La réglementation du commerce de détail de biens d’occasion. Les aptitudes professionnelles Aucun diplôme n’est exigé pour ouvrir un dépôt-vente.
Le détaillant doit veiller à bien choisir son stock (refuser les objets de mauvaise qualité et savoir reconnaître les produits qui correspondent à la demande du moment). Enfin, le professionnel doit être rigoureux dans la gestion des dépôts de chaque client (qu’il faut tenir à jour régulièrement). L’environnement réglementaire. Le marché de la fripe dépassera celui de la fast fashion en 2028. 1.
Les fripes, c’est de plus en plus chic L’achat de fringues de seconde main n’est plus réservé aux seuls fauchés ou aux modeux à la recherche d’un look décalé. C’est en train de rentrer dans les mœurs. Et ça n’est que le début. Selon Thred Up, le marché des vêtements d’occasion pesait 24 milliards de dollars (21,2 milliards d’euros) en 2018, aux États-Unis (contre 11 milliards de dollars, soit 9,72 milliards d’euros, en 2012). 2. Ceux qui se convertissent le plus rapidement à cette tendance ? 3. Il y a des applications pour vendre et acheter tout le temps et partout, des algorithmes pour identifier et mettre en valeur les vêtements les plus demandés… Internet joue désormais un rôle considérable dans le secteur pour atteindre de nouveaux clients et faire se rencontrer l’offre et la demande. 4.
Vêtements : l'engouement croissant des Français pour l'occasion. Les soldes d'hiver ont tout juste démarré mais l'évènement soulève moins les passions.
La multiplication des ventes privées, les mégas promotions comme le Black Friday mais aussi les préoccupations autour du pouvoir d'achat et une évolution des comportements expliquent cette tendance. Depuis 2007, «le marché du textile et de l'habillement a perdu 15 % de sa valeur», avance l'Institut français de la mode (IFM).
En 2018, la tendance s'est accentuée avec un recul des ventes de l'ordre de 3%. Cette année, les ventes devraient continuer à plonger, toujours selon les prévisions de l'IFM. La tendance n'est pas nouvelle: les Français ont réduit leur budget alloué aux vêtements puisque les ménages consacraient 3,9% de leurs dépenses en 2007 contre 9,1% en 1960. Résultat, les enseignes peinent à écouler leur stock, même en période de soldes. Guide du créateur : comment ouvrir une friperie ? Les Français de plus en plus tentés par les vêtements de seconde main. Commerce. Le vêtement de seconde main a de beaux jours devant lui.
« Ma fille comme moi, on doit porter environ 70 % d’habits d’occasion sur nous !
» Camille désigne son bébé dans la poussette. Ce vendredi matin, elle est entrée dans le Vide-dressing, rue La Fayette. Le dépôt-vente propose des vêtements d’occasion, triés sur le volet par les gérantes : de « belles marques » , en bon état, et à la mode. Si Camille opte pour la seconde main, c’est par souci d’écologie. L’industrie du textile fait partie des plus polluantes au monde Défi rien de neuf La jeune femme s’est même inscrite à un défi initié par l’ONG Zéro waste, afin de n’acheter aucun objet neuf en 2019. Nadège Klein, de la boutique Cécilia, raconte avoir vu « à Noël des dames qui venaient acheter des vêtements pour faire leurs cadeaux ».
Les Français de plus en plus tentés par les vêtements de seconde main. Comment la distribution classique tente de profiter du boom du marché de l'occasion. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFMTV Midi.
Tendances : vêtements d’occasion en ligne, le marché se développe. En plein développement, l’achat en ligne de vêtements d’occasion a mis un coup de vieux aux friperies, et constitue une façon responsable de consommer.
Selon l’observatoire économique de la Fédération française du prêt-à-porter féminin (FFPAPF), le marché de seconde main a pesé un milliard d’euros en 2018 dans l’Hexagone, avec notamment un tiers des consommateurs qui affirment avoir acheté des vêtements d’occasion sur internet. "un vêtement est vendu toutes les 20 secondes sur Ebay" Pour Éléonore, 31 ans, au Smic, "acheter moins cher" a été la motivation première de son arrivée sur l’application spécialisée Vinted. "Je suis également dans une démarche de consommer moins : on entasse trop de choses et ça encombre l’esprit", explique cette assistante d’éducation avant de conclure : "en plus, ce n’est pas écologique". Une opinion que partage Elise, médecin de 38 ans, qui s’est inscrite "dans un esprit d’écoresponsabilité et de minimalisme". Vêtements : l'engouement croissant des Français pour l'occasion.
FIGARO DEMAIN - Par soucis économiques ou choix idéologiques, les Français foulent moins le sol des magasins de prêt-à-porter. Ils se tournent vers des alternatives et notamment le marché de la seconde main. Les soldes d'hiver ont tout juste démarré mais l'évènement soulève moins les passions. La multiplication des ventes privées, les mégas promotions comme le Black Friday mais aussi les préoccupations autour du pouvoir d'achat et une évolution des comportements expliquent cette tendance.
Depuis 2007, «le marché du textile et de l'habillement a perdu 15 % de sa valeur», avance l'Institut français de la mode (IFM). En 2018, la tendance s'est accentuée avec un recul des ventes de l'ordre de 3%. » LIRE AUSSI - Succès des «free troc party» où l'on consomme sans dépenser ni polluer Résultat, les enseignes peinent à écouler leur stock, même en période de soldes. Les Français se tournent notamment vers les vêtements d'occasion. Société, santé, environnement, éducation, énergie.