Serious games : les premiers retours d'expérience en France - Journal du Net Solutions Air France, BNP Paribas, L'Oréal, Axa... Plusieurs grands groupes français se sont engagés dans des projets visant à exploiter le jeu vidéo au profit de la formation. Le point. Présents depuis une dizaine d'années dans les entreprises et les administrations et universités, les serious games font maintenant partie intégrante de leur arsenal des outils de formation. Et sont au centre d'un véritable marché dont le chiffre d'affaires s'est considérablement développé. Estimé à plus de 40 millions d'euros en 2010, le marché français du serious game recense près d'une centaine d'éditeurs et fournisseurs spécialisés dans leur création et mise en œuvre. Mais, les serious games s'étendent à d'autres domaines plus inattendus, comme le secteur médical. Les serious games se sont depuis ouverts aux entreprises de taille plus modeste Alors qu'ils ont pendant longtemps ciblé les grands comptes, les serious games se sont depuis ouverts aux entreprises de taille plus modeste.
Le jeu vidéo, un Super Media ? « Mais où est-ce qu'on est ? analyse Published on février 14th, 2011 | by Anthony Serious Game , Social Game, advergame, information game… le jeu vidéo sort de son univers purement ludique pour investir la formation, la sensibilisation, et aussi l’information. A travers la multiplication et la diversification des contenus que le jeu investit, peut-on considérer le jeu vidéo aujourd’hui comme un nouveau média ? Le jeu vidéo semblerait en tous cas paré de toutes les vertus en termes de communication : différenciant, plus crédible, plus captif… le jeu vidéo est surtout différent dans sa façon même de penser la communication, le message et son public : le jeu vidéo ne demande pas des spectateurs, il veut des acteurs ! Happy Night, un Serious Game de sensibilisation au risque alcool Le jeu vidéo, nouveau média ? « Est-ce que les jeux sont des mass média ? Depuis Mc Luhan, la recherche a commencé à approcher le jeu, bien avant le jeu vidéo, en tant que support de communication. OXO – premier jeu vidéo – 1952 créé par A.S.
Diffusion de nos travaux Cette page rassemble nos écrits (scientifiques ou non) ainsi que nos participations à des conférences, ateliers et autres évènements. Publications scientifiques (92 références) Conférences sans actes publiés et participation à des tables rondes (81 références) Fédération de la Formation Professionnelle L'espace Presse L'Observatoire économique de la FFP L'Observatoire économique de la FFP Mis en en place en 1997, l'Observatoire économique de la FFP mesure, chaque année, l'évolution de l'activité des organismes privés de formation. Cet outil permet de recueillir des données économiques et sociales sur le marché et de repérer les grandes tendances qui se dessinent. Les enquêtes sont réalisées auprès des organismes, adhérents à la FFP, qui représentent environ un tiers du chiffre d'affaires du marché, tout secteur confondu. Quelles évolutions ont marqué l'activité des organismes de formation durant l'année ? Retrouvez, ci-dessous, les résultats des Observatoires économiques de la FFP.
Recrutement et réseaux sociaux « Si vous n'avez pas votre profil sur LinkedIn, vous n'existez pas ». Voilà l'avertissement adressé il y a quelques mois par le magazine Fortune aux chercheurs d'emploi américains. Si la phrase vaut probablement pour les Etats-Unis, il n’en est pas encore de même en France. Mais pour combien de temps encore ? Ainsi, 24 % des recruteurs français auraient déjà recruté une fois via un réseau social, selon l’une des rares enquêtes* menées sur le sujet et datant du mois de mai dernier. Nul doute que la proportion de ces "recruteurs 2.0" progressera encore dans les mois et les années à venir, à l’image de ce qui se passe déjà outre-Atlantique, les Français étant en effet de plus en plus nombreux à fréquenter ces plateformes de socialisation et de mise en relation. C’est donc sans surprise que l’on retrouve prioritairement les recruteurs français sur Viadeo et LinkedIn, les deux principales plateformes "grand public" dédiées à l’univers professionnel. * Enquête Regionjob
serious game | La gamification : Véritable stratégie d'entreprise Comme nous avons pu le définir, la gamification est un terme générique qui symbolise la fusion de mondes que tout oppose mais qui s'avère aujourd'hui être complémentaire. Le travail et le jeu se rencontrent donc sur un même terrain, mais – plus surprenant – dans la même équipe. Portant les même couleurs, il semble exister plusieurs type de jeux à même de réussir à endosser le maillot du capitaine. Penchons nous sur quelques terminologies nouvelles définissant ces nouveaux types de jeux : Le serious game : Ces jeux sont utilisés lorsque le but souhaité nécessite du sérieux, de la réflexion et/ou un maximum d'attention. Le crowdsourcing : Mettons nous quelques instants dans la peau d'un éditeur sur internet et posons nous la question suivante : Comment créer du contenu facilement et de manière peu contraignante ? En effet, ce terme représente le fait de se servir des internautes pour créer de la valeur en regroupant les ressources et les compétences. L'advergame :
Le jeu, vrai outil de recrutement ou mode marketing? Décalés voire controversés, ils ont en commun de bousculer les codes du recrutement: des tournois de poker aux "job dating" en passant par les jeux vidéo, de nouveaux concepts insolites et médiatiques ont fleuri ces derniers mois dans les processus d'embauche. Chez des start-up en manque de visibilité, mais aussi de la part de grands groupes qui continuent de soigner leur "marque-employeur", leur réputation auprès des candidats. C'est dans cette logique que L'Oréal a lancé son jeu vidéo en ligne "Reveal". Le groupe ne manque pas d'attractivité en France mais cherche à attirer des talents à l'international. "Il y a eu un gros travail de rencontre avec les joueurs par des entretiens collectifs ou traditionnels, complémentaires de la partie en ligne, assure Aude Desanges, directrice "marque employeur" du groupe. Culture du jeu "Ils ont une attitude de consommateurs vis à vis des recruteurs et sont beaucoup plus exigeants que ne l'étaient leurs parents, explique Laurence Chavot-Villette.
Efficacité de Virtual Leader, un Serious Game de management La formation continue fait un véritable carton en Suisse | Formation continue en Suisse romande - Kursus Statistiques | 23.07.2010 | Fabrice Breithaupt | 24 heures | TG Quatre personnes sur cinq participent à des activités de formation continue dans notre pays. L’apprentissage entrepris de manière autonome est le type qui rencontre le plus grand succès. 79% de la population résidante en Suisse âgée entre 25 et 64 ans a participé à au moins une activité de formation continue en l’espace de douze mois. C’est ce qu’indique une étude publiée par l’Office fédéral de la statistique (OFS), basée sur les résultats de l'enquête sur la population active de 2009. L’apprentissage informel, qu’on entreprend de manière autonome, est le type de formation continue qui rencontre le plus grand succès dans notre pays: 74% des personnes interrogées disent avoir eu recours à cette forme d’apprentissage. Pour des raisons professionnelles Ainsi, le fait d’être intégré dans le marché du travail favorise considérablement la participation à la formation continue.
Cultiver son réseau (bis) "Bonjour, je vous adresse mon CV car je recherche un poste de XXX, merci de le faire suivre auprès de personnes intéressées par mon profil". Voilà qui est plutôt expéditif, vous ne trouvez pas ? Expéditif et inefficace, oserais-je dire... Bien sûr l'intention est bonne, s'appuyer sur son réseau pour retrouver rapidement un emploi, remuer ciel et terre, rester en mouvement, actif, volontaire, à l'affût... Réfléchissons un instant aux conséquences d'un tel mail. Agacement, exaspération, rien de bien reluisant autour de l'auteur du message ! Pour autant, s'appuyer sur le réseau est une pratique courante et intelligente qui favorise parfois le retour à l'emploi... seulement quand la sollicitation est bien réalisée. Règle N°1 : ne pas demander un emploi mais un conseil ! Règle N°2 : ne pas demander un emploi mais solliciter un rdv téléphonique ou en face-à-face afin d'échanger et d'enrichir votre connaissance d'un secteur d'activité, d'un métier, d'une pratique.
10 grandes entreprises qui ont adopté les serious games Renault Renault Academy est destiné aux vendeurs en concessions de voitures Renault. Le jeu permet aux concessionnaires de se former à la vente des modèles de la marque. Michelin L’entreprise a créé le jeu Mission Antitrust afin de former de manière ludique ses équipes marketing et vente en matière de droit à la concurrence. Thalès Avec son jeu Moonshield, Thales a voulu travailler son image auprès du grand public et séduire de nouveaux talents, issus de la génération Y. BNP Paribas La banque a mis en place un jeu sérieux pour apprendre à ses managers à mener un entretien annuel d’évaluation. L’oréal Le géant des cosmétiques français a créé un jeu pédagogique disponible sur Internet et destiné aux étudiants. Ibm Innov8 CityOne est un serious game développé par IBM pour sensibiliser les joueurs aux enjeux du développement de « villes intelligentes » ou smartplanet, fer de lance de l’entreprise. Sncf Air france Axa Orange
"Les entreprises prennent de moins en moins l'advergame à la légère" L'advergaming intéresse parce qu'il facilite la possibilité de véhiculer l'image de la marque sans s'adresser au consommateur par un message direct. Rencontre avec Jean-Philippe Decka, new business manager chez Chugulu Games. L’Atelier : En quoi l’advergame est utile pour vendre ? Jean-Philippe Decka : L’advergame aide à vendre pour une raison bien simple : on offre du plaisir au consommateur sans que la notion de vente d'une marque soit au premier plan. L'individu n’est pas directement confronté à une publicité et ne se sent pas agressé. On peut aussi intégrer dans un jeu un système de points permettant de bénéficier de réductions en magasin ou en ligne, ou encore calculer le taux de transformation des joueurs en actes d’achat. L’advergame est donc un média en soit qui accompagne l’entreprise… Oui, les entreprises prennent de moins en moins l’advergame à la légère. Cette tendance est donc déjà bien implantée dans les entreprises ? Notre métier est en plein essor.
Le coût des Serious Games : Episode 3 Nous avons essayé d’apporter des éléments de réponse à la question du coût des Serious Games dans les précédents billets (1,2), mais pour être complets, nous devons également aborder leur rentabilité (ROI). On peut distinguer deux sources potentielles d’économies et de revenus liées à l’utilisation de Serious Games : a) Diminution des coûts liés à la formation Le déploiement maîtrisé d’un Serious Game performant permettra d’augmenter significativement l’efficacité de vos formations. De fait, il sera possible de raccourcir les temps de présence des apprenants, de diminuer les coûts de transport, de logistique, d’hébergement et autres dépenses connexes. b) Augmentation de la productivité Conséquence directe et évidente d’une formation plus rapide, l’apprenant va pouvoir consacrer plus de temps à son travail habituel. Voir la première partie Voir la deuxième partie