Tableau de bord d'indicateurs complémentaires au PIB du CESE et de Fr… Matignon publie dix nouveaux indicateurs sur l'état de la France. Pour Michel Sapin, ces indicateurs montre "les progrès réalisés, notamment en matière de réduction des inégalités". ( AFP / FRANCOIS GUILLOT / STF ) Les dix indicateurs alternatifs, présentés ce mardi 27 octobre, par le gouvernement concernent aussi bien l'économie que l'environnement, la santé ou l'éducation.
2015-10-RapportIndicateursRichesse-VF. Nouveaux indicateurs de richesse : dix bonnes pratiques à transposer en France. Dans Les nouveaux indicateurs de prospérité : pour quoi faire ?
Enseignements de six expériences nationales, publié en septembre 2014 (1), les auteurs analysent six initiatives de mise en oeuvre, à travers le monde, d’indicateurs autres que le PIB. Leur étude porte sur l’Australie, le Royaume-Uni, le Pays de Galles, la Belgique, la Wallonie et l’Allemagne. Grâce au foisonnement de travaux français que la Commission Stiglitz-Sen-Fitoussi a mis en lumière, la France est devenue une référence à l’étranger. Pourtant, si elle est parvenue à déployer de nouveaux indicateurs à l’échelle locale, elle peine à avancer au niveau national. L’analyse de ces six expériences, menées par des régions et des Etats étrangers, a conduit les auteurs de l’enquête à formuler dix « leçons pouvant instruire et alimenter les débats sur l’institutionnalisation des nouveaux indicateurs de prospérité, notamment en France où leur prise en compte effective reste extrêmement limitée ».
Mettre en place maintenant de nouveaux indicateurs de richesse. Les limites du PIB comme mesure du progrès de notre société font, depuis le rapport de la commission Stiglitz-Sen-Fitoussi, l'objet d'un relatif consensus.
Trois principales critiques peuvent en effet lui être adressées. D'une part, le PIB totalise ce qui se vend ou s'achète, ainsi que la production des administrations publiques, sans considération de la contribution au bien-être. Vers de nouveaux indicateurs officiels « au-delà du PIB » en France ? Cela ne semble plus exclu depuis hier, et c’est une très bonne nouvelle.
On verra plus tard si cela se confirme, s’ils sont utilisés et comment, médiatisés et comment, quels indicateurs tiendront le haut du pavé en complément du PIB et de la croissance, si d’autres que les experts officiels auront ou non leur mot à dire, etc. Mais c’est un pas important et on le doit à une initiative de députés écolos, dont Eva Sas, rapporteure du projet, manifestement appuyée par certain-e-s député-e-s d’autres partis de gauche, mais je n’en sais pas plus, sauf cet article du Huffington Post du 23 janvier, cosigné par Eva Sas et le député socialiste Jean Launay.
Je dis tout simplement « bravo », car cela fait une bonne dizaine d’années que des militants de la société civile, dont beaucoup se sont regroupés en 2008 dans le collectif FAIR, ont porté cette revendication à l’échelle nationale, où c’est manifestement plus difficile de l’emporter qu’en province. Les députés reportent la désacralisation du PIB. Civilisation Mis en ligne le 16/01/14 I Rédaction par Arnaud Bihel.
Rapport Eva SAS. « Les nouveaux indicateurs de richesse doivent redonner du sens à l’action politique » Quelle est la teneur de votre proposition de loi sur les nouveaux indicateurs de richesse ?
Nous demandons que le gouvernement remette au Parlement, le premier mardi d’octobre de chaque année, lors de la publication de la loi de finance, un rapport présentant « l’évolution, à moyen terme, des indicateurs de qualité de vie et de développement durable, ainsi qu’une évaluation qualitative ou quantitative de l’impact des principales réformes engagées l’année précédente ou envisagées pour l’année suivante ». Il ne s’agit pas de faire un nouveau tableau de bord que personne ne consulte, mais de mettre en visibilité des indicateurs déjà existants, comme l’indice synthétique de santé sociale ou l’empreinte écologique, et de leur offrir un même niveau de communication que le PIB.
Pourquoi relancer le débat alors que la France est pionnière dans ce domaine ? 1628 - Proposition de loi organique de Mme Eva Sas portant modification de la loi organique relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques visant à la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse. La version en format HTML, à la différence de celle en PDF, ne comprend pas la numérotation des alinéas.
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 11 décembre 2013. portant modification de la loi organique relative à la programmation et à la gouvernance des finances publiques visant à la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse, (Renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.) présentée par Mesdames et Messieurs.