Pour protéger les plages françaises du tourisme de masse, WWF lance l'opération "I Protect Nature" sur Instagram. Cet été, l’organisation WWF France lance l’opération "I Protect Nature" sur Instagram pour encourager les internautes à protéger les sites naturels Français.
Le principe : une géolocalisation unique pour toutes les destinations, afin de limiter le tourisme de masse et la pollution plastique sur les plages. Le 15 juillet 2019, WWF France lance, avec Havas Paris, l’opération "I Protect Nature" sur Instagram pour inciter les utilisateurs à protéger les sites naturels français, en particulier les plages. L’association de défense de la nature a constaté l’impact négatif du système de géolocalisation d’Instagram sur l'environnement et a donc décidé de créer une localisation unique pour toutes les destinations : "I Protect Nature". La biodiversité en péril. La révolution écologique n'aura pas lieu sur Instagram. Si vous suivez des influenceurs sur Youtube et Instagram, vous avez du remarquer un changement ces derniers mois : les hauls, swaps et autres reviews de produits se raréfient, le consumérisme s’affiche moins, le food porn se fait moins gras et plus bio.
Un autre vent semble désormais souffler sur ceux qui autrefois se dédiaient au culte aveugle du consumérisme. Spoiler : La bonne conscience des influenceurs ne sauvera pas la Planète, une réthorique écologique ne remplacera pas une vraie lutte collective. Les influenceurs se mettent au vert La transformation s’est manifestée ouvertement en début d’année quand Horia et EnjoyPhoenix, deux influenceuses star du Youtube beauté français, ont annoncé ne plus vouloir recevoir de colis et d’échantillons de la part de marques. Les raisons invoquées ? Eco-friendly = eco-capitaliste Nous savons tous aujourd’hui que 100 entreprises sont responsables de 70% des émissions de carbone.
Voir Aussi Révolution écologique, révolution politique. Pollution numérique et réseaux sociaux - Culture Formation. Pour sensibiliser les utilisateurs de réseaux sociaux à l’impact du numérique sur l’environnement, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) propose de mettre en place une étiquette énergétique spécifique à ces plateformes (Facebook, Twitter, Instagram, etc.).
On vous avait prévenu : l’utilisation du digital n’est pas sans conséquence sur notre belle planète (si, si ! Ici, dans un article intitulé « Arrêtez de cliquer, vous polluez »). La question de la pollution numérique revient d’ailleurs de plus en plus sur le devant de la scène. Déjà en 2014, l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) publiait un guide pour limiter sa consommation d’énergie sur Internet. Plus récemment, la start-up Cleanfox alertait sur le poids de nos emails — chaque courriel générerait 10 g de CO2 par an. Instagram et empreinte écologique au cœur des vacances des jeunes. Les posts Instagram menacent-ils l'écosystème des plus beaux endroits de la planète ? Les photos sont "likées" par plus de 24 000 personnes et la répercussion est immédiate.
"Le week-end qui a suivi, il y a eu un énorme afflux de touristes. D'un coup, les gens ont débarqué de partout", raconte à L'Express Carole d'Antuoni, coordinatrice des écogardes [chargés de la protection de l'environnement] du parc. En quelques jours, la fréquentation du site explose. "Nous n'avions jamais vu ça : nous sommes passés d'une cinquantaine de touristes par week-end, à plus de 500 personnes présentes sur une journée", explique la responsable. Tourisme : Instagram et les influenceurs, une menace pour l’environnement ? "Quand j'ai déménagé à Sydney il y a cinq ans, j'ai découvert un lieu magique appelé Gordons Bay […], une crique magnifique avec une eau cristalline et seulement quelques personnes assises sur les rochers. […]. La dernière fois que j'y ai été, vous pouviez à peine bouger sur les rochers et il y avait deux bouées flamant rose géantes dans l'eau", raconte Bridie Jabour, éditorialiste à The Guardian Australie.
Les endroits préservés du tourisme deviennent rares. Et les réseaux sociaux menacent de plus en plus ceux qui le restent : une photo postée de façon anodine sur Instagram par un touriste, ou par un influenceur suivi par des milliers de personnes, peut se révéler dévastatrice... Dans sa tribune, la journaliste australienne Bridie Jabour poursuit en citant d’autres exemples de lieux envahis du fait de leur potentiel "instagrammable".
Par exemple, le spot de Roys Peak, au sud de la Nouvelle-Zélande, où les touristes font jusqu’à une heure de queue pour prendre une photo. Les 5 influenceurs éthiques à suivre sur Instagram en 2020. Publié le 24 déc. 2019 à 8:00 Fini le temps où vous scrolliez uniquement devant de la FoodPorn et des fitgirls.
L’écologie et la consommation éthique s’emparent même d’Instagram. Des influenceurs nous donnent les clés pour être plus respectueux de l’environnement et développer une consommation plus responsable. Découvrez notre sélection d’instagrammeurs éthiques à suivre, réalisée en partenariat avec Reech, une société spécialisée dans l'influence marketing. Pour apprendre à mieux consommer @Peau_neuve - 179.000 abonnés Pas question de publier son prénom. De Google à Instagram, comment nos clics polluent l'environnement. Le huitième épisode du Professeur Feuillage, cet « écolo-farfelu » désormais bien connu, est consacré à la pollution générée par l’Internet.
Data centers, câbles transocéaniques, coût écologique des recherches sur Google, selfies sur Facebook et courriels, ces petites gestes quotidiens engendrent une pollution monstre. Avec pédagogie et humour, son altesse feuillue et sa partenaire remplissent leur mission d’information. L’idée des « Chroniques écologiques Professeur Feuillage » est née de l’envie de communiquer sur l’écologie d’une façon moins lourde et dramatique qu’à l’habitude. Comme l’explique Mathieu Duméry, l’un des trois auteurs-comédiens, ses découvertes sur Internet de « vidéos qui avaient trait à l’écologie étaient souvent très anxiogènes (…) avec une musique triste », etc. L’originalité de l’approche du trio d’amis, qui se transformera en véritable projet audio-visuel grâce à un financement participatif, réside donc dans son humour didactique et indélicat.
Comment nos photos postées sur Instagram influencent l'environnement. Prendre une photo en vacances lorsque l’on se retrouve par surprise face à un beau paysage, cela arrive souvent.
Le cliché est pris et la route continue sans que l’on y pense davantage. Partager ces photos sur Facebook et Instagram, cela devient la norme. Mais saviez-vous qu’en partageant ce genre d’images, cela peut avoir un impact sur le tourisme et sur l’environnement de la région ? Ce qui était un paradis secret risque de devenir un incontournable pour tous les touristes de la région et même de souffrir de sa renommée. Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. Habile : le WWF a inventé une fausse géolocalisation Instagram pour protéger des sites naturels. Mettre une fausse géolocalisation sur ses photos Instagram permettrait d'éviter la saturation et la destruction de sites naturels.
C'est du moins ce que pense WWF. Voir un joli lieu sur les réseaux sociaux peut donner envie de s’y rendre. Le problème, c’est que cela va parfois trop loin. Certains lieux naturels « instagrammables » sont surfréquentés et la faune ou la flore qui y évolue en temps normal est mise en danger. Instagram : les dérives de « l’égo-tourisme » Le cliché parfait.
Voilà ce que les Instagrammeurs passent leur temps à chercher. Habile : le WWF a inventé une fausse géolocalisation Instagram pour protéger des sites naturels. Instagram s'engage contre la maltraitance animale. Un Instagram participatif pour parler de #TourismeDurable.