Pollution - Les différents polluants et leur évolution. Composé principalement : De diazote N2 (78 % en volume).De dioxygène O2 (21 % en volume).
D'argon (0,95 % en volume). L'air est plus ou moins contaminé par des polluants gazeux, liquides ou solides d'origine naturelle (émissions par la végétation, les océans, les volcans...) ou produits par les activités humaines (cheminées d'usines, pots d'échappements...). Finalement, la qualité de l'air résulte d'un équilibre complexe entre les apports de polluants et les phénomènes de dispersion et de transformation dans l'environnement. Les espèces polluantes émises ou transformées dans l'atmosphère sont très nombreuses. Les principaux polluants atmosphériques se classent dans deux grandes familles bien distinctes : les polluants primaires et les polluants secondaires. Les polluants primaires sont directement issus des sources de pollution (trafic routier, industries, chauffage, agriculture...).
Il s'agit par exemple : Des particules secondaires. En termes de mesure, Airparif utilise soit : Tout savoir sur l'état de la qualité de l'air à Paris - Ville de Paris. Depuis les années 1990, la qualité de l’air à Paris s’améliore, mais la mobilisation doit continuer.
Des actions concrètes peuvent contribuer à réduire la pollution dans l'une des villes les plus denses au monde. Pour mieux cibler ces actions, plusieurs expérimentations visent à mesurer la qualité de l'air et son évolution. La carte des concentrations est mise à jour toutes les deux heures à partir des données Airparif. Sont couplées des données sur les émissions des différents secteurs (trafic, résidentiel, industrie, chantiers, ferroviaire…), la météo, et les résultats des stations de mesures. Ces informations sont intégrées dans des outils numériques qui reproduisent la dispersion des polluants sur toute l’Île-de-France.
L'ozone, polluant secondaire se caractérise par des niveaux de fond plus importants en zones périurbaine et rurale. La Chine exporte aussi sa pollution vers les USA. Pourcentage moyen de noir de carbone dans l'air dû aux exportations chinoises.
La très forte production industrielle à l'origine de la fulgurante croissance chinoise durant la dernière décennie génère une pollution atmosphérique si importante qu'elle se retrouve aux États-Unis. C'est la conclusion assez ironique menée d’une étude pendant deux ans par neuf scientifiques américains, chinois et britanniques et parue hier dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des Sciences (PNAS). La plupart des biens manufacturés ont vu leur production déportées des pays riches, comme les USA vers des pays émergents, au premier rang desquels la Chine. La pollution a été elle aussi délocalisée : la fabrication en Chine de biens destinés à l’exportation aux USA ou en Europe compte pour environ 20 % de la pollution totale du pays. Plume Labs, la start-up française qui embauche... des pigeons. VIDÉO - A Londres, depuis mercredi, les «Pigeons air Patrol» permettent de calculer le taux de pollution des différents quartiers de la capitale grâce à des GPS et des capteurs accrochés aux dos de pigeons.
«Une technologie qui permet de savoir exactement ce que l'on respire», voilà comment Romain Lacombe, l'ingénieur français fondateur de Plume Labs, décrit l'innovation proposée par sa start-up. Avec Pierre Duquesnoy, directeur créatif de l'agence DigitasLBi spécialisée dans le domaine du digital, ils sont à l'origine des «Pigeons air Patrol», des équipes d'oiseaux lâchées en pleine ville et équipés de GPS et de capteurs miniatures qui mesureront les niveaux d'ozone, de dioxyde d'azote et de composés organiques volatils (COV) de Londres au cours des prochains mois. LA VIE DANGEREUSE 2 – Un nouveau gaz tueur menace-t-il les automobilistes ? Le gaz réfrigérant HFO-1234yf doit devenir la nouvelle norme pour les climatiseurs automobiles, en remplacement d'un produit hautement polluant.
Il pourrait être mortel, selon la député EELV Michèle Rivasi. (photo : tournage du film d'horreur "Juan de los muertos" à Cuba, en 2010. AP Photo/Javier Galeano) Un gaz tueur s'introduira-t-il dans la climatisation de nos voitures à partir de cette année ? C'est la question soulevée vivement, mardi matin, par la député EELV Michèle Rivasi, sur France Info. "On va remplacer un gaz toxique pour la planète parce qu’il émet beaucoup de CO2 par un autre produit qui est inflammable et très toxique en cas d’incendie au contact de l’eau. Selon France info, ce gaz réfrigérant s'enflamme à partir de 405 degrés. Le HFO-1234yf, développé par les firmes américaines Honeywell et Dupont, a été homologué en février dernier par l'Agence de protection de l'environnement américaine (EPA). Signaler ce contenu comme inapproprié.
Emission de CO2.