Observations. Logo White House. Maison-Blanche. L'expression « Maison-Blanche » est souvent employée pour désigner, par métonymie, l'administration du président.
Elle est le symbole du pouvoir exécutif et de la puissance politique américaine. Son actuel résident est Donald Trump, 45e président des États-Unis. De son inauguration en 1800 à l'année 1942, la demeure subit de nombreuses modifications : des reconstructions à la suite d'incendies (1814 et 1929[2]), de réaménagements fonctionnels par les présidents successifs ou d'extensions avec notamment la construction de l'aile ouest en 1901 et de l'aile est en 1942. À partir de cette date, si l'on excepte la modernisation des installations et de la construction de quelques aménagements de sécurité ou de loisir (piscine, terrain de golf et jardins notamment), l'aspect de la Maison-Blanche n'évolue pratiquement plus. Son emprise au sol s'agrandit avec le temps avec l'adjonction, au sud, de jardins situés dans un espace autrefois public.
Histoire[modifier | modifier le code] (en) James A. The White House, Washington D.C., United States. Les sièges de l’autorité militaire aux États-Unis. 1Les États-Unis donnent aujourd’hui l’image d’une nation dont le patriotisme exacerbé s’exprime par un soutien sans faille à ses forces armées, au point que l’apparente militarisation du pays est dénoncée par ses détracteurs.
Pourtant, très tôt la jeune nation américaine a eu un rapport souvent conflictuel avec la chose militaire. L’histoire des sièges de l’autorité militaire aux États-Unis en est une parfaire illustration. 1 Les Trained Bands ou Trainbands, milices locales de défense placées à l’origine sous l’autorité du (...) 2Les premiers colons anglais qui fondent Jamestown en 1607 s’implantent sur une terre hostile sans bénéficier toutefois du concours militaire de la Couronne d’Angleterre pour assurer leur protection. 2 Cité par Dupuy (R. 3De facto, l’autorité militaire se confond avec l’autorité civile et il n’y a pas plus de casernes que d’états-majors dans l’Amérique des premières années coloniales. 4 840 hommes en tout et pour tout dans sa première mouture. Wall Street. Broad Street, avec le New York Stock Exchange.
C'est en 1624 que la première vague d'immigrants belges wallons a fondé la cité de New York qu'ils baptisèrent alors sigillum Novi Belgii (« Nouvelle Belgique ») mais aussi les États du Mid-Atlantic comme l'État de New York, la Pennsylvanie, le Connecticut, le Delaware et le New Jersey... C'est le Belge Pierre Minuit né à Tournai dans le Hainault qui racheta l'île de Manhattan aux Indiens et fut le premier gouverneur officiel de la future cité de New York. Sans avoir jamais subi l'épreuve des batailles, le mur fut démoli par les Anglais en 1699. La Statue de la Liberté : l’idée française devenue symbole de l’Amérique. Elle symbolise l'Amérique, son idéal démocratique et l'accueil des immigrés mais elle a été imaginée en France sous le Second Empire.
La Statue de la Liberté est née dans l’esprit de deux hommes au cours des années 1860 : Édouard René de Laboulaye - admirateur des États-Unis, abolitionniste et républicain convaincu - et son disciple Frédéric Auguste Bartholdi - sculpteur alsacien fasciné par les colosses de l’ancienne Égypte. Ensemble et contre vents et marées, les deux Français ont réussi à imposer leur projet mais il aura fallu plus de vingt ans entre le rêve et sa concrétisation. Naissance d’une idée L’histoire de la Statue de la Liberté commence lors d’un dîner chez Edouard René de Laboulaye à Versailles en juin 1865. La Silicon Valley, un territoire productif au cœur de l’innovation mondiale et un levier de la puissance étatsunienne.
Bibliographie | citer cet article En Californie, au sud de la Baie de San Francisco, se déploie sur un espace restreint la Silicon Valley. Née sous l’impulsion de l’université de Stanford fondée en 1891, la Silicon Valley connaît un essor foudroyant à partir des années 1950-1960. Elle est aujourd’hui devenue un territoire productif au cœur de l’innovation mondiale en accueillant des firmes aussi emblématiques des nouvelles technologies que Hewlett-Packard, Intel, Apple, Google, Facebook, Yahoo, LinkedIn, Twitter, PayPal, eBay, Netflix, NetApp, Cisco, Oracle, Adobe, Symantec, Sandisk, Seagate Technology ou FireEye.
Le World Trade Center, vitrine de la puissance économique américaine. Qu'est ce qu'une puissance? (RAPPEL) Hollywood, une expression de la puissance des États-Unis – Classe Internationale. Hollywood est une industrie qui a produit, ces dernières décennies, plus de 500 films par an.
Ces films occupent constamment les dix premiers rangs du box-office international. Ils permettent à Hollywood d’être en tête sur le marché international du cinéma. Mais que cache cette puissance cinématographique ? Hollywood s’affirme comme un outil de soft power des Etats-Unis, en diffusant dans le monde entier l’universalisme américain et les positions géopolitiques des Etats-Unis. Hollywood à la conquête du Monde … La diffusion mondiale Les studios d’Hollywood sont édifiés en 1914 à Los Angeles en Californie. Silicon Valley : la technologie au service d’une idéologie? Le journaliste et documentariste Fabien Benoit nous livre une fresque de la Silicon Valey, cette "Mecque des nouvelles technologies" traversée par la route 101 et reliant San Francisco à San José.
Son livre The Valley. Le MIT crée une nouvelle école dédiée à l'intelligence artificielle. Le Siège de l’ONU à New York - NewYorkCity.fr.