernier à Ypres, dans le nord de la France, où un adolescent de 13 ans, Lars, a mis fin à ses jours.
Selon une enquête récente mandatée par le ministère belge de l'Education nationale, un jeune sur trois avoue avoir déjà été victime de harcèlement tandis qu'un élève sur cinq en est l'auteur.