À Grenoble, six militants écolos face à une justice kafkaïenne. Ecoutes, perquisitions et poursuites : quand l'Etat fait du zèle pour étouffer les actions écolos. We and our partners store and/or access information on a device, select basic ads, select personalised ads, measure ad performance, develop and improve products, create a personalised ads profile, create a personalised content profile, select personalised content, measure content performance, apply market research to generate audience insights, select basic ads, create a personalised ads profile, select personalised ads, create a personalised content profile, select personalised content, measure ad performance, measure content performance, apply market research to generate audience insights, develop and improve products.
These technologies may process personal data such as IP address and browsing data for ensure security, prevent fraud, and debug, technically deliver ads or content. They may match and combine offline data sources, link different devices, receive and use automatically-sent device characteristics for identification. À Bure, les contrôles d’identité systématiques jugés illégaux. La cour d’appel de Nancy a infligé, dans un jugement rendu le 11 juin dernier, un revers important à la politique de contrôle des populations pratiquée depuis plusieurs années à Bure et ses environs par le procureur de la République.
Ce village de la Meuse et ses communes environnantes sont devenues un haut lieu de la contestation antinucléaire depuis que l’État a décidé d’y installer un site d’enfouissement des déchets nucléaires, Cigéo, dont la mise en service est promise pour 2035. Pour mater cette contestation, justice et gendarmerie ont mis en place une surveillance massive du territoire, surveillance qui s’appuie notamment sur les contrôles d’identité constants de la population locale. Depuis la loi Pasqua de 1993, les contrôles d’identité sont autorisés sur simple réquisition du procureur de la République. . « On se retrouve avec une situation de contrôle quasi permanent » Le juriste de France Nature Environnement convoqué par la gendarmerie après un reportage de France 3 Limousin. En janvier 2020, l'une de nos équipes réalise un reportage sur les nouvelles serres de culture de tomates hors-sol, sur la commune de Rosiers d'Egletons en Corrèze.
Il s'agit du quatrième reportage qui suit l'évolution de ce projet agricole depuis 2017. Inès Léraud attaquée en justice pour avoir enquêté sur l’agroalimentaire breton : l'affaire devient politique. Le gouvernement a créé une cellule militaire pour surveiller les opposants à l’agro-industrie. La liste des organisations signataires de cette tribune se trouve à la fin du texte.
Il y aura un avant et un après Déméter. Le 13 décembre, le ministre de l’Intérieur de la République française Christophe Castaner s’est rendu dans le Finistère en compagnie de la présidente de la FNSEA Christiane Lambert. Chasse : le Sénat crée un délit d’entrave punissable d’un an de prison. Le gouvernement mobilise la lutte anti-terroriste contre les activistes du climat. C’est un petit tweet qui en dit long.
Vendredi 22 mars, l’ancien eurodéputé du Front national Jean-Yves Le Gallou a posté sur la toile une déclaration rageuse estampillée du hashtag #DictatureMacron : « Le retour du crime de lèse-majesté ! Le service antiterroriste et le Service central de renseignement criminel de la gendarmerie mobilisés prioritairement pour punir ceux qui décrochent le portrait de Macron dans les mairies. » Attachée à son tweet, une photo d’un écran d’ordinateur sur lequel on lit distinctement un curieux courriel.
Les destinataires sont des gendarmes de Lorient, qui nous ont confirmé par téléphone la véracité de cette image. L’objet indique « directives concernant les vols de portraits présidentiels dans les mairies ». Le tout est signé du colonel Marc de Tarlé, sous-directeur adjoint de la police judiciaire, sur ordre du directeur général de la gendarmerie nationale. Le courriel reçu par les gendarmes en fin de semaine dernière. Puisque vous êtes ici… Secret des affaires : comment les lobbies économiques orchestrent la régression de l’Europe.
La loi sur le renseignement vise aussi les zadistes, les écolos et les antinucléaires. Lundi 13 avril, le projet de loi sur le renseignement était examiné en première et unique lecture à l’Assemblée nationale.
Le texte doit être voté dans une procédure d’urgence. Comment assimiler les écologistes aux terroristes : la leçon du Canada. Les écologistes en bonnets qui tendent des banderoles pour protester contre des oléoducs pourraient bientôt rejoindre les groupes terroristes assassins dans le radar des agences de renseignements canadiennes.
Sous l’appellation de Loi C-51, un nouveau texte présenté par le Premier ministre Stephen Harper étend les pouvoirs des organisations de sécurité du pays en matière d’information, notamment à tout ceux qui entraveraient "le fonctionnement d’infrastructures essentielles". Face à cette définition floue des menaces qui feront désormais l’objet de surveillance, les mouvements environnementalistes craignent de devenir des cibles de la police en raison de leur opposition à l’industrie pétrolière. Au Canada, l’Alberta en guerre contre les écologistes. Montréal (Canada), correspondance L’Alberta en a marre, et elle le fait savoir. « Ils se concentrent sur le Canada parce qu’ils nous voient comme la cible facile, le gamin le plus facile à intimider dans la cour d’école. » Voilà le genre de propos que Jason Kenney, Premier ministre conservateur de cette province de 4 millions d’habitants, ne cesse de répéter depuis son élection, en avril. « Ils », ce sont les groupes écologistes qui critiquent l’exploitation des sables bitumineux de l’Athabasca et combattent les projets d’oléoducs qui y sont reliés.
Des paroles suivies d’actions, articulées dans sa fight back strategy, ce qu’on pourrait traduire par la « riposte ». Le vocabulaire belliqueux est assumé, comme lors de l’annonce début juin d’une « cellule de guerre » (war room) dotée d’un budget de 30 millions de dollars canadiens (20 millions d’euros). 40 % des émissions de gaz à effet de serre du Canada. Addicting Info – Wyoming Makes It A Crime To Collect Evidence Of Pollution On Public Lands. Wyoming has implemented a law that will make it virtually impossible for citizen watchdog groups, whistleblowers, and even concerned private citizens to collect data evidence of pollution outside of city limits.
The law, signed by Governor Matt Mead (R) makes it illegal to collect data, outside of city boundaries, on all lands public, private or federal. It cites “data collection” as meaning “take a sample of material, acquire, gather, photograph or otherwise preserve information in any form from open land which is submitted or intended to be submitted to any agency of the state or federal government.” Essentially if you live in or visit Wyoming, taking a picture of a polluted stream as a concerned citizen for the purpose of informing the EPA, National Forestry Service or any other agency could land you a $5000 fine and up to a year in jail. The reality of the law is far more simple.