Khutulun. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Khutulun (1260 – 1306), aussi connue sous le nom de Aigiarne[1], Aiyurug, Khotol Tsagaan ou Ay Yaruq[2] (littéralement Clair de lune)[1] est la fille la plus célèbre de Qaïdu et la nièce de Kubilai Khan. Son père apprécie ses aptitudes et elle l'accompagne durant ses campagnes militaires. Marco Polo[1] et Rashid al-Din ont tous les deux écrit à propos d'elle. Biographie[modifier | modifier le code] Khutulun est née en 1260 environ[3]. Marco Polo décrit Khutulun comme une guerrière extraordinaire, qui peut fondre dans les rangs ennemis et saisir un captif aussi facilement qu'un faucon saisit une poule.
Yaa Asantewaa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Yaa Asantewaa en batakarikese (habits de guerre de cérémonie), photographie non datée. Tomoe Gozen. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Tomoe Gozen sur son destrier, tenant sa naginata (arme d'hast féminine par tradition). Tomoe Gozen (巴 御前? , littéralement Dame Tomoe, 1157-1247) est l'une des rares[réf. nécessaire] femmes samouraï de toute l'histoire du Japon. Jeanne d'Arc. Béatifiée en 1909 puis canonisée en 1920, Jeanne d'Arc devient une des deux saintes patronnes secondaires de la France en 1922 par la lettre apostolique Beata Maria Virgo in cælum Assumpta in gallicæ. Sa fête nationale est instituée par la loi en 1920 et fixée au 2e dimanche de mai[10]. Elle est dans de nombreux pays une personnalité mythique qui a inspiré une multitude d’œuvres littéraires, historiques, musicales, dramatiques et cinématographiques. Contexte politique du royaume de France (1407–1429) L'intervention de Jeanne d'Arc s'inscrit durant la seconde phase de la guerre de Cent Ans, qui voit le conflit séculaire entre les royaumes anglais et français s'enchevêtrer avec une guerre civile résultant de l'antagonisme fratricide des princes du sang de la dynastie royale des Valois[11].
Depuis une crise initiale en 1392, le roi de France Charles VI, dit « le Fol », est sujet à des troubles psychiques intermittents suivis de phases de rémission. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. Nzinga du Ndongo et du Matamba. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Wu Zetian. Wu Zetian (chinois simplifié : 武则天 ; chinois traditionnel : 武則天 ; pinyin : Wǔ Zétiān ; Wade : Wu³ Tse²-t'ien¹), née le 17 février 624 à Lizhou et morte le 16 décembre 705, fut la seule impératrice régnante de toute l'histoire de Chine[1].
Le titre et la fonction d'empereur de Chine étaient exclusivement réservés, dans le système impérial, aux hommes, les femmes ne pouvant exercer le pouvoir que provisoirement, dans le cadre d'une régence ou d'un inter-règne, sans avoir le titre d'empereur et assistées le plus souvent d'un conseil de régence. Seule, Wu Zetian fonda sa propre dynastie, la dynastie Zhou (周) deuxième du nom, dont elle fut, sous le nom d'« empereur saint et suprême » (聖神皇帝, Shèngshén huángdì) de 690 à 705, la seule monarque.
Son ascension et son règne sont fortement critiqués par les historiens confucianistes. Les annales des Tang hésitent entre le silence sur son long règne et l’entretien à son sujet d’une légende noire. Artémise Ire. Biographie[modifier | modifier le code] La bataille de Salamine[modifier | modifier le code] Avant la bataille de Salamine, elle préconisa au Grand Roi d'éviter le combat (« ménage tes vaisseaux, ne livre pas de combat naval ; car ces hommes sont sur mer autant supérieurs aux tiens que les hommes le sont aux femmes »[4], « Si, au contraire, tu te presses de livrer combat sur le champ, je crains qu’une défaite de l’armée navale n’ait pour l’armée de terre de fâcheuses conséquences. »[4]) puis, ses conseils ayant été écartés, elle participa à la bataille et se démarqua par sa bravoure et sa pugnacité.
Les Grecs auraient d'ailleurs pensé de cette reine qu'elle « était une sorte d’Amazone de la mer »[5]. C'est un événement en particulier, relaté seulement par Hérodote, qui a construit l'image d'Artémise en tant que stratège et guerrière accomplie. L’absence de survivant joua un rôle important dans cette histoire, puisque personne ne put demander des comptes à Artémise sur ses actions. . ↑ V. Onna-bugeisha. Dans le Japon médiéval, une onna-bugeisha (女武芸者?)
Est une femme combattante issue de la haute société. De nombreuses épouses, veuves, filles et rebelles répondaient à l'appel du devoir en s'engageant dans la bataille, généralement aux côtés de samouraïs. Elles étaient membres de la classe bushi et étaient formées aux armes dans le but de protéger leur maison, leur famille et leur honneur en temps de guerre. Elles contrastaient avec le rôle traditionnel d'« épouses au foyer » des femmes japonaises. Elles sont parfois considérées comme des samouraïs-femmes bien que ce terme ne soit en fait pas exact.