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Listes électorales : ‘’ Y’en a marre’’ veut une prolongation des inscriptions. | -Imprimer| Envoyer Le Mouvement ‘’Y’en a marre’’ a demandé dimanche la prolongation des inscriptions sur les listes électorales, dont la clôture est prévue le 31 juillet, pour permettre aux milliers de jeunes de pouvoir s’inscrire en perspective de l’élection présidentielle de février 2012.

Listes électorales : ‘’ Y’en a marre’’ veut une prolongation des inscriptions

S’exprimant lors de leur passage à l’émission ‘’ Grand jury’’ de la RFM (Radios Futurs Médias, privée), Cyrille Touré, plus connu sur le surnom de Thiat, et initiateur du mouvement, a appelé de façon insistante à repousser ce délai. ‘’Ce que nous demandons aujourd’hui, c’est le prolongement de la date. Nous voulons que cette date soit revue à la hausse comme on le dit dans le jargon des bourses. Repousser la date des inscriptions sur les listes électorales est important pour que tout le monde s’inscrive’’, a-t-il dit. Le mouvement "Y’en a marre" a lancé mi-avril une campagne nationale visant à inciter les jeunes sénégalais à s’inscrire sur les listes électorales avant la clôture des opérations.

La police empêche l’assemblée générale des Forces vives à Guédiawaye. | -Imprimer| Envoyer La Police a empêché l’assemblée générale de mobilisation et d’information des Forces vives du Mouvement du 23 juin qui devait se tenir samedi après-midi au stade Amadou Barry de Guédiawaye , a constaté l’APS.Après avoir été délogés, les responsables du Mouvement ont pris la direction de l’Esplanade de la mairie de Guédiawaye, où ils se sont à nouveau heurtés à l’opposition des forces de l’ordre.

La police empêche l’assemblée générale des Forces vives à Guédiawaye

APPEL CONTRE UN TROISIEME MANDAT D’ABDOULAYE WADE. 2 juillet. Les journaux africains enterrent Wade. 1er juillet. Ce qu’on n’a pas encore dit sur le 23 juin ( Par Cheikh Yérim Seck ) 29 juin. Un nouveau septennat pour Abdoulaye Wade ? Vidéo - Un nouveau septennat pour Abdoulaye Wade ? Chronologie : Les dates-clé du Sénégal. Sénégal : Karim Wade au cœur du conflit. Le fils du président et ses manœuvres cristallisent le mécontement des Sénégalais.

Sénégal : Karim Wade au cœur du conflit

Karim Wade, le fils prodige d’Abdoulaye Wade est au centre des revendications de l’opposition sénégalaise. Lui qui devait être le successeur de son père, longtemps présenté comme le fils parfait mêlant les cultures africaines et occidentales, lui qui devait être la gloire de la famille, se retrouve aujourd’hui être celui contre qui le Sénégal se soulève risquant d’entraîner Abdoulaye dans sa chute.

Karim Wade est au centre de la contestation au Sénégal où il cristallise une grande partie de l’animosité populaire. Mardi, depuis le domicile du porte-parole du gouvernement, Serigne Mbacké Ndiaye dont la maison a été saccagée dans la nuit précédente, il a évoqué dans un reportage de la 2STV des "opérations programmées et armées par l’opposition" et parle même de "tentative d’assassinat".

Karim, talon d’Achille d’Abdoulaye. Sénégal: l'armée déployée dans les rues de Dakar. "A présent, nous ne plaisantons plus.

Sénégal: l'armée déployée dans les rues de Dakar

" Le ton et le propos menaçants de Serigne Mbacké Ndiaye, porte parole du président Abdoulaye Wade, ne laissent que peu de place au doute quant aux velléités du gouvernement sénégalais pour calmer la colére de la rue. L'armée vient ainsi d'être déployée dans plusieurs points stratégiques de la capitale Dakar pour venir en aide à une police anti-émeutes débordée par l'actuelle vague de mécontentement.

La contestation, dont l'allure fait de plus en plus songer au printemps arabe, est née de la création par le chef de l'Etat d'un poste de vice-président taillé sur mesure pour son fils Karim. Mais la colère de la rue est parvenue à faire avorter le projet. Tandis qu'à l'inverse, les récurrentes coupures d'électricité (dont certaines de plus de 30 heures) n'auront pas calmé les manifestants, bien au contraire. Senegal: contro Wade, “Y-en-a-marre”, rap e proteste di piazza - Mondo. Men protesting proposed changes to the constitution gesture to police as they attempt to gather to demonstrate near the National Assembly, in central Dakar, Senegal Thursday, June 23, 2011.

Senegal: contro Wade, “Y-en-a-marre”, rap e proteste di piazza - Mondo

Police fired tear gas on thousands of protestors demonstrating Thursday morning against a proposed law that critics said could benefit Senegal's longtime leader President Abdoulaye Wade, and his family. [ PHOTOS ] La maison de Wade du Point E sous haute sécurité. 28 juin. BECAYE DIOP MINISTRE DES FORCES ARMEES « Moi je n'ai pas décrété d'état d'urgence, et je ne sais pas si le Sénégal est en Etat d'urgence »

Au Sénégal, l'été sera chaud. Dakar et sa banlieue théâtre de nombreux incendies.

Au Sénégal, l'été sera chaud

Depuis jeudi, et la forte mobilisation face au très controversé projet de loi d’Abdoulaye Wade qui a rapidement viré à l’émeute dans le centre-ville de Dakar, les violences continuent. Excédées par les coupures de courant, de plus en plus longues et de plus en plus fréquentes, les populations se sont principalement attaquées, lundi, aux locaux de la société publique d’électricité. Le Sénégal au bord de l’embrasement - Indignés africains. Suite aux émeutes du 23 juin, le collectif « Y’en a marre » a appelé au calme et demandé aux autorités de respecter la Constitution.

Le Sénégal au bord de l’embrasement - Indignés africains

Malgré ce discours d’apaisement, de nouveaux troubles agitent la région de Dakar, soumise aux coupures d’électricité pendant que l’armée se déploie dans les rues. « Le 23 juin 2011, notre peuple s’est levé, uni et déterminé, pour briser les chaînes du fatalisme et protéger son choix : la République et la Démocratie ! » C’est sur ces mots, prononcés juste après l’hymne national, que le Collectif Y’en a marre débute sa « déclaration du 27 juin ». Scènes de pillage à Dakar: La capitale proche de l’état d’urgence. Une "GPP" ce samedi à Abidjan (ph DK-koac.com)- Abidjan le 15 avril 2014 © koaci.com-Le phénomène de la prostitution a atteint son paroxysme dans le quartier populaire d’Adjamé-Bracodi avec la mise sur pied de plusieurs réseaux de proxénétismes dont celui qui a ciblé les jeunes filles dont l’âge varient entre 10 et 13 ans, comm...

Scènes de pillage à Dakar: La capitale proche de l’état d’urgence

Ce mardi matin à l'aéroport d'Abidjan et vue de l'amende (ph 2) - Abidjan le 15 avril 2014 © koaci.com – Un nouveau cas flagrant de corruption de fonctionnaire nous a été révélé ce mardi. Fait hélas banal, ce dernier a néanmoins retenu notre attention de part sa particularité.En effet, Mr Silué Kolo, agent au Trésor Public ne s'e... L’ambassadeur ivoirien au Brésil, SEM, Sylvestre Aka Amon (ph)- Abidjan le 15 avril 2014 © koaci.com –Voici une nouvelle affaire rapportée en exclusivité à koaci.com qui n’honorerait guère l'image de la Côte d'Ivoire.Selon un document transmis à koaci.com (voir ph 2) par Mr Raul Marcelino de Almeida junior, lundi 14 avril 2014 Jo...

Sénégal : en colère contre les délestages, les Dakarois incendient les bâtiments publics. Manifestation contre un projet de réforme de la Constitution, le 23 juin 2011 à Dakar.© AFP La capitale sénégalaise s’est enflammée lundi soir.

Sénégal : en colère contre les délestages, les Dakarois incendient les bâtiments publics

Les bâtiments publics, mairies et locaux de la Senelec, ont été les principales cibles de populations excédées par les coupures de courant. 27 juin. 26 juin. Aspirations rabougries. Après mon post un peu sec sur la « pseudo-indépendance » du Sénégal, je devrais en principe, écrire quelque chose de positif sur le « sursaut démocratique » de la rue sénégalaise contre le projet – totalement imbécile – de réforme constitutionnelle d’Abdoulaye Wade.

Aspirations rabougries

Le problème, c’est que rien dans cette « réaction » ne m’inspire la moindre sympathie. C’est comme s’il fallait féliciter le cocu dans le célèbre sketch de Raymond Devos (« j’ai des doutes ») de sa lucidité in extremis : J'ai des doutes ! Sénégal: large coalition contre la candidature de Wade à la présidentielle. 25 juin. PRESSE-REVUE : Trois "stars" dans les quotidiens : Dakar, Me Wade et Alioune Tine.

Les quotidiens sénégalais du week-end relèvent l’accalmie dans les rues de Dakar, tout en insistant sur les conséquences pour le régime du président Abdoulaye Wade des manifestations de protestation du "23 juin", non sans mettre en exergue la célébrité, malgré lui, d’Alioune Tine, militant des droits malmené jeudi par des nervis. ‘’Après 24 heures de folie, Dakar retrouve son sourire’’, force Rewmi-Quotidien, tandis que Le Soleil signale, avec moins d’emphase que ‘’les rues du centre-ville de Dakar retrouvent le calme après la marche contre le projet de loi, émaillée par des scènes de violence, jeudi dernier’’.

Examiné en plénière par les députés avant d’être retiré subrepticement, le texte visait les règles de la présidentielle. ‘’Human Rigths Watch trouve inconcevable le déroulement des évènements du jeudi 23 juin à Dakar lors des manifestations contre un projet de loi. De son côté, Sunu Lamb écrit : ‘’Battu par Dolph en 2mn16, Paul Maurice n’a pas pesé lourd’’. Au Sénégal, opposition et société civile créent le «mouvement du 23 juin» Les partis d’opposition sénégalais et la société civile se disent déterminés à poursuivre la pression sur les autorités après la journée de manifestation du jeudi 23 juin 2011. Cette fois-ci, il ne s’agit plus seulement d’obtenir le retrait d’une réforme constitutionnelle. LES FORCES VIVES REBAPTISÉES «MOUVEMENT DU 23 JUIN» SE RADICALISENT : «Wade doit dégager. C’est son départ qui reste» Réunion de crise au palais.

Agression d’Alioune Tine : La Raddho dépose un rapport chez Dansokho. 24 juin. SENEGAL: Les leaders de l’opposition annoncent un soulèvement populaire total. Samedi 25 juin 2011 6 25 /06 /Juin /2011 00:31. Sénégal : Wade affaibli dans la rue, l'opposition contre un nouveau mandat. 24 juin 2011 Des policiers anti-émeutes face à des manifestants à Dakar, ke 23 juin 2011 ©AFP L’opposition et la société civile ont exhorté vendredi le président sénégalais Abdoulaye Wade à renoncer à un nouveau mandat en 2012, au lendemain d’un conflit dans la rue alors que, en privé, des proches du pouvoir jugeaient le chef de l’Etat affaibli.

Après une journée de manifestations nationales, qui ont tourné à l’émeute à Dakar, M. Wade, 85 ans, a retiré un projet de loi controversé qui aurait permis l’élection simultanée du président et du vice-président avec seulement 25 % des voix. Sénégal : La rue, le meilleur barème de l'opinion publique. Wade devrait l'écouter. Abdoulaye Wade souhaitait faire modifier la constitution sénégalaise, pour pouvoir briguer un troisième mandat en faisant voter "un ticket présidentiel", qui aurait permis l'élection d'un président et d'un vice-président sur un seul tour de scrutin avec 25 seulement des suffrages exprimés. Le président cherche-t-il à placer son fils ? Ce ticket présidentiel prévoyait "l’élection simultanée au suffrage universel du président et du vice-président de la République" et instaurait un "quart bloquant", permettant au ticket arrivé en tête au premier tour d’être élu directement avec un minimum de 25% des voix.

Farba Senghor. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 23 juin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emeutes à Dakar contre la tentation monarchique de Wade. Ambassades du Sénégal ont pris d'assaut à Paris: Voix de la Russie. Le président sénégalais abandonne son projet de réforme électorale. BBC Nouvelles - En images: Affrontements au Sénégal. Deux membres de  »Y’en marre » arrêtés par la Police. Ibrahima Fall: Quand les Sénégalais misent sur l’éthique et le patriotisme. | -Imprimer| Envoyer Aussitôt sa candidature annoncée, M. Ibrahima Fall donne l’impression du messie venu délivrer un monde de tous les âges, et de toutes les catégories sociales. Dans les rues de New York, le nom de M. Ibrahima Fall est sur toutes les lèvres. Dernière minute à Guédiawaye: Le Jeune Pape Mbaye torturé, le bras droit fracturé.

VIDEOS & DIAPO: le film de la guérilla urbaine à la place de l'Indépendance de Dakar. Ismaïla Madior Fall : « La vigilance républicaine doit être renforcée »