2013 Géographie humanimale. Bases de données citoyennes en matière de biodiversité - MSH Lyon St-Etienne. Notice bibliographique Design, de la nature à l'environnement, nouvelles définitions [Texte imprimé] / [sous la direction de Catherine Geel] Type(s) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté : sans médiation Titre(s) : Design, de la nature à l'environnement, nouvelles définitions [Texte imprimé] / [sous la direction de Catherine Geel] Publication : Paris : T&P work unit, DL 2019 Impression : 18-Saint-Amand-Montrond : Impr.
CPI Bussière Description matérielle : 1 vol. (300 p.) : ill. en coul. ; 20 cm Note(s) : Textes issus des travaux présentés par la Section française à l'occasion de l'exposition de la XXIIe Exposition internationale-Triennale di Milano, 1er mars-1er septembre 2019, intitulée "De la pensée au visible : design as a large ring", organisée par l'Institut français. - Notes bibliogr.. - T&P work unit = Texts & projects work unit. Ressources de la prospective territoriale et économique du Grand Lyon. Ces infographies sont réalisées par l'agence Skoli et complètent l'étude d'Aurélien Boutaud et Natacha Gondran. Elles résument l’état des lieux dressé par les scientifiques et présentent quelques pistes pour limiter les processus les plus préoccupants, aussi bien à l’échelle globale qu’à celle de la Métropole de Lyon. 0.
L'humanité face aux limites de la planète terre Réchauffement climatiqueAppauvrissement de la couche d'ozoneÉrosion de la biodiversitéAcidification des océansPerturbation du cycle de l'eau doucePollution atmosphérique en aérosolsChangement d'affectation des solsPerturbation du cycle de l'azotePerturbation du cycle du phosphoreNouvelles pollutions chimiques. A18LabMca SynanthropicSuburbia. Accueillir les Non-Humains dans les Communs (Introduction) Ce billet est le premier d’une série de cinq ou six que je publierai au rythme d’un par semaine au cours de ce mois de janvier.
Le texte complet formera un essai à propos des relations entre les Communs et les Non-Humains, un sujet à mon sens absolument essentiel à prendre en compte pour la théorie des Communs. Que serait un homme sans éléphant, sans plante, sans lion, sans céréale, sans océan, sans ozone et sans plancton, un homme seul, beaucoup plus seul encore que Robinson sur son île ? Moins qu’un homme. Certainement pas un homme.Bruno Latour Les Communs questionnés par l’émergence des « droits de la nature » Faut-il reconnaître la Seine comme une « entité vivante[1] » ? La sphère militante n’est pas en reste et de nombreuses revendications, notamment en matière d’écologie, se font sous la bannière des Communs. La théorie des Communs traversée par une « rupture ontique » entre Humains et Non-Humains Reformuler la théorie des Communs à partir d’une ontologie relationnelle ? Plan général. Comment composer avec le monde « non-humain » ? Le « monde non-humain » est constitué de tout ce avec quoi les humains sont en interaction constante, c’est à-dire les plantes, les animaux, les virus, le CO2 de l‘atmosphère, l’air que nous respirons, le gibier que nous chassons, les glaciers s’il y en a dans notre environnement, et beaucoup d’autres choses encore.
Les ethnologues ont montré une chose importante, décisive, l’équivalent pour eux sans doute de ce qu’a représenté la découverte de l’atome pour les physiciens. Cette découverte, c’est que mise à part la société occidentale, aucune autre société humaine ne cohabite avec le monde non-humain sur le mode de la séparation : il n’y a pas la nature d’un côté, une nature qui serait close sur elle-même, et de l’autre côté l’humanité qui serait une entité à part, installée avec sa culture à l’intérieur de la nature, le plus souvent dans une position de surplomb. YouTube. Design pour un monde réel - Essais - MERCURE DE FRANCE. ECOLE URBAINE DE LYON - De nouvelles vidéos pour "Penser l'Anthropocène" (62) La part sauvage du monde : penser la nature dans l’Anthropocène. Gilles Clément jardinier, le jardin en mouvement, je jardin planétaire et le tiers paysage.
La Part sauvage du monde, Virginie Maris, Sciences humaines. En déclarant la mort de la nature, nombreux sont ceux qui voient dans l’Anthropocène l’opportunité de prendre enfin les commandes d’un système-terre entièrement modelé par les humains.
À rebours de cet appel au pilotage global, Virginie Maris réhabilite l’idée de nature et défend la préservation du monde sauvage. Elle revisite pour cela les attributs de la nature que les fantasmes prométhéens du contrôle total s’appliquent à nier : son extériorité, en repensant la frontière entre nature et culture ; son altérité, en reconnaissant la façon dont les non-humains constituent leurs mondes tout comme nous constituons le nôtre ; et enfin son autonomie, en se donnant les moyens de respecter et de valoriser ces mondes multiples. Virginie Maris est philosophe de l’environnement au CNRS. Elle travaille au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE) à Montpellier.